Captain Harlock
Démocratie Participative
02 octobre 2021
Macron veut transformer vos enfants en travelos séropositifs dès la maternelle.
Le lobby pédo-LGBT a besoin de chair fraîche et à la veille des élections, le poudré est prêt à tout pour récolter les voix des fiottes.
BFMTV :
Le ministère de l’Éducation nationale a publié un texte destiné à mieux accompagner les élèves transgenres à l’école, afin de clarifier le rôle que doit tenir l’institution face à ces « transitions de genre » souhaitées par un nombre croissant d’élèves.
Peu importe le domaine que le système veut subvertir, il prétend toujours agir sous la pression de l’opinion alors que c’est lui, par un intense travail de propagande, qui crée de toutes pièces un débat qui n’existe pas.
En l’occurrence, le système veut transformer les enfants en objets sexuellement disponibles pour les sodomites amateurs de pédophilie.
C’est l’objet de cette circulaire émise par Blanquer.
Cette circulaire intitulée « pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire », est parue jeudi soir au Bulletin officiel. Elle reconnaît les droits des élèves transgenres et fixe des règles protégeant leurs droits.
« L’École, en tant que service public fondé sur les principes de neutralité et d’égalité, se doit d’accueillir tous les élèves dans leur diversité et de veiller à l’intégration de chacun d’eux », est-il écrit en préambule.
Il ne vous aura pas échapper que le ministère impose « l’inclusion » à l’école des enfants travelos imaginaires au moment où il exclut les élèves non-vaccinés, très réels ceux-là.
Donc là à Antibes dans l’école ça sépare les enfants vaccinés des non vaccinés, en faisant manger au réfectoire les vaccinés en 1er? Ça va tout va bien en France #PasseSanitaire #PassSanitaireDeLaHonte
— Ambre (@nissamber) September 30, 2021
L’insanité n’a aucune limite.
Selon ce texte, « la transidentité est un fait qui concerne l’institution scolaire. Celle-ci est en effet confrontée, à l’instar de leur famille, à des situations d’enfants – parfois dès l’école primaire – ou d’adolescents qui se questionnent sur leur identité de genre ».
Le genre n’existe pas.
L’identité de genre est l’expression du système pour normaliser les malades mentaux qui se prennent pour des femmes alors qu’ils ont une paire de couilles entre les jambes.
La place des malades mentaux est dans un asile, dans le meilleur des cas.
Je suis personnellement pour l’euthanasie active de ces malades, à grande échelle.
Cette offensive prédatrice contre les enfants de la part des sodomites pédophiles n’aurait jamais pu avoir lieu s’il n’y avait pas eu des dizaines de millions d’abrutis – très majoritairement des femmes blanches – pour dire que la promotion du LGBTisme ne leur posait aucun problème du moment que les homosexuels ne cherchaient pas à leur toucher le cul.
Cette situation est le résultat de cette mentalité individualiste où les gens pensent que la dynamique culturelle collective ne peut pas les impacter parce qu’ils auraient une sorte de dispense. Désolé, dans une société, il y a une hiérarchie qui fixe les normes. Si vous ne fixez pas les normes, les autres les fixeront pour vous. Comme personne n’a voulu sauvagement persécuter les homosexuels au nom du dogme émollient de la tolérance, ils se sont infiltrés partout dans l’Etat et entendent matrixer vos enfants jusqu’à ce qu’ils acceptent de se faire sodomiser obligatoirement.
Les homosexuels ne chercheront peut-être pas à vous toucher le cul, en revanche ils essaieront de toucher celui de vos gosses à 100%.
La grande majorité des pédophiles sont des homosexuels qui ont été violés durant leur enfance, des dizaines d’études ont été faites là-dessus. Ce que ces immondes fiottes veulent faire en imposant le LGBTisme d’état à l’école, c’est de transformer les établissements scolaires en usines à sodomites.
Il faut prendre ce problème à la racine avant qu’ils ne violent et ne prostituent des enfants par dizaines de milliers après leur avoir lavé le cerveau.
Dans ce domaine, seuls les islamistes ont pris la mesure du problème en balançant ces sales pédés du haut des immeubles.
L’Etat Islamique n’a rien fait de mal.
« Toutes les mesures d’accompagnement mises en place pour les jeunes transgenres ou en questionnement sur leur identité de genre doivent être élaborées de manière individuelle en se fondant sur les besoins exprimés par les élèves eux-mêmes et leur famille, dans le respect des règles communes à l’institution scolaire », se basant « sur les trois principes écouter, accompagner et protéger ».
Répondre aux demandes de changement de prénoms, mais aussi aux normes vestimentaires et l’usage de lieux d’intimité, comme les toilettes, vestiaires et chambres d’internat : le ministère tente de fixer un cadre pour que recteurs, inspecteurs, directeurs d’école, chefs d’établissements ou encore enseignants puissent répondre à ces questions sur le terrain.
La question du changement de prénom d’abord. Si l’élève est mineur, lorsque la demande est faite avec l’accord des deux parents, « il s’agit alors de veiller à ce que le prénom choisi soit utilisé par l’ensemble des membres de la communauté éducative », indique le texte.
Ce « prénom d’usage » est substitué par l’établissement scolaire « de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.) ».
En revanche, il ne sera pas pris en compte pour les épreuves de certains diplômes nationaux, où seul le prénom inscrit à l’état civil est valide.
Concernant les tenues vestimentaires, « le respect des choix liés à l’habillement et à l’apparence est également un aspect important de la reconnaissance de l’identité de genre de ces jeunes », souligne la circulaire.
Cependant, « il convient également de s’assurer que les règles de vie scolaire » ne « font pas l’objet de consignes différenciées selon le genre. Ainsi, les vêtements et accessoires autorisés et interdits le sont pour tous les élèves sans distinction ».
Concernant l’usage des espaces d’intimité (toilettes, vestiaires, dortoirs), le texte liste « plusieurs options » pouvant être envisagées « à la demande des intéressés et selon la disponibilité des lieux ».
L’établissement peut ainsi, quand il n’y a pas de toilettes mixtes, « autoriser l’élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre ».
Pour l’internat, il « peut autoriser l’élève à occuper une chambre dans une partie de l’internat conforme à son identité ».
Pour les vestiaires et douches collectives, il peut « convenir avec l’élève de la mise en place d’horaires aménagés » pour leur utilisation.
Ces choix doivent aussi, « dans la mesure du possible, s’appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires », est-il précisé.
Le ministère de l’Education est contrôlé par des démons.
Dans cette affaire, je ne compte que sur les familles musulmanes. Les Blancs sont devenus de pathétiques larves sans aucune espèce de réaction face à l’infamie. Même la perspective de voir leurs enfants transformés en bac à foutre séropositif n’entraîne chez eux que des sourires de demeurés.
En revanche, dans les banlieues ethniques à majorité islamique, il est absolument impensable de voir des malades mentaux déguisés en femmes s’introduire en toute impunité dans les toilettes, les chambres d’internat ou les vestiaires occupés par les filles. Les mâles musulmans vont riposter, c’est inévitable, et je les soutiens à fond.
J’espère d’ailleurs qu’au premier cas avéré d’infiltration, ils feront preuve d’ultra violence contre ces malades mentaux, peu importe l’âge. Idem pour les profs qui osent participer à cette propagande pédophile.
Laissez-moi vous prévenir : s’il n’y a que l’islam qui riposte face aux fiottes et à leur projet de pédophilie généralisée, les gens se convertiront en masse dans les décennies qui viennent. Cette situation n’est pas anthropologiquement viable et les masses iront vers la première force sociale qui décidera de défendre les enfants.
Mettez des fiottes et des femmes au pouvoir, vous récolterez le Califat.