Captain Harlock
Démocratie Participative
13 septembre 2020
Je suis satisfait que nous ayons publié notre article sur la nécessaire Dictature du Prolétariat Blanc avant que cette scène ne devienne virale sur les réseaux sociaux.
#12Septembre | L’action des policiers BRAV (Brigade de Répression de l’Action Violente) de la @prefpolice saluée par les riverains. pic.twitter.com/XgHXsIkwtE
— Préfecture de Police (@prefpolice) September 12, 2020
J’ai soudainement de noires envies de Comité de Salut Public et de Grande Terreur.
Dans cette vidéo, nous voyons la grosse bourgeoisie parisienne – dont un beau nombre de youpins originaires de Pologne – applaudir depuis leurs appartements cossus les flics envoyés par Darmanin réprimer les Gilets Jaunes. Cette scène écœurante, relayée par la Préfecture de Police elle-même, exprime parfaitement ce qu’est cette « élite » cosmopolite qui exploite férocement le pays tout en le livrant à l’invasion.
Certes, ces « Gilets Jaunes » ne sont pas des Gilets Jaunes mais bien des gauchistes de la proche banlieue cornaqués par les opportunistes du mouvement mélenchoniste. Mais ça n’a aucune importance quant à ce qui nous préoccupe : s’il s’agissait de véritables Gilets Jaunes, c’est-à-dire du petit peuple blanc qui s’était agglutiné sur les ronds-points fin 2018, ces bourgeois appelleraient la police à verser leur sang dans le caniveau de la même façon.
Probablement avec plus de rage encore.
La haine sociale qui s’exprime ici s’adresse par procuration à nous tous, Blancs des classes moyennes ou populaires impitoyablement expropriés et exploités par ces culs en or enjuivés de la capitale française, base électorale de la bande macroniste. Ne sous-estimez pas le vice et la haine de ces gens-là, ce serait une erreur mortelle. Pour eux, le prolétariat blanc est la classe dangereuse par excellence, celle que tous les jours leurs médias attaquent tant socialement que racialement.
#GiletsJaunes Dans la mesure où cette journée de samedi avait été présentée comme un « test » pour l’éxécutif, on peut dire -prudemment- que @GDarmanin n’a pas raté son premier défi majeur.
— D. de Montvalon (@demontvalon1) September 12, 2020
Lors de la parution de notre article sur la dictature du prolétariat blanc, l’accueil a été le plus souvent chaleureux et enthousiaste car nos gens sont parfaitement conscients de la dimension raciale et sociale de la guerre civile larvée actuelle et savent où ils se situent face à elle. Mais quelques personnes infectées d’embourgeoisement ont solennellement protesté, allant même jusqu’à nous accuser de déviation marxiste. Ces personnes-là réagissent à la question de la confrontation de classes sociales de la même façon que les gauchistes blancs réagissent quand on évoque l’inégalité des races. Ils voudraient que l’on s’en tienne sur le sujet à un commode flou artistique pour ne fâcher personne.
J’entends pour ma part faire le procès des larges pans de cette bourgeoisie sans laquelle nous ne serions tout simplement pas là où nous en sommes. La force motrice, dans l’invasion de la France, a été historiquement le grand patronat français, la clique Bouygues en tête.
L’intérêt de ces grands capitalistes a inexorablement convergé avec ceux de la juiverie, consubstantiellement hostile aux autochtones blancs. Les idiots utiles du marxisme ont été recrutés comme VRP de cette politique d’immigration grâce au pendule hypnotique de l’antiracisme et de l’internationalisme. Ces factions, pour différentes qu’elles soient entre elles, se sont retrouvées sur la planification de l’invasion migratoire du pays.
Ces parasites n’ont que foutre des conséquences quotidiennes de cette politique de remplacement ethnique pour les Français les plus modestes, ces Français qui doivent fuir leurs propres terres pour échapper au cataclysme racial mis en mouvement par les élites en place. Car, justement, cette république appartient à ces parasites avec tout ce qu’elle contient, à commencer par la police. S’ils ont démantelé les frontières du pays, leurs lieux de vie sont protégés par d’épaisses murailles invisibles qu’ils peuvent s’offrir grâce à leurs rentes dynastiques. A l’instar de ces flics que vous voyez sur la vidéo, poitrines stipendiées par les bourgeois macronistes pour défendre leurs quartiers, leurs voitures de luxe et le cul de leurs maîtresses.
Le spontanéisme des Gilets Jaunes est à ce titre un révélateur quasi miraculeux. Nous voyons soudain tous ces bourgeois arrogants tels qu’ils sont, sans filtre.
⚡🇲🇫VIDÉO – « Bonjour citoyen Barbier ! » Des #GiletsJaunes sont entrés dans les locaux de #BFMTV en passant par un parking. (📹 Facebook : Gilets Jaunes Constituants) pic.twitter.com/Owrpmi0ApF
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) September 12, 2020
La sauvage répression des Gilets Jaunes par Macron a rendu cet escroc mandaté par Rothschild encore plus populaire chez cette infâme populace des beaux quartiers parisiens qu’il ne l’était le soir de son élection.
Tous comptent sur lui pour les sauver d’une révolution.
Ceux qui nous reprochent de dresser la cartographie exacte de cette guerre sociale couplée à la guerre raciale en nous accusant de « dérive marxiste » font mine de ne pas comprendre ce que nous disons. Le marxisme n’est que la version sécularisée et expressément judaïsée du christianisme. Son axiome repose sur une eschatologie linéaire de l’histoire devant se conclure par l’égalité réelle totale – la société communiste – au terme d’un processus de destruction de la propriété privée.
Nous ne formulons pas de telles abstractions millénaristes.
En revanche, il y a bien une lutte des classes. Ce concept de lutte des classes n’a jamais été inventé par Karl Marx. C’est l’historien libéral français François Guizot qui a créé ce concept. Ou plutôt, qui a décrit ce phénomène. Il suffit de visionner la vidéo citée plus haut pour constater que la lutte des classes au sein d’une société n’est pas une vue de l’esprit ou une théorie mais un paradigme irréductible.
Ceci pour une raison assez évidente découverte par un autre auteur libéral, Adam Smith, à savoir l’intérêt personnel généré par l’instinct de survie présent en chaque homme :
« Mais l’homme a presque continuellement besoin du secours de ses semblables, et c’est en vain qu’il l’attendrait de leur seule bienveillance. […] Ce n’est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière et du boulanger, que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu’ils apportent à leurs intérêts. Nous ne nous adressons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme ; et ce n’est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c’est toujours de leur avantage. […] La plus grande partie de ces besoins du moment se trouvent satisfaits, comme ceux des autres hommes, par traité, par échange et par achat. »
Une classe sociale se forme comme se forment les planètes : par la gravité des intérêts cumulés de ses membres contre ceux des autres classes sociales. Une classe sociale exprime toujours l’intérêt médian de chacun de ses membres. Une classe sociale n’a rien de figé. Il ne s’agit pas d’un stock mais d’un flux perpétuel entre ceux qui y font leur entrée et ceux qui en sortent, tantôt pour accéder à une classe sociale plus puissante, tantôt pour déchoir.
C’est une simple observation empirique. Tout comme l’inégalité des races est une simple observation empirique. Et toute politique doit être fondée non pas sur des supputations ou des thèses, mais sur la réalité empirique.
La perversion du marxisme provient de la démagogie juive consistant à appeler constamment à l’émeute les couches les plus basses d’une société pour en prendre la tête et la dominer. C’est un processus intrinsèquement destructeur qui ne propose rien d’autre que le sous-développement et l’esclavage au profit d’une mince couche d’exploiteurs encore plus féroces que les précédents. C’est ce que nous avons vu se produire lors de la révolution bolchevique.
A cette perversion marxiste répond une mystification bourgeoise selon laquelle les marxistes auraient le monopole de la lutte des classes, que ce concept serait une « invention » marxiste pour semer l’anarchie. C’est oublier que, le plus souvent, la guerre des classes est menée à l’initiative de la bourgeoisie elle-même pour son propre profit grâce aux moyens gouvernementaux et financiers dont elle dispose et que n’ont jamais les classes inférieures.
Qu’est-ce que Sciences Po si ce n’est une des écoles de cette bourgeoisie insolente et dégénérée, antichambre de recrutement du système pour ses futurs commis chargés de détruire encore plus le pays ?
Là où nous, révolutionnaires blancs, nous distinguons, c’est que nous avons pour principe social non pas la négation mais la maîtrise du phénomène de la lutte des classes en recherchant par les moyens les plus énergiques une politique fondée sur la cohésion au sein du peuple. Mais cette maîtrise est constamment remise en cause par les intérêts divergents des différentes classes sociales qui doivent donc être constamment régulées dans leurs tentatives sécessionnistes. Il ne s’agit pas de réprimer la nature humaine et la quête chez chacun de son intérêt personnel, mais d’en contenir les effets dès lors qu’ils deviennent destructifs pour le groupe fondé sur la communauté du sang. C’est ce qui se déroule aujourd’hui avec l’immigration, politique de la grande bourgeoisie d’une radicalité inédite qui menace l’existence biologique même du peuple français.
A Democratie Participative, le soutien financier que nous recevons exprime en pratique cette convergence entre membres de différentes classes sociales qui ont conscience de leur fraternité raciale commune. Des étudiants désargentés comme des petits chefs d’entreprise, des cadres supérieurs ou des employés nous soutiennent et, à travers nous, un média qui défend leur propre conception générale du monde. Ils se savent en danger et savent qui les menace, par le haut comme par le bas et ceux que nous dénonçons ici chaque jour sont ceux qu’ils veulent dénoncer eux-mêmes. Il ne s’agit donc pas d’une question de revenus, mais de conscience raciale commune.
Si nous parlons de dictature blanche, c’est pour une raison d’évidence : nous ne sommes pas majoritaires. Si nous raisonnons exclusivement en termes raciaux, nous nous mettons à croire que la bourgeoisie macroniste, polie et bien habillée, est française et patriote quand elle n’est qu’une traînée vendue au juif le plus offrant. Si nous raisonnons exclusivement en termes sociaux, le péril migratoire n’a soudain plus aucune substance et nous ergotons sur des questions de fiches de salaire comme les ahuris de la France Insoumise avec leur cégétisme hors de saison.
Mais si nous raisonnons en termes sociaux et raciaux, nous avons sous les yeux la cartographie complète des intérêts réels qui s’affrontent. Nous savons qui fait quoi, pourquoi et comment. Nous comprenons pourquoi la bourgeoisie enjuivée importe et arme contre nous le sous-prolétariat afro-oriental et pourquoi des négresses stupides comme Assa Traoré sont subitement invitées sur tous les plateaux de télé du système. Nous voyons toute la duplicité des gauchistes qui soutiennent cette même négresse, par simple haine des petits Blancs.
Ce que nous prônons, c’est l’union sacrée des classes sociales blanches. Mais ce n’est pas un appel amical : c’est un ordre justifié par l’intérêt supérieur de la communauté raciale aujourd’hui en danger de mort. La bourgeoisie cosmopolite macroniste ou écolo-urbaine n’a aucunement l’intention de répondre à cet appel mais au contraire de nous faire une guerre sans merci pour éviter à tout prix qu’une telle politique émerge. Un jour en recourant à leur police, le lendemain en mobilisant leurs auxiliaires afro-maghrébins. A cette guerre sociale et raciale, nous ne pouvons répondre que par la dictature blanche car seule la partie racialement consciente du peuple peut imposer à la bourgeoisie sécessionniste l’intérêt supérieur de la communauté raciale. La basse politique catégorielle que défendent aujourd’hui les frères siamois macronistes et gauchistes doit être combattue par une politique révolutionnaire unificatrice, aussi bien socialement que racialement.
C’est la raison pour laquelle notre premier objectif est la destruction de la démocratie financière juive. Rien d’autre ne pourra être réalisé tant que cette charogne démocratique aura encore un semblant de souffle de vie.