Capitaine Harlock
Démocratie Participative
19 juin 2017
#ChampsElysees : voiture bélier une arme a été découverte sur l’homme né en 1985 et fiché S https://t.co/dMQSvhx5vG pic.twitter.com/rLPf8baMX9
— Ulysse Paris (@ulyssepariser) 19 juin 2017
Du travail d’arabe.
Les faits ont eu lieu lundi après-midi vers 16h. Le conducteur est décédé, il était en possession d’armes et d’explosifs. De sources concordantes, on évoque un acte délibéré. Il n’y a eu aucun autre blessé.
Un homme a percuté en voiture un fourgon de la gendarmerie sur l’avenue des Champs-Élysées à Paris lundi après-midi vers 16h, sans faire de blessés, ont indiqué des sources policières. Selon plusieurs sources concordantes, la voiture aurait explosé lors de l’impact, et un acte volontaire serait privilégié. Ces deux points restent à confirmer de source officielle. «Un certain nombre d’armes et d’explosifs ont été découverts sur le chauffeur», qui est décédé, a affirmé le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qui s’est rendu sur place. D’autres sources affirment qu’il était en possession d’une bonbonne de gaz se trouvait à l’intérieur du véhicule.
Selon nos informations, le chauffeur était porteur d’une centure d’explosifs, d’un pistolet Glock 26-9 mm. «Sa ceinture n’aurait pas fonctionné comme prévu, l’aurait tué mais pas sur le coup», indique une source policière.
L’homme serait âgé d’une trentaine d’années et serait fiché S. «À terre, l’homme était inconscient» et son véhicule en feu, ont indiqué ces mêmes sources. Un important dispositif de sécurité a été déployé par la préfecture de police, qui a recommandé d’éviter le secteur puis indiqué que la situation était maîtrisée. Les opérations de déminage sont en cours.
L’attaque a eu lieu à deux pas du square Marigny, un important dispositif policier a été déployé sur place: circulation bloquée sur l’avenue, la station Champs-Elysées-Clemenceau a été fermée, a constaté une journaliste de l’AFP sur place. Au milieu de la chaussée, une Renault Mégane blanche paraît abandonnée, la porte conducteur ouverte. Alexandre, 51 ans, était assis sur un banc de la célèbre avenue: il raconte avoir vu «des gens courir dans tous les sens, des touristes. Certains m’ont crié de partir. Il y avait du monde partout».
En ce mois de ramadan, les attaques à la voiture-suicide font désormais partie de la vie parisienne. De là à faire un amalgame immonde avec l’islam, l’immigration ou les bougnoules, il y a un pas que je franchirai allègrement.