La Rédaction
Démocratie Participative
20 octobre 2024
« Quand on court le soir, on nous insulte, on nous menace, on nous dévisage… » Ces femmes ont trouvé la solution : des sessions running en groupe.@CedricCousseau pic.twitter.com/vpfxwxgQPW
— franceinfo (@franceinfo) October 18, 2024
Ce reportage est un petit exemple de la désinformation généralisée de la population par les médias d’état.
Après l’avoir visionné, le spectateur a l’impression d’avoir appris quelque chose, en l’occurrence que face au harcèlement systématique dont elles sont victimes, les femmes courent en groupe.
L’axe narratif de ce reportage est le rapport homme/femme comme se le représente la bourgeoisie féministe blanche habituellement. Il brode sur le thème de la sororité des daronnes qui tiennent en échec les hommes.
La seule information que l’on nous donne donc à propos de la cause de cette initiative est le sexe des harceleurs : ce sont des hommes.
Rien cependant sur leur profil. Et pour cause : ce sont des immigrés afro-musulmans. Si cette information était donnée, on passerait de « Pas tous les hommes, mais tous des hommes » à « Pas tous les hommes, mais tous des bougnoules ».
Si le féminisme est validé par le système dans les sociétés démocratiques occidentales, ce n’est que pour affaiblir la cohésion des peuples blancs et entraver leur capacité à se perpétuer biologiquement.
En donnant l’identité ethnique des harceleurs, le discours féministe validerait implicitement les mécanismes de défense collective des Blancs contre l’immigration, ce qui contredirait par contrecoup l’utilité première du féminisme comme dissolvant antiblanc.
Plus la France devient un enfer quotidien pour les femmes blanches sous l’effet de l’immigration afro-islamique, plus le féminisme officiel doit s’employer à nier cette dimension raciale.
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