Paris : Sequana, déesse de la Seine, noie 2 clandestins musulmans

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
09 mai 2018

La déesse de la Seine Séquana a décidé de frapper la pourriture islamique avec la plus grande sévérité.

Le Parisien :

Dimanche et lundi, deux migrants se sont noyés, l’un dans le canal Saint-Martin, l’autre dans le canal Saint-Denis.

Alors que les campements ne cessent de grossir dans le nord-est de la capitale, où sont réfugiés plus de 3 000 migrants, deux d’entre eux ont trouvé la mort par noyade. Dans la nuit de lundi à mardi, un jeune Afghan d’une vingtaine d’années, ivre, a sombré dans le canal Saint-Martin (Xe), sous les yeux des nombreux badauds qui profitaient de cette soirée estivale, et de ses compagnons d’infortune.

Le drame a eu lieu peu après minuit, quai de Valmy, et les tentatives de réanimation des pompiers sont restées vaines. D’après les témoignages, la victime a voulu sauter dans l’eau pour traverser le canal. Il s’est donc déshabillé sur le quai, malgré les protestations de ses camarades, et a plongé en caleçon et chaussettes. Il aurait nagé quelques mètres avant de couler et de disparaître.

Dimanche, dans le canal Saint-Denis (XIXe), à proximité du gigantesque campement situé aux abords du centre commercial du Millénaire, qui accueille de plus en plus de migrants depuis le mois de février, le corps d’un homme – peut-être d’origine somalienne -, a été repêché en état de décomposition avancée. Dépourvu de papiers, il n’a pas pu être identifié, et a été transporté à l’institut médico-légal (IML), pour y être autopsié. C’est un promeneur qui a signalé la présence de la dépouille, flottant sur l’eau, et qui a alerté les secours.

Face à ces deux drames, la Ville réitère une nouvelle fois son appel à l’État, pour que les trois campements du Nord-Est soient démantelés et que les exilés soient mis à l’abri.

Mais aucune date précise n’a été avancée. « Au mois de mars, déjà, la maire de Paris Anne Hidalgo écrivait au ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, que l’étroitesse de certains passages entre les tentes des migrants et les canaux, parfois réduite à moins de 50 cm, génère des risques très significatifs de noyade », détaille-t-on à l’Hôtel de ville. « Vendredi dernier encore, la maire, depuis le campement du Millénaire craignait qu’un drame survienne… Nous y sommes, malgré les barrières de sécurité qui ont été posées. »

Voilà deux envahisseurs mahométans de moins.

La colère gronde.