« Pendant la 2ème Guerre Mondiale, avoir été homosexuel, d’origine juive et libéral m’aurait condamné 3 fois à mort ! Aujourd’hui je suis libre devant vous, c’est ça le projet européen ! »

La rédaction
Démocratie Participative
23 novembre 2022

 

En effet.

C’est encore Léon Degrelle qui en parle le mieux.

Ce bastringue européen, qui n’a d’européen que le nom, fête ses 70 ans de pourrissement de l’idée européenne et d’enjuivement total.

Ils ont encore réussi à caser la hyène juive Veil dans l’affaire.

Heureusement, ce « parlement » ne fêtera pas ses 80 ans.

Le système démocratique, avec son parlementarisme putréfié, est à l’agonie.

Comme la juiverie en Europe, d’ailleurs.

Le souverainisme ringard n’offrira pas davantage de planche de salut que le Brexit n’a fait de différence en Grande-Bretagne. Les oligarchies des différents états se coordonnent étroitement, que ce soit dans un ensemble unique où à travers dix plateformes différentes : ONU, FMI, G7, Commission Trilatérale, Groupe Bilderberg, Davos, franc-maçonnerie, églises, etc..

L’UE est à l’image de ceux qui l’ont créée après la défaite de l’Europe en 1945.

L’Europe, c’est autre chose.

La meilleure définition de l’Europe a été donnée par Adolf Hitler et elle restera la seule pour les siècles à venir.

Qu’est-ce que l’Europe, mes députés ? Il n’y a pas de définition géographique de notre continent, mais seulement une définition ethno-nationale et culturelle. La frontière de ce continent n’est pas l’Oural, mais plutôt la ligne qui sépare la vision occidentale de la vie de celle de l’Orient.

Il fut un temps où l’Europe se limitait aux îles grecques, atteintes par les tribus nordiques, et où brûla la flamme qui, lentement mais sûrement, éclaira l’humanité. Et lorsque ces Grecs ont lutté contre l’invasion des conquérants perses, ils n’ont pas seulement défendu leur petite patrie, la Grèce, mais aussi ce concept qu’est aujourd’hui l’Europe. Et puis l’esprit de l’Europe s’est déplacé de Hellas à Rome. La pensée et l’art de gouverner romains se sont combinés à l’esprit et à la culture grecs. Un empire a été créé, dont l’importance et la puissance créatrice n’ont jamais été égalées, et encore moins surpassées, même à ce jour. Et lorsque les légions romaines défendirent l’Italie au cours de trois terribles guerres contre l’attaque de Carthage venue d’Afrique, et qu’elles finirent par remporter la victoire, dans ce cas également, Rome ne se battit pas seulement pour elle-même, mais aussi pour le monde gréco-romain qui englobait alors l’Europe.

L’invasion suivante contre le sol natal de cette nouvelle culture de l’humanité est venue des vastes étendues de l’Est. Une horrible tempête de hordes sans culture venant du centre de l’Asie se déversa au cœur du continent européen, brûlant, ravageant et assassinant comme un véritable fléau de Dieu. Sur les champs catalauniques, des Romains et des Germains se sont battus ensemble pour la première fois en 451 lors d’une bataille décisive pour la culture qui avait commencé avec les Grecs, était passée aux Romains, puis avait englobé les peuples germaniques.

L’Europe avait mûri. L’Occident est né de l’Hellas et de Rome, et sa défense a été assurée pendant de nombreux siècles non seulement par les Romains, mais surtout par les peuples germaniques. Ce que nous appelons l’Europe est le territoire géographique de l’Occident, éclairé par la culture grecque, inspiré par le puissant héritage de l’Empire romain, qu’il s’agisse de son territoire élargi par la colonisation germanique jusqu’à sur la rivière Unstrut en 933 ou sur le Lechfeld en 955, après que les empereurs allemands aient repoussé les invasions venues de l’Est, ou après que d’autres aient repoussé pendant de nombreuses années l’Afrique depuis l’Espagne, il s’agissait toujours de la lutte d’une Europe en développement contre un monde extérieur profondément étranger.

De même que Rome a apporté sa contribution immortelle à la construction et à la défense du continent, de même les peuples germaniques ont pris la défense et la protection d’une famille de nations qui, bien que différentes et divergentes dans leur structure et leurs objectifs politiques, constituent néanmoins un ensemble racial et culturel unifié et complémentaire.

Et c’est à partir de cette Europe que non seulement il y a eu des implantations dans d’autres parties du monde, mais aussi un esprit, une fertilisation culturelle, un fait que réalise quiconque est prêt à reconnaître la vérité plutôt que de la nier. Ainsi, ce n’est pas l’Angleterre qui a cultivé le continent, mais plutôt les branches anglo-saxonnes et normandes de la nation germanique qui sont passées de notre continent à l’île britannique et ont rendu possible son développement, qui est certainement unique dans l’histoire. De la même manière, ce n’est pas l’Amérique qui a découvert l’Europe, mais l’inverse. Et tout ce que l’Amérique n’a pas obtenu de l’Europe peut sembler digne d’admiration à un métis enjuivé, mais l’Europe n’y voit que le symptôme d’une décadence de la vie artistique et culturelle, produit d’un mélange de sang juif ou négroïde.

Mes députés ! Hommes du Reichstag allemand !

Je dois faire ces remarques parce que cette lutte, qui est devenue manifestement inévitable au cours des premiers mois de cette année, et que le Reich allemand, surtout, est appelé à mener cette fois-ci, dépasse aussi largement les intérêts de notre propre peuple et de notre nation. Lorsque les Grecs se sont opposés aux Perses, ils n’ont pas défendu que la Grèce. Lorsque les Romains se sont dressés contre les Carthaginois, ils ont défendu plus que Rome. Lorsque les peuples romains et germaniques se sont unis contre les Huns, ils ont défendu plus que l’Occident. Lorsque les empereurs allemands ont affronté les Mongols, ils ont défendu plus que l’Allemagne. Et lorsque les héros espagnols se sont dressés contre l’Afrique, ils ont défendu non seulement l’Espagne, mais aussi toute l’Europe. De la même manière, l’Allemagne ne se bat pas aujourd’hui uniquement pour elle-même, mais pour notre continent tout entier.

Et il est de bon augure que cette prise de conscience soit aujourd’hui si profondément ancrée dans le subconscient de la plupart des nations européennes qu’elles participent à cette lutte, soit en exprimant ouvertement leur soutien, soit en envoyant des flots de volontaires.

Adolf Hitler, 11 décembre 1941

L’Europe, c’est la pulsion de vie organisatrice de la race blanche.

Aucun bricolage démocratique, encore moins isolément, pays par pays, ne peut répondre à la dépression démographique qui traverse l’Europe et qui n’est que l’expression d’une pulsion de mort.

C’est un sursaut primal, tribal, territorial qui est nécessaire.

L’envahissement racial actuel est une épreuve décisive envoyée par les dieux pour éprouver le sang aryen. Par les combats futurs, une nouvelle aristocratie biologique sortira naturellement des rangs des nations européennes, selon leur potentiel respectif, une fois la superstructure judéo-démocratique effondrée de dégénérescence.

Des anciens états, il ne restera rien. De nouveaux bâtisseurs d’états apparaîtront bientôt.

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