Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 février 2017
Il n’est plus une manifestation de dégénérescence sociale qui ne comporte son lot de rejetons de la bourgeoisie lycéenne. Les fils et filles des culs en or du Paris intra-muros se mobilisent en faveur de l’anus du nègre Théo Luhaka.
Les grenades lacrymos explosent dans tous les sens à Nation pour le rassemblement lycéen #JusticePourTheo #blocuspourtheo pic.twitter.com/HUQU5lOVqj
— Cyril Castell (@13kapsy) 23 février 2017
La police lance des grenades lacrymos sur les lycéens qui manifestent à nation #blocuspourtheo #justicepourtheo pic.twitter.com/umtPLHpzRl
— Cyril Castell (@13kapsy) 23 février 2017
Beaucoup de jeunes à nation pour le #blocuspourtheo. Ça rappelle les mobilisations contre la #loitravail. #Justicepourtheo pic.twitter.com/hbR1MEEt2l
— Cyril Castell (@13kapsy) 23 février 2017
Les lycéens se regroupent en nombre à Nation pour réclamer #JusticePourTheo #blocuspourtheo pic.twitter.com/HhT4kuXXcn
— Cyril Castell (@13kapsy) 23 février 2017
Je ne peux pas dire que ce soit une surprise. D’ailleurs, il suffit de regarder la composition raciale de ces attroupements, on constate que la créolisation a déjà sérieusement progressé au cœur de la capitale française.
Conséquence de l’égalitarisme et de l’anarchisme ambiant, des tanches urbaines de 15 ans pensent faire la révolution sur la base du sphincter d’un nègre.
Pour mesurer la chute, il suffit de regarder un jeune mineur du nord de la France en 1955.
L’humilité, le sens du sacrifice et des responsabilités – qui se mesure toujours en litres de sang et de sueur – échappe totalement aux chiards de la bourgeoisie.