Capitaine Harlock
Démocratie Participative
17 juin 2017
L’Ile-de-France étant désormais une terre en voie de colonisation islamique avancée, nous assistons à un phénomène marginal qui est celui de la « réserve ». La bourgeoisie gauchiste dégénérée se bunkerise dans le centre de Paris et recrée une sorte d’environnement sous cloche, cerné par des masses de plus en plus nombreuses de salafistes et de pouilleux du tiers-monde.
Anne Hidalgo avance sur ce chemin avec détermination.
52 propositions de @JeanLucRomero pour faire de #Paris une capitale mondiale #LGBTIQ protectrice et attractive! ????️????https://t.co/rPzCPVHwtn pic.twitter.com/IiFTVuWNBt
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 13 juin 2017
Les sodomites, travelos et autres déphasés sexuels constituent finalement la seule tribu blanche réellement consciente d’elle-même qui se dote d’une stratégie de survie et de domination. Et elle occupe le haut de la pyramide sociale qui est, dans l’Occident dégénéré, concentré dans les mégalopoles.
La ville de Paris a donc développé ce projet de réserve.
« Nous devons être plus visibles, audibles, entreprenants et audacieux », a promis Anne Hidalgo en recevant mardi le rapport [PDF] « Paris, ville phare de l’inclusion et de la diversité » demandé à l’élu parisien et conseiller régional Ile-de-France Jean-Luc Romero, en soulignant que Paris, ville des droits de l’homme, était déjà « LGBTIQ-friendly » (lesbiennes, gay, bisexuels, trans, intersexes ou queer).
Paris « n’est pas une belle endormie mais n’est pas toujours au diapason des autres capitales parfois plus audacieuses » en matière d’accueil de la communauté gay, a affirmé Jean-Luc Romero. Son rapport note « l’image un peu plus terne » de la capitale française auprès du public gay comparée à celle de San Francisco, Montréal, Tel-Aviv ou Madrid.
Il relève que depuis le mariage pour tous, « peu de réelles avancées ont été mises en œuvre, et le climat de tension actuel laisse penser en France et à l’étranger qu’un recul des droits et des libertés serait possible ».
Le rapport se penche à la fois sur les enjeux sociaux, d’acceptation et de sécurité, et sur les enjeux économiques, en matière de tourisme et d’image – d’autant que la capitale accueillera en août 2018 les Gay Games et souhaite « renforcer une image positive et d’ouverture durant ce grand moment de visibilité internationale ».
Entre deux attentats djihadistes, il faudra accueillir les « Gay Games ». Ce n’est pas une petite affaire, compte tenu de la proximité des zones de peuplement islamique.
Pour cela, la Ville est invitée à renforcer ses engagements contre les discriminations et leur portée vers le grand public ; notamment autour du 17 mai, date annuelle de la Journée mondiale contre la lesbophobie, l’homophobie, la biphobie et la transphobie.
J’ai coché toutes les cases des phobies mentionnés.
Cette proposition a été acceptée, et Paris doit remettre chaque année la médaille de la Ville à des personnes s’étant illustrées dans la lutte contre l’homophobie. Mardi, Anne Hidalgo a avant la remise officielle du rapport décerné la médaille à Shams (association tunisienne) et à l’Ardhis (Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et transsexuelles à l’immigration et au séjour), partenaire de la Ville pour accompagner les réfugié(e)s LGBTI.
Le rapport propose la diffusion aux partenaires de la Ville du guide pratique de SOS Homophobie, pour améliorer la lutte contre les discriminations et les violences LGBTIQ-phobes (il rappelle que l’on recense « en moyenne, seulement 70 condamnations par an sur ces sujets pour 1.500 faits recensés ») et la prise en charge des plaintes.
Un récent rapport de l’Organisation mondiale du tourisme et de l’IGLTA (association internationale du tourisme LGBT) estime que les touristes LGBT sont une des clientèles les plus résilientes après une crise, ayant tendance ainsi à revenir plus rapidement que les autres après des attentats. Une raison de plus pour Paris, dont les hôtels et autres entreprises du tourisme ont vu leur activité chuter après les tueries de 2015, de travailler à attirer cette clientèle.
« Ces personnes représentent 10% du tourisme mondial, Paris est la ville de l’amour, celle du mariage pour tous et doit encore davantage s’ouvrir », a déclaré Jean-Luc Romero au « Parisien ». « L’office du tourisme va travailler sur des circuits, des offres, un label pour accueillir et conseiller ces touristes » (en France, rappelle le rapport, Le Mans et Nice ont fait un travail de labellisation de l’accueil gay-friendly).
Paris, qui a adhéré en 2016 au groupement Rainbow Cities Network (une trentaine de villes du monde), va déployer « une communication touristique dédiée aux personnes LGBTI », pour « accompagner la programmation très riche de l’année 2018, dont le point d’orgue sera l’accueil des Gay Games », annonce la mairie.
En somme, faire de Paris-centre une réserve de type « carte postale » pour toutes les fiottes de la planète serait la meilleure stratégie dans le cadre d’une économie de guerre face aux djihadistes. En France, on a pas de pétrole mais on a des anus.
Paris, capitale « multiculturelle », se résumera en somme à un aller-retour permanent entre ça :
Et ça :
Pour faire bonne mesure, entre la gay pride et la célébration du ramadan à l’hôtel de ville, Paris devient également la « capitale du migrant ».
Nous vivons en pleine dystopie.
Le scénario le plus caricatural qu’un écrivain fasciste aurait pu imaginer pour discréditer la bourgeoisie gauchiste est dépassé, littéralement, par la réalité.
Nous en sommes réduits à devoir choisir entre l’État Islamique et les transsexuels sidaïques de Hidalgo.
En fait, la Manif’ Pour Tous aura été le dernier sursaut. Ce qui nous attend est un flot toujours plus énorme de merde. Qu’il s’agisse du flux ininterrompu de nègres et de métèques orientaux d’une part, ou des anus éclatés déféquant du foutre d’autre part.
Curieusement d’ailleurs, peu nombreux sont ceux qui relèvent le degré de folie de ce projet revendiqué par les élites dominantes. Comme si le voisinage entre salafistes évoluant mentalement au 7ème siècle et tanches sidaïques était l’évidence.
Pour ma part, j’ai toujours des doutes.