Captain Harlock
Démocratie Participative
25 février 2021
Bien mieux qu’Uber Eats.
Le rêve de toute Boomeuse qui se respecte est enfin réalisé : la livraison de mâles africains à domicile grâce à l’uberisation migratoire.
Face à la précarité étudiante, l’association la navette étudiante continue d’agir et propose avec la Ville de Pau des repas partagés entre étudiants et familles volontaires.
Le panier de basket du terrain de la résidence étudiante Gaston Phoebus n’a plus de cercle. Les lignes y sont mais les joueurs ne viennent plus. Hier, un soleil printanier profitait aux associations installées là ou jadis rebondissait le ballon orange. Il y avait la petite camionnette « marguerite », qui sert d’antenne mobile au centre social la pépinière, quelques gilets sable et rouge de la Croix-Rouge et les services civiques, Jade et Hugo de l’association la navette étudiante. Quelques tables et sièges en métal fluo et des étudiants qui s’y relaient.
Parmi eux, Djany, 24 ans. Ce jeune étudiant gabonais est arrivé en septembre à Pau pour rejoindre l’institut de commerce, l’IEC « au centre de la ville ». Son arrivée en France a mal commencé. « Quand un noir demande un renseignement c’est toujours compliqué » explique le sémillant étudiant, qui ne peut plus qu’en rire.
Après avoir passé la journée à « Charles-de-Gaulle », l’aéroport, faute d’avoir pu trouver sa correspondance, Djany est arrivé en Béarn en retard et un peu méfiant. Mais les cartes ont été rebattues il y a quelques semaines grâce à l’opération « repas partagés » menée tambour battant par l’association la Navette étudiante.
Depuis le début du mois de février, 70 étudiants ont pu bénéficier de cette action qui dessine les contours d’un déjeuner entre des familles volontaires et un ou deux étudiants demandeurs. Deux cents couples avec ou sans enfants se sont inscrits sur le formulaire de la Ville de Pau ou auprès de la Navette étudiante.
Le 2 février, Djany est allé déjeuner chez Mariette et Ahmed. « Au début, j’étais hyperstressé mais elle a su me mettre en confiance. Nous sommes toujours en contact, confie l’étudiant, elle me motive, me dit ‘‘tu ne lâches pas hein’». Mariette de son côté, humaniste invétérée sait « que les étudiants souffrent beaucoup, que certains ont passé Noël seuls ». Parce que « la vie est une chaîne » et que « l’autre est très riche » explique Mariette Chabaud, cette expérience, le temps d’un repas, s’est déroulée à merveille.
« Humaniste invétérée »
Ce qu’il faut comme trésors d’imagination à un journaliste de gauche pour trouver un camouflage acceptable aux vieilles Blanches avides de bite africaine.
Une petite victoire parmi tant d’autres pour la Navette étudiante qui multiplie les bonnes actions. La dernière en date : une collecte record de vêtements pour les étudiants, avec un don de plus de 1 000 articles grâce aux particuliers. L’opération menée avec les services de la Ville de Pau et le personnel dédié au « Plan anti-solitude » a permis de « remobiliser » les équipes et de réactiver la ligne de téléphone pour les inscriptions. « La première semaine, ils se sont fait submerger », exagère presque Christophe Gomez de la Navette étudiante.
Depuis les repas se poursuivent avec un meilleur encadrement. « On contacte les familles inscrites pour connaître leurs disponibilités, pour les prévenir des différents types de régimes, de confessions. Il fallait aussi maintenir cet effort de communication pour éviter qu’ils s’impatientent trop quand ils n’ont pas encore fait de repas partagés » détaille le chef de l’asso. L’accompagnement de la Navette étudiante se poursuit au pas de la porte des hôtes bénévoles. « On le fait pour rassurer les étudiants. Quand tu n’es pas du pays c’est difficile d’aller manger chez quelqu’un. Finalement, on s’aperçoit que les étudiants français sont les pires, ils me disent ‘mais qu’est ce tu veux qu’on aille manger chez des gens ?’». Malgré cette réticence primaire, le succès des repas partagés n’est plus à prouver, mais faut-il s’en réjouir ?
Quand la crise sera terminée, Mariette Chabaud « espère que cela va perdurer » que « ce lien » crée pendant la crise sanitaire va se maintenir. « En tout cas, assure-t-elle, la prochaine fois que je sors avec mon bonhomme, j’inviterai Djany ».
Ahmed va faire face à de la très sérieuse concurrence. Mariette a déjà traversé la Méditerranée, franchir le Sahel ne lui fera pas peur.
Djany le gabonais a parfaitement compris tout ce qu’il pouvait retirer d’une Boomeuse lubrique qui a l’intention de se faire bourriquer par l’Afrique jusqu’à ses 90 ans : papiers, domicile, héritage, pension de reversion. Plus tard, regroupement familial avec la venue de ses deux femmes épousées à l’âge de 15 ans dans son village natal. Djany sera « un Béarnais heureux » comme le racontera alors le journal Sud Ouest.
C’est en tout cas bien trouvé de la part des marxistes subventionnés par la mairie de Pau – qui se trouve être le fief de Bayrou. En livrant des cafres à domicile à des Boomeuses, les régularisations « amoureuses » ne peuvent que se multiplier. Quelle formidable pompe à nègres, d’autant que, pour subventionnée que soit cette association rouge, c’est aux vieilles Blanches de payer la bouffetance des nègres qu’on leur refile.
Ces communistes savent compter l’argent des autres.
Il va sans dire que ce dispositif est pensé par et pour des traînées blanches. Si Louis, 67 ans, recevait une étudiante biélorusse de 22 ans chez lui pour des « repas », vous n’auriez pas assez d’un livre de 1,000 pages pour recueillir toutes les invectives de femmes blanches ivres de rage publiées en commentaires sur Facebook. Et pas des plus prudes.
Ce genre de dispositif n’est pas unisexe. Vous n’aurez pas votre étudiante en lettres polonaise livrée par Uber Bite. En revanche, vous avez intérêt à payer vos impôts locaux à heure dite. Sans ça, Bayrou ne pourra pas assouvir les désirs de ses électrices soixante-huitardes.
*Merci à Saucisse d’Auschwitz