Captain Harlock
Démocratie Participative
15 février 2019
Nous en savons un peu plus sur la future loi terroriste que le gouvernement juif d’occupation veut mettre en place pour faire taire ces sales goyim en état de sédition que vous êtes.
C’est la boule de slime maghrébine de Mahjoubi qui s’est visqueusement répandue sur la question à côté de la putain des juifs Schiappa.
Contre les contenus haineux et le harcèlement en ligne : mobilisation générale. Ce matin, je présenterai notre plan d’action avec @MarleneSchiappa aux associations et aux plateformes. Découvrez le détail des 10 thèmes. https://t.co/QkKG3BWQ4D
— Mounir Mahjoubi (@mounir) 14 février 2019
Nous sommes d’ailleurs, nous à Démocratie Participative, explicitement cités par ce gros loukoum enjuivé comme l’une des cibles principales du texte. Le coeur et l’âme de l’ennemi à abattre, si vous préférez.
Nouvelles procédures calibrées pour lutter contre les sites miroirs. Le site Démocratie Participative, qui a démultiplié les contournements après son blocage judiciaire, est cité en exemple. 15/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Voici, rapidement exposés, les différents points prévus.
Mis en place par les plateformes d’un avertissement présentant les risques encourus en cas de production de contenus haineux ou illicites [« être haineux, tue » ?] 1/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
La plateforme devra préciser les contenus visés par ces alertes (ça c’est bien, ça, ça ne l’est pas) 2/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Collaboration des réseaux sociaux avec les associations œuvrant dans l’éducation et l’information [comment ?] 3/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Explications des standards de modération par les plateformes (ça c’est bien, ça, ça ne l’est pas, bis) 4/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Rapprochement entre l’État, l’association et ces intermédiaires pour cibler les contenus les plus problématiques ?️5/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Ces standards seront audités et revus chaque année par un régulateur, non désigné (coucou le CSA ! Allume ton DX2/66, on arrive) 6/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Ce régulateur supervisera les outils de signalement pour qu’ils soient plus facilement identifiables et mobilisables en quelques secondes par les utilisateurs. ? point #GrosBoutonRouge 7/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Ce régulateur supervisera les outils de signalement pour qu’ils soient plus facilement identifiables et mobilisables en quelques secondes par les utilisateurs. ? point #GrosBoutonRouge 7/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Mise en quarantaine des contenus considérés comme « illicites » (non LCEN) sans être « manifestement illicites » (LCEN). En somme, on abaisse le seuil de suppression dès qu’un contenu a une apparence un peu chelou. 9/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
ouf ! les internautes dont les contenus ont été ainsi épinglés pourront faire « appel ». « Bonjour Twitter, je suis celui qui a traité tel secrétaire d’état de #TêtedEnclume, pardon, je voulais pas, j’ai été mauvais, stupide, haineux » 10/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Obligation de retrait en quelques heures des « contenus à risque », qui pèsera avant tout sur les gros acteurs. Un régime à deux vitesses donc, les petits acteurs seront plus ou moins épargnés. Sous quel seuil ? Qu’est ce qu’un contenu à risque ? 11/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Obligation pour les plateformes de soutenir les victimes dans leurs démarches (plaintes, mise en relation avec des associations, mise en relation avec les services d’écoute) #3615Help 12/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Délai impératif imposé aux intermédiaires pour révéler aux autorités l’adresse IP et les autres données de connexion des internautes. Twitter pourra-t-il dire « niet ! » si l’IP vise un contenu simplement « à risque » ? 13/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Délai impératif imposé aux intermédiaires pour révéler aux autorités l’adresse IP et les autres données de connexion des internautes. Twitter pourra-t-il dire « niet ! » si l’IP vise un contenu simplement « à risque » ? 13/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
Dans le cadre d’une coopération avec les autorités, obligation pour les grosses plateformes d’identifier les auteurs récurrents des « contenus haineux ou dangereux ». Coucou #ligueduLOL mais pas que. 14/16
— marc rees (@reesmarc) 14 février 2019
En résumé, il s’agit du projet de judéo-bolchevisation de l’internet en France avec sa mise en coupe réglée par le gouvernement et sa Tchéka numérique.
Les juifs ont les yeux plus gros que le ventre
Le programme des juifs sur la question est très, très ambitieux. Pour être tout à fait honnête, il est trop ambitieux.
Les chances qu’ont ces juifs de remplir leur objectif de transformation de l’internet français en intranet sur surveillance permanente de leur police politique est proche de zéro.
Tout d’abord en raison du coût et de la complexité technique d’un tel projet, absolument énormes, mais aussi des conditions nécessaires pour le mener à bien que sont consensus social et stabilité politique.
Ce projet survient près de 30 ans après la démocratisation de l’internet en France. La restructuration du net nécessiterait des années de travail et encore, pour y parvenir, l’Etat Français devrait disposer des meilleurs ingénieurs de la planète.
Je suppose que le seul fonctionnement de la SNCF devrait suffire à rappeler que la France est la France, pas l’Allemagne ou la Chine.
Avant même le début de ce projet, nous savons déjà qu’il n’aura ni les fonds ni les hommes pour une mise en place réelle.
Le dernier exemple des grandes ambitions qu’affiche cette cage à poules cégéto-soviétique qu’est la république française s’appelle SIRHEN. Un simple logiciel pour les ressources humaines de l’Education (post)Nationale qui a englouti 320 millions d’euros avant d’être abandonné parce que cet état marxiste était tout simplement infoutu de le déployer.
Et je ne parle pas de Louvois, son équivalent pour l’armée française, dont la foirade a été facturée 200 millions d’euros aux braves goyim que sont les contribuables français. Ce logiciel dont la durée, entre sa conception et son déploiement, fut de 15 ans.
Et j’aime autant vous dire que la structure à mettre en place pour traquer les utilisateurs de l’internet français est un million de fois plus complexe à bâtir qu’un logiciel de compte.
Mais comme les juifs et les fiottes, sans parler de la bourgeoisie dégénérée sur laquelle ils règnent, sont pris de panique, ils vont tout de même dépenser du fric et le dépenser n’importe comment.
A cause de nous.
Le coût politique
Et il ne s’agit là que du coût matériel.
Le plus important, c’est le coût politique pour ces juifs démoniaques.
Le système juif en France ne peut plus compter que sur environ 25% de soutien populaire, indépendamment de l’identité du président en fonction. Toute mesure de contrôle de masse est donc le fait d’une minorité contre une majorité.
Ce que cette majorité comprend et identifie de plus en plus aux juifs.
Sans même parler des soubresauts permanents de l’opinion publique dans un état anarcho-démocratique juif, l’instabilité fondamentale de cette république épuisée et assiégée ne lui permet pas d’avoir la force de volonté nécessaire pour mener à terme un projet stratégique qui nécessite autant de moyens, de planification et de soutien.
C’est comme vouloir conquérir la lune avec le seul soutien du conseil départemental du Gers.
Il suffit de voir comment les flashballs sont devenus, en trois mois, un véritable point d’enlisement politique pour le gouvernement juif pour voir que ses ambitions actuelles dépassent de beaucoup ses intentions.
Mais les juifs étant irréversiblement juifs, ils ne peuvent s’empêcher d’être stupidement juifs.
Donc de continuer à s’agiter hystériquement face à la menace antisémite même si cela aggrave leur situation.
Au niveau de l’UE, ce serait une tâche encore plus colossale avec cette quantité autistique de langues, de réglementations, de nuances culturelles.
Mais, encore une fois, les juifs étant les juifs, ils vont bien sûr vouloir l’imposer au niveau européen et se mettre à dos une masse énorme de gens, surtout de jeunes Blancs pour qui la censure en faveur de Schlomo, Abdoul et Fofana n’est vraiment pas acceptable.
La PAX JUDAICA
Je veux maintenant revenir sur quelque chose de plus fondamental et qui se situe au coeur de ce projet de censure globale de l’internet en France.
Comme vous l’avez relevé, le mot clef de l’argumentaire juif est celui-ci : la haine.
Associations de défense des libertés publiques, de défense des victimes, plateformes, tous réunis aujourd’hui pour débattre de la lutte contre la haine en ligne ! Que les haineux sachent que nous ne les laisserons pas agir impunément. Avec @MarleneSchiappa pic.twitter.com/NZYZfKuMf3
— Mounir Mahjoubi (@mounir) 14 février 2019
Il faut revenir sur cette notion de haine instrumentalisée hypocritement par les juifs.
Ce qu’ils disent à ce sujet, tant dans leur presse que par le biais de leur gouvernement, c’est que la haine – implicitement imputée aux Blancs et de toute façon à ceux que les juifs combattent – mène à la division de la société cosmopolite le long de lignes de fracture irréductibles car déterminées biologiquement par l’ascendance ou la génétique : race, sexe, religion.
La lutte contre « le racisme » entreprise par un gouvernement juif d’occupation ne vise à rien d’autre qu’à neutraliser les forces centrifuges qui peuvent faire s’effondrer le centre du pouvoir politique de caractère internationaliste/anti-national qu’ils ont entre leurs mains.
Ces lignes de fracture deviennent autant de lignes de front dans une guerre remettant en cause la PAX JUDAICA.
Cette PAX JUDAICA – comprendre la domination de l’ordre juif – repose sur l’invisibilisation du juif aux yeux des populations conquises grâce à l’égalitarisme et ses succédanés – antiracisme , sans-frontiérisme, immigrationnisme, culpabilisation – afin de lui donner les moyens d’affaiblir son ennemi principal que sont les hommes blancs hétérosexuels en âge de se reproduire, donc perpétuer leur groupe sur leur territoire.
Il s’agit pour le juif de frapper l’homme blanc en tant qu’homme blanc tout en s’assurant que l’homme blanc ne puisse pas répondre à l’agression raciste en frappant explicitement le juif pour ses crimes. Le racisme juif entend attaquer les autochtones tout en leur interdisant toute mesure d’autodéfense raciale.
Dans un pays conquis par les juifs, seul le racisme juif a le droit de cité. Mais comme la disqualification de l’instinct de conservation des autochtones passe par la diabolisation générale du racisme, le juif ne peut pas assumer publique son propre racisme.
Pour y parvenir, le juif se dissimule en gommant tout ce qui peut rappeler qu’il est juif et rendre ainsi impossible son repérage et sa neutralisation par les autochtones attaqués.
Le juif s’assure donc de sa dissimulation – derrière le mensonge de l’indifférenciation « citoyenne » – et, s’il est finalement ciblé, il a préalablement convaincu les goyim, par la confusion identitaire du mimétisme culturel qu’il emploie, qu’une réaction défensive à l’agression juive de la part de certains autochtones est une agression contre les autres autochtones qu’il a plongé dans la confusion.
Formulé autrement : par la triangulation, le juif s’assure toujours qu’une réaction de défense d’un peuple goy se retourne contre ce même peuple afin de ne pas subir le contrecoup de son offensive qui a déclenché la réaction en premier lieu.
C’est qui fait du juif le vecteur naturel de la guerre civile dans les nations qu’il infiltre. C’est aussi ce qui explique pourquoi il est particulièrement à l’aise dans l’espionnage, le sabotage et le mensonge.
Le juif, outre qu’il déstabilise toujours une société au sein de laquelle il s’installe, doit se dissimuler dans la masse pour s’y maintenir tout en l’affaiblissant.
Le juif s’ingénie à faire croire aux goyim naïfs qu’il est des leurs quand le juif n’est jamais que de son camp. Cette dissimulation est absolument essentielle. C’est également ce qui le pousse à prendre la tête des mouvements de contestation au sein d’une nation qu’il veut mettre en coupe réglée : c’est la meilleure assurance-vie contre toute réaction d’autodéfense indigène.
Pour en revenir à ces attaques contre l’homme blanc, elles s’expliquent aisément : ce sont ces hommes blancs qui représentent la seule menace biologique tangible, à terme, contre l’ordre colonial juif. La seule force pouvant créer un mouvement de décolonisation patriotique.
Il va sans dire que tout ce qui remet en cause cette PAX JUDAICA est un défi lancé à l’ordre établi, c’est à dire au statu quo.
D’où cette évidence : seuls ceux qui prospèrent du statu quo qu’est la « Paix juive » peuvent vouloir le maintien de cette « paix ». Logiquement, seuls ceux qui souffrent de cette « Paix juive » peuvent vouloir son renversement : essentiellement les hommes blancs, hétérosexuels, voulant à nouveau dominer leur destin et leur terre.
Sociologie de la PAX JUDAICA
La Pax judaïca actuelle est garantie par un système qui libère certains individus des différentes contraintes jusque-là admises vis-à-vis de leur peuple. A commencer par celles de la perpétuation du groupe par la défense de son intégrité biologique via l’armée ou la reproduction.
La PAX JUDAICA consacre énormément d’énergie à la désagrégation d’un peuple aryen en détruisant ses solidarités organiques, à commencer par sa cible prioritaire qu’est la famille.
Le système juif recrute activement des auxiliaires au sein des populations autochtones en excitant chez certains individus prédisposés les tendances à la désagrégation les plus utiles au système destructeur juif. Ceux qui peuvent affaiblir avec le plus de zèle le groupe racial exploité pour le maintenir en état de sujétion.
Ces individus autochtones dégénérés deviennent ce que l’on pourrait appeler des juifs de synthèse spécifiquement retournés contre le peuple autochtone.
Ce sont, bien sûr, les femmes dénaturées par le juif grâce au virus masculiniste que l’on appelle « le féminisme » et les homosexuels. Le pouvoir juif, plus récemment, a également commencé à valoriser la dégénérescence physique des hommes blancs en âge de procréer et de combattre grâce à la promotion agressive des tarés – « handicapés » – en tous genres.
C’est en cela qu’un peuple soumis par les juifs doit subir le programme de pacification juive, c’est-à-dire son désarmement irréversible. Et pour les juifs, le seul désarmement acceptable est l’éradication définitive par divers moyens : destruction du foyer familial, matrice de la continuité biologique blanche, avortements de masse, démantèlement du patriotisme, pacifisme, etc..
Ce qui fait du juif un peuple ontologiquement génocidaire, le ferment de la destruction des nations qui sont trop faibles pour rejeter le virus sémitique.
Sur la haine perfide des juifs
Sous la PAX JUDAICA, le groupe majoritaire et sain, seul légitime à gouverner mais déclassé, devient la proie des attaques permanentes de la nouvelle aristocratie sémite et de ses vassaux parvenus.
Car la PAX JUDAICA ne repose pas sur un rapport de force naturel mais sur l’abaissement des forts et la promotion artificielle, truquée par un jeu de guerre psychologique, des faibles sur lesquels règne le juif. Abaissement des peuples forts au profit des faibles et du juif qui n’est rendu possible que par la démocratie libérale dissolvante ou le bolchevisme égalitariste le plus brutal.
C’est ce caractère contre-nature qui rend cette même PAX JUDAICA intrinsèquement précaire, sujette à de violentes contre-attaques des forts contre la tyrannie dégénérative des faibles.
La dénonciation de la « haine » – donc la délégitimation du principe même d’autodéfense des exploités le long des lignes de fractures citées plus haut – vise en réalité à exciter la haine de ceux qui ont intérêt au maintien de la PAX JUDAICA contre ceux qui sont floués par elle : les autochtones, c’est-à-dire les hommes blancs hétérosexuels.
Une fois cette haine contre l’ennemi autochtone excitée, le pouvoir juif annonce de nouvelles mesures de pacification qui remportent l’adhésion des tenants de l’ordre juif établi.
L’individualisme politique, social et économique de la classe dominante de ce système judéo-démocratique est la racine de cette fausse empathie qui consiste à rejeter ostensiblement la haine et l’agressivité.
La dénonciation de la haine s’accompagne d’une obligation à respecter l’ordre établi qui garantit à la classe dominante de continuer à dominer. En France, ce que la PAX JUDAICA appelle « la république ».
Le 5 janvier, il avait roué de coups nos gendarmes. Justice a été rendue.
Nul ne peut violer la loi et attaquer impunément ceux qui risquent leur vie pour protéger la nôtre.
Chaque insulte, chaque coup porté contre eux est un parjure du serment républicain qui unit notre Nation.— Christophe Castaner (@CCastaner) 13 février 2019
La haine juive disqualifie la haine salutaire du peuple qu’il opprime
Le juif n’assume ouvertement jamais sa haine envers ceux qui refusent de se soumettre à sa tyrannie car ce serait reconnaître sa soif de son hostilité et sa soif de domination face à un ennemi plus nombreux que lui.
Il avoue bien plutôt sa haine en l’excitant au sein même du peuple qu’il veut gouverner. Il incite à la haine tous les éléments marginaux qui sont les perdants de l’ordre aryen, c’est-à-dire contre les détenteurs naturels du pouvoir : les Blancs.
C’est pour cela que la tyrannie du juif repose sur l’exaltation de la faiblesse et de l’échec au sein du peuple qu’il assujettit, faisant de lui le catalyseur par excellence des tendances dégénératives d’un peuple.
Il se présente comme le gardien bienveillant des marginaux qu’il a recruté pour leur faiblesse au sein des débris de l’ordre social qu’il détruit.
Au titre de cette faiblesse dogmatique qu’il professe, son principal moyen de légitimation est de se présenter en victime innocente de l’injustice inhérente à toute société blanche.
Aux yeux des juifs, la légitimité du plus fort est caduque si ce plus fort n’est pas eux.
La tyrannie juive prend toujours le soin d’énoncer ce deux poids deux mesures : « Si le juif est assez fort, il doit régner ! Si le juif ne l’est pas, les autres ne le doivent pas ! »
Tant que le juif n’est pas au pouvoir, aucun pouvoir ne sera jamais légitime à ses yeux. Une fois qu’il est au pouvoir, aucune remise en cause de son pouvoir ne sera jamais légitime à ses yeux.
Des paramilitaires prêts à venir en renfort des #GiletsJaunes. Il n’y a que les naïfs pour s’étonner des propos de #ChristopheChalençon en Italie. J’ai senti, dés son Acte 1, la dimension fasciste à l’œuvre dans ce mouvement qu’on nous présentait pudiquement comme populiste.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 15 février 2019
Le caractère anti-social de l’individualisme dégénéré et prédateur que le juif distille dans les esprits de ses recrues génère de profonds déséquilibres qui nuisent ensuite gravement au groupe autochtone.
Ainsi en va-t-il par exemple de la stratégie migratoire actuelle qui consiste à introduire de nouveaux prédateurs allogènes sur le territoire pour le contrôle duquel luttent la classe juive dominante et la race dominée.
Pour dominer, le juif doit toujours détruire un peu plus, le juif menteur se proclame seul garant de la vérité et seul gardien de la justice.
Mais la PAX JUDAICA ne charrie que guerre civile et révolution et la « paix juive » démultiplie les conflits pour se survivre à elle-même.
C’est pour cela que la haine de l’autochtone est non seulement salutaire mais nécessaire et celle du juif illégitime et criminelle.
Aussi quand le juif croit nous injurier lorsqu’il hurle à la haine, il avoue en réalité que nous l’avons frappé avec efficacité.
Notre haine est la bannière de notre liberté.
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