Captain Harlock
Démocratie Participative
30 avril 2018
Voilà, c’est dit : on va virer ces sales Blancs racistes qui colonisent l’Europe.
Du vendredi 4 au dimanche 6 mai, la conférence internationale « Bandung du Nord » pour une « internationale décoloniale » se tiendra à la Bourse du travail de Saint-Denis.
La référence est revendiquée. Lors de la conférence de Bandung de 1955, les représentants de 29 pays africains et asiatiques s’étaient retrouvés pour la première fois dans cette ville d’Indonésie pour marquer leur entrée sur la scène internationale en tant que pays du tiers-monde décolonisés, ainsi que pour affirmer haut et fort leur non-alignement envers les deux grands blocs – l’URSS et les Etats-Unis. En 2018, c’est un évènement d’un autre genre qui se tiendra à Saint-Denis entre le 4 et le 6 mai : la «première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras le corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le nord global».
Le postulat de départ des organisateurs: environ 160 millions de «non-blancs» vivent dans les pays du «Nord global». Selon eux, ces personnes «font l’expérience du racisme dans toutes les sphères de la vie, tel un rappel constant de la continuité de l’héritage colonial». Ce racisme se manifesterait «dans le système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d’un État policier et cible les personnes non blanches». Ainsi, l’objectif affiché de cette conférence est de défendre une «Internationale Décoloniale qui scellerait une alliance politique entre les mouvements décoloniaux d’Occident».
Apparemment nous allons donc être décolonisés par les nègres et les musulmans qui nous colonisent.
Ce n’est jamais que la rhétorique de n’importe quel violeur arabe qui se fait serrer et qui accuse sa victime d’être responsable de ce qui s’est passé.
Les races inférieures ont toujours besoin de légitimer leur prédation au plan psychologique, tant pour exciter leurs membres que pour amener le Blanc à capituler sans combattre par l’arme de la culpabilisation.
Plus le nombre de nègres et de crouilles augmentent, plus le délire mental dans lequel ils évoluent devient bruyant, au point d’être considéré comme normal.
Le discours politique ambiant va progressivement se résumer à ça :