Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Janvier 2020
Lorsque l’on fuit les musulmans albanais ou bosniaques d’ex-Yougoslavie, se réfugier en banlieue parisienne n’est pas le choix le plus indiqué quand on est un Serbe orthodoxe.
Un acte horrible s’est déroulé à Paris, ville d’un pays reconnu pour sa démocratie, sa mixité et qui condamne sévèrement le racisme. Au sein du collège Marx Dormoy, dans le 18ème arrondissement de Paris, un jeune garçon d’origine serbe, âgé de 12 ans, s’est fait agressé de manière brutale pour n’avoir pas voulu ôter une chaîne à laquelle était suspendue une croix, qu’il portait autour du coup. Les agresseurs présumés sont 5 jeunes âgés de 11 ans et ils ont insisté pour que celle-ci enlève sa chaîne et son pendentif. Cette scène d’horreur s’est déroulée ce Mardi matin dans la cours du collège.
Allah, comme Yahvé, est un dieu jaloux et colérique.
La France républicaine ressemble de plus en plus au Kosovo mais en pire.
D’ailleurs, la France est supervisée par le même pouvoir international pour les mêmes buts : mettre en minorité les autochtones et créer ex-nihilo une multitude d’émirats islamiques avec la banque juive aux manettes.
Malgré que la croix que le jeune garçon portait se trouvait sous ses vêtements, 5 jeunes l’ont abordé en lui demandant de l’enlever. Celui-ci ne voulant pas obtempérer, les agresseurs présumés l’ont encerclé en faisant pression sur lui pour le faire. N’ayant pas réussi à le forcer, l’un des jeunes qui se trouvait derrière son dos l’a poussé au sol, et tous se sont mis à lui asséner des coups de pied là où ils le pouvaient. Le jeune garçon a été rué de coups sur tout le corps. Des blessures graves au niveau du visage lui ont été assénés ainsi qu’au niveau de ses partis génitales. Les 5 agresseurs ont été d’une violence sans égal à son égard et ce devant d’autres élèves. Cette scène, ayant durée un certain temps, n’a été stoppée qu’au moment où certains élèves ont commencé à hurler en appelant au secours.
Cinq crouilles contre un Blanc : pas de problème, la tradition musulmane est respectée.
Selon le témoignage des parents du jeune garçon, les agresseurs n’ont pas réussi à lui enlever son médaillon car celui-ci faisait tout pour le protéger, malgré les risques qu’il encourrait. Les parents en ont donc informé la direction de l’établissement et ont été déposés une plainte auprès du commissariat du 18ème arrondissement. Ce jeune garçon est aujourd’hui traumatisé, et porte de lourdes séquelles, tant psychologique que physique. C’est un traumatisme qui lui restera gravé à vie.
A toute chose malheur est bon : ce jeune Serbe ne manquera pas de voir, comme ses parents, que les mahométans sont une ignoble race de rats, sous toutes les latitudes.
Même s’ils sont probablement encore plus puants en France que dans les Balkans.
Pas de risque d’assimilation « républicaine » de ce gosse blanc à la faveur d’une conversion à l’islam par capillarité.
On note aussi que les Serbes, comme les Russes, sont les rares Blancs établis à l’Ouest qui ripostent face aux négro-maures établis dans nos « démocraties » antiracistes. En Allemagne, les Russes sont connus pour exploser régulièrement du turc ou du nafri un peu trop arrogant tandis que les Allemands rasent les murs.
Par le biais de cet article nous appelons chacun d’entre vous à ce que ce fait soit relaté auprès des médias français, de façon à protéger nos enfants dans l’avenir. Si parmi vous certains détiennent des contacts de personnes travaillant au sein des médias, télévisés ou autres, nous vous serions reconnaissant de nous en faire part. Imaginez si la situation avait été inversée, nous chrétiens orthodoxe d’origine serbe aurions été accablés de part et d’autre et accusé de barbarie. C’est la raison pour laquelle nous vous demandons de nous aider à faire entendre ce fait horrible qui vient de se dérouler.
Hélas, je n’imagine pas les médias juifs relayer cette histoire pour se porter au secours de Serbes orthodoxes.
Si les juifs aimaient les Serbes, ils n’auraient pas bombardé leur pays pour créer cet état islamo-mafieux qu’on appelle le Kosovo.
La seule et unique solution reste celle, éprouvée, de l’extirpation de kebabs.