Paris, c’est Kaboul !

La rédaction
Démocratie Participative
18 novembre 2022

 

Comme le dit Émilie Frêche, la réalisatrice juive du film « Les engagés », nous sommes au début de « quelque chose ».

Voilà le quelque chose qui débute :

Il faut changer de récit. Les femmes blanches sont d’accord.

Bon, ce « quelque chose » a débuté il y a 60 ans, justement au moment où les juifs comme Émilie sont arrivés avec les autres immigrés d’Afrique.

L’avantage qu’ont les juifs, à l’instar d’Émilie, c’est qu’ils changent de pays comme de chemise. Une génération en Algérie, une autre en France, la prochaine en Californie, la suivante en Israël.

Ce n’est pas très important, car le juif est nomade.

Comme une nuée de criquets.

Ils arrivent, détruisent tout, et s’en vont.

Quand toutes les villes françaises seront devenues des condensés de Kaboul, Tombouctou et Bamako, après 60 ans d’intense politique immigrationniste dictée par les juifs, Émilie aura depuis longtemps quitté la France avec sa famille.

Installée à San Francisco, « une ville qui l’a toujours fascinée », elle fera des documentaires sur l’incorrigible racisme des goyim et les racines mystérieuses de l’antisémitisme.

Comment ne pas aimer les juifs, je vous pose la question.

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