La rédaction
Démocratie Participative
25 août 2023
Deux salles, deux ambiances.
Le 25 août 1944, #Paris se libérait de l’occupation allemande. 79 ans après, nous rendons hommage aux combattants qui ont rendu à notre capitale sa liberté et sa dignité.
N’oublions jamais que l’Europe est issue de la paix, qu’elle est le rempart de cette liberté retrouvée 🇫🇷🇪🇺 pic.twitter.com/TVMJJOqYKv
— Laurence Boone (@LaurenceBoone) August 25, 2023
RER bondé ce matin. J’étais l’unique Blanc de tout le wagon. Sur environ 500 personnes, le seul.
Il ne s’agit plus de sauver la France, c’est trop tard. Il s’agit de nous battre pour ne pas disparaître purement et simplement. pic.twitter.com/y60Qioyutf— Hermes 🌞 (@Otrismegistos) August 25, 2023
Entre ces deux photos, il n’y a pas seulement les juifs, leurs médias, leur culture. À l’extrême limite, ils ne comptent pour presque rien.
Ce qu’il y a réellement entre ces deux tweets, ce sont les boomers.
Un politicien doit faire plaisir aux boomers. Personnellement, je suis tombé dans un exercice horrible : suivre des comptes de profs d’université qui parlent de la « Libération ».
C’est comme de l’acupuncture, mais vous vous enfoncez les aiguilles de 5 centimètres.
Chaque bougnoule qui vous toise au coin d’une rue acquiert une dimension métaphysique nouvelle.
La matrice de ça, c’est ce compte qui continue de résister au nazisme, déjà que les Français n’y ont pas résisté quand il casernait en France :
Août 1944. L’insurrection à Paris. Il est sur les barricades. Forcément. Comme il fut à Annecy parmi les plus entreprenants à aider juifs et résistants. Comme il sera bientôt aumônier sur le front des Alpes où, le 31 mars 1945, il sera mortellement blessé. L’abbé Camille Folliet. pic.twitter.com/TRDl4t974a
— Paroles de Combattants de la Libération (@paroles_la) August 23, 2023
La France résiste vaillamment.
Sur Twitter, en 2023.
Les boches ne lui font pas peur, elle retweete hardiment.
Rougeyron le RT tous les jours, ce qui démontre que c’est une valeur sûre de boomerland.
Il faut dire que nous avons à nos basques une nuée de vieux dingos culturellement antifas qui assimilent tout ce que font les juifs à l’Allemagne nationale-socialiste.
Par exemple, ils citent Pasolini.
C’est un grand classique de la cuistrerie triple vaccinée, Pasolini. Un incontournable.
Son film freudo-marxiste délirant, sorti d’un esprit authentiquement malade – Pasolini était une fiotte -, « Salò ou les 120 Journées de Sodome », illustre à merveille toute la somme d’immondices que les boomers enjuivés projettent sur les fascistes, et les valeurs d’ordre, depuis 80 ans.
Ces gens sont cliniquement fous.
Ils accusent les autres de ce qu’ils font.
Un type qui cite Pasolini doit être fusillé sur place, sans procès.
Cette cuistrerie homosexuelle antifa n’a pu exister qu’après la victoire des juifs en 1945. C’est la marque de fabrique des boomers.
Vous voyez un truc juif, archi-juif, le boomer réagit en se disant : « C’est les nazis ». Ça ne manque pas. Plus c’est juif, plus c’est nazi pour les boomers.
Typiquement, la démagogie hispano-rouge de « Sud Radio » qui porte formidablement bien son blaze.
Il y a 26 ans, Éric Cantona donna un coup de pied à un nazi. Il fut condamné à 2 semaines de prison, 9 mois sans jouer et une amende de 18000 €. Il est le petit-fils d’exilés républicains et dit tjrs que donner un coup de pied à un fasciste fut le meilleur moment de sa carrière. https://t.co/g5FzGxVwPW
— Didier Maïsto (@DidierMaisto) February 8, 2021
Ils sont construits là-dessus depuis les 75 ans qu’ils marchent sur cette planète.
La destruction de la démocratie, du marxisme, de toutes les formes d’égalitarisme, du misérabilisme, de la joue tendue, du cul bien chiasseux en solidarité internationale, voilà le seul grand mouvement émancipateur de notre temps. Si nous restons embourbés dans la morve des victimes geignardes, nous finirons dirigés par des nègres.
Ou allez savoir quelle autre race de rastaquouères.