Captain Harlock
Démocratie Participative
06 octobre 2020
Un Français fabriqué par le juif Ian Brossat
Le communisme juif sous trithérapie à Paris est un enchantement.
« En Somalie, j’entendais parler du Louvre. Et je me disais qu’un jour, j’irais le visiter… », confie Yasin Jama, arrivé en France fin 2016. Réfugié politique, ce jeune homme de 32 ans vient de réaliser son rêve. « C’était trop bien! » s’exclame Yasin qui s’est rendu dans l’ancien palais des rois de France, en voisin, puisque depuis septembre, il habite à deux pas du plus grand musée du monde.
Au 18, rue Jean-Jacques Rousseau (Ier) précisément où il bénéficie de la « colocation solidaire et multiculturelle » mise en place par l’association Caracol dans des locaux préemptés il y a deux ans par la Ville de Paris via l’un des ses bailleurs sociaux, la RIVP.
Pour son studio sur cour de 24 mètres carrés, le jeune Somalien qui gagne sa vie en traduisant en français des textes écrits en arabe, anglais, swahili ou somalien, paye un loyer de 75 euros par mois. « Moi qui ai passé deux ans dans des centres d’accueil dans des locaux pas toujours très propres, j’apprécie d’habiter dans le centre de Paris. Cela change beaucoup ma vie ! Je n’ai plus à me soucier de trouver un logement et je peux construire mon avenir en France », s’enthousiasme Yasin.
75 euros, c’est très en dessous des prix du marché. Environ 1000% en dessous.
Disposant d’une surface de 1 050 mètres carrés répartis sur cinq étages, cet immeuble du début du XIXème siècle, situé entre le Louvre et les Halles, est en bon état. « Cette opération de taille moyenne est d’autant plus intéressante que ce bâtiment est situé dans un arrondissement central », souligne Serge Contat, directeur général de la RIVP qui prévoit de rénover les lieux où seront livrés, début 2023, 34 logements sociaux, dont 26 studios.
Comme les travaux ne débuteront pas avant septembre 2021 et conformément à l’article 29 de la loi ELAN (Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique), l’association Caracol, créée il y a deux ans pour développer ces colocations très novatrices, s’est vue confier la responsabilité de ce projet ambitieux, sachant que les lieux devront être libérés en septembre prochain. L’association Unity Cube spécialisée dans les dispositifs d’occupation temporaire à vocation solidaire et le pôle accueil des réfugiés du mouvement Habitat et humanisme sont aussi parties prenantes de cette expérience qui constitue une première à Paris. Depuis un an, des initiatives similaires ont été mises en place au Perreux-sur-Marne (Val de Marne), à la Roche sur Yon (Vendée) et à Toulouse (Haute-Garonne).
« D’un côté, il y a des milliers de mètres carrés vacants. De l’autre, 12 000 personnes ayant le statut de réfugié qui se retrouvent à la rue parce qu’une fois ce statut obtenu, vous avez six mois pour quitter le centre d’hébergement d’urgence. D’où l’idée de ces occupations temporaires », explique Elisa Desqué, responsable du développement de Caracol. Et de poursuivre : « Comme le but n’est pas de mettre les mêmes problématiques sous le même toit pour ne pas créer un ghetto, nous faisons en sorte que des Français cohabitent avec les réfugiés ».
Je suis sûr que faire cohabiter des cols blancs avec des pirates somaliens va fonctionner.
Genre, super bien fonctionner.
Sur 25 studios, 14 sont occupés par des Français et 11 par des réfugiés, comme Yasin Jama ou Abbas Khavav, venu d’Afghanistan après avoir fait ses études en Italie où il a appris à faire la pizza. Trois appartements sont réservés à des espaces communs : grande cuisine salle à manger ; salon bibliothèque avec machine à coudre ; lieu réservé à l’accompagnement social, les cours de français, l’aide à l’emploi et au relogement.
Mais qui peut bien avoir eu l’idée de ce concept novateur ?
Début de réponse :
Adjoint au logement et à l’hébergement d’urgence, Ian Brossat (PCF) souligne que « cette colocation entre réfugiés et Français est une première. Cette cohabitation va permettre une vraie intégration des bénéficiaires. L’idée, c’est de fabriquer des Français ». Maire de Paris centre, Ariel Weil (PS), ajoute : « Cette intervention quasi chirurgicale au centre de Paris où les possibilités d’agir sur le foncier sont très limitées, va se traduire par une mixité à l’échelle de la rue et même de l’immeuble ».
« Fabriquer des Français » en les submergeant de sauvages de la Corne d’Afrique ou de l’Hindu Kush.
L’idée lumineuse du juif Brossat.
Infirmière au service réanimation de l’hôpital Cochin, Karima Saidani est l’une des locataires les plus anciennes à cette adresse où elle vit depuis quinze ans. Tout en souhaitant la bienvenue à ses nouveaux voisins et le succès de l’expérience, cette habitante déplore néanmoins « le bruit parfois jusqu’à trois heures du matin, d’autant que l’immeuble est très mal insonorisé ». Adjoint à l’intégration, Jean-Luc Romero (app PS) n’en disconvient pas : « Peut-être qu’il y a des choses à revoir. Mais nous n’avons tous qu’une envie : que chacun puisse cohabiter ici en paix ».
Brossat, Romero, Weil : tout le gratin de la juiverie sodomite parisienne qui colonise Paris intra muros.
Visez un peu ces obscènes faces de crochus.
Le tarin du youtre Weil dépasse tout ce que j’ai pu voir sur le faciès d’un yid. C’est une pièce de collection.
On dirait un Picasso.
Ceci étant dit, ce n’est pas si mal si les youpins font enfin goûter à la grande bourgeoisie ce qu’elle impose au prolétariat blanc depuis des décennies.
Hélas, c’est cosmétique. J’en voudrais beaucoup plus. Que les youpins y aillent à fond, qu’ils repeuplent Paris centre de tribus somaliennes, histoire qu’on voit les fiottes et les juifs s’acclimater à la vibrante tolérance islamique.