Paris : les flics lynchent apparemment un noir pour non-port du masque (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 novembre 2020

 

Nous avons enfin trouvé des flics déterminés à dresser un nègre. Pas de chance, ce n’est pas parce que c’est un nègre qu’ils l’ont dressé mais parce qu’il ne portait pas de masque.

Comme tous les noirs en pareil cas, l’intéressé assure qu’il a été traité de « nègre » par les flics.

C’est bien évidemment faux mais ce nègre connaît le jeu : tout comme il est impossible de démontrer qu’on a jamais regardé une autre nana que la sienne, il est impossible de démontrer que l’on est pas raciste. C’est indémontrable, le soupçon fait le reste.

Le racisme n’est pas un cas de conscience parmi nous mais enfin, pour des flics républicains, c’est la mort professionnelle assurée si le nègre sait se montrer convainquant devant les caméras. Et je dois dire que dans ce cas précis, il est très convainquant.

Si je fais abstraction de tout ça, ces flics deviennent complètement fous. Ils voulaient le traîner de force hors de son studio parce qu’il n’avait pas de masque sur son pas de porte. Ce que ce noir a refusé en s’accrochant à l’intérieur de chez lui avec, au bout du compte, un passage à tabac et 48 heures de GAV.

Ce qui vient de se dérouler ici peut virtuellement advenir partout sur le territoire français. En fait, il y a beaucoup plus de chances pour que cela arrive à des Français de souche qu’à des nègres ou des arabes, justement à cause de cette question de racisme inventé par les médias de gauche. Le gouvernement et les médias ont tellement excité les flics à propos de ces masques qu’ils se défoulent contre la population. Cela me rappelle l’époque des Gilets Jaunes.

Qu’est-ce que la police a à gagner dans la destruction de la société et de l’économie françaises orchestrée par le gouvernement pro Great Reset ? Ces policiers ont des enfants, ils comptent leur offrir quel avenir ?

Se contenter de dire, « j’obéis aux ordres » ne suffira pas. D’ailleurs, on nous explique depuis assez longtemps que ça n’a pas suffi à Nuremberg.

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