Captain Harlock
Démocratie Participative
29 avril 2019
L’histoire retiendra que Paris ne fût réellement libre qu’entre 1940 et 1944.
L’ex-secrétaire d’État au numérique, Mounir Mahjoubi, fignole son programme pour Paris lui qui brigue la candidature LREM à la mairie de Paris aux prochaines municipales. Dans une interview au Journal du dimanche, il dévoile ses propositions pour lutter contre l’insécurité. En la matière, Mounir Mahjoubi dit vouloir prôner « une tolérance zéro, ne rien laisser passer, appliquer la théorie du carreau cassé : dès qu’il se passe quelque chose, on intervient ».
Il propose notamment de « créer le Paris des 240 quartiers, dix rues au maximum dans lesquelles deux agents dédiés seront à disposition 24 heures sur 24 – ce qui nécessite entre huit et douze agents par quartier. Ils seront ainsi à moins de cinq minutes à pied ou à vélo pour intervenir en cas d’urgence. Les habitants les connaîtront, cela changera beaucoup de choses. »
Plus surprenant, Mounir Mahjoubi veut avoir recours dans la capitale à des drones de sécurité, « équipés de caméras qui se rendront très rapidement sur les lieux signalés ». « Il y en aura un par quartier, soit 240 drones, précise-t-il. Ils seront pilotés par des agents spécialement formés. 20.000 boutons bleus d’urgence seraient ainsi installés dans les rues de Paris pour appeler les forces de l’ordre en cas de problème, détaille le candidat au JDD.
Cet anus marocain, enfoutré par un youpin comme il l’a lui-même abondamment relaté dans la presse juive, semble suspecter une baisse tendancielle de la sécurité des fiottes dans Paris intra muros à mesure que ses frères dans la foi colonisent l’ancienne capitale française.
Prout
Colonisé analement façon bande de Gaza par le sionisme, Mahjoubi doit désormais s’assurer de l’intégrité physique de ses protecteurs à la manière d’un Mahmoud Abbas.
En déployant une armée volante de drones en charge de garantir la sécurité du kibboutz logé dans l’antique ville des Rois de France.
On ne peut pas dire que Dieu ne nous a pas averti.
Les derniers Français raseront les murs, esquivant des mendiants roms puants, dévisagés par des algériens schizophrènes tous les 3 mètres, se faisant menacer par des nègres sous crack du Nord Soudan.
Quand ils lèveront le nez pour regarder le ciel, ce sera pour être détaillés à la loupe par Mahjoubi et sa flotte de mouches à merde volantes, dégorgeant une foule de métadonnées qui détaillera si la veille le Gaulois ciblé a visionné une vidéo homophobe ou antisémite sur YouTube ou s’il a liké un post migranto-sceptique.
Ce que l’on appelle, en yiddish, le paradis.
Ce Disneyland à pédales séropositives que devient le Paris du 21ème siècle va accueillir une telle concentration d’anus juifs en raison de l’internationalisation de la ville, que pour la banlieue tiers-mondisée avoisinante, la tentation sera grande de se faire exploser dans une des nombreuses boîtes gay ashkénazes de la cité.
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