Captain Harlock
Démocratie Participative
25 juillet 2018
Un patriote allemand aux côtés du président allemand, 2018
Les cafards turcs remettent le couvert.
Le président turc, qui affirme avoir eu Mesut Özil au téléphone lundi soir, lui a apporté son soutien en condamnant «l’approche raciste» dont il a été victime.
L’onde de choc provoquée par la décision subite de Mezut Özil (29 ans) de mettre un terme à sa carrière internationale après la Coupe du monde continue de secouer le monde politique. Le joueur, qui avait estimé que la Fédération allemande de football (DFB) n’avait «pas respecté ses racines turques» en «l’impliquant égoïstement dans de la propagande politique» après la polémique autour de la photo prise en compagnie du président turc Recep Tayyip Erdogan en mai dernier, a justement reçu le soutien du chef d’Etat.
«Les déclarations et l’attitude de Mesut sont patriotiques et méritent toutes les louanges», a déclaré le président turc, ajoutant qu’il s’était entretenu avec le joueur au téléphone lundi soir. «Il est tout bonnement impossible d’accepter cette approche raciste (…) envers un jeune homme qui a tout donné et contribué au succès de l’équipe nationale allemande», a-t-il poursuivi, cité par l’agence de presse étatique Anadolu.
Özil, qui n’a jamais joué pour la Turquie ni pour un club turc, avait posé en compagnie d’Erdogan en mai dernier. Après le fiasco de l’Allemagne dès le premier tour des qualifications en Russie, la photo avait ressurgi et servi à ses détracteurs, notamment l’extrême droite allemande. L’attaquant d’Arsenal aux parents turcs, bouc émissaire d’une partie de l’opinion pour expliquer les piètres prestations de la Mannschaft, ne s’est pas senti soutenu par sa fédération. «Aux yeux de Grindel et de ses soutiens, je suis Allemand quand nous gagnons, mais je suis un immigré quand nous perdons», a affirmé le joueur de 29 ans dimanche dans une longue lettre publiée en trois parties.
La DFB a rejeté en bloc ces accusations de racisme. La chancelière Angela Merkel avait réagi à cette nouvelle en faisant savoir qu’elle «apprécie énormément» l’international. «C’est un grand joueur qui a fait beaucoup pour la Mannschaft. Son choix doit désormais être respecté», a-t-elle poursuivi.
À l’image d’Erdogan, plusieurs ministres turcs ont salué à leur manière la décision de Mesut Özil de quitter la Mannschaft. «Je félicite Mesut Özil qui, en quittant l’équipe nationale d’Allemagne, a marqué le plus beau but contre le virus du fascisme», a tweeté le ministre de la Justice Abdülhamit Gül. Son homologue des Sports Mehmet Kasapoglu lui a emboîté le pas, affirmant soutenir «pleinement la position honorable de [son] frère Mesut Özil». Il a accompagné ce message d’une photo de l’international d’origine turque posant avec le président Recep Tayyip Erdogan.
Bien sûr, cette truie de Merkel ne pouvait que se jeter aux pieds de cet asiate mahométan assoiffé de sang.
Quant à cette race puante d’Asie Mineure réchappée de Mongolie, elle fait montre de son habituel culot islamo-sémitique. Voici qu’elle prétend dénoncer vertueusement le « virus fasciste » allemand alors qu’ils sont occupés à armer les égorgeurs d’allah partout ils se trouvent.
Race damnée.
C’est probablement ce qu’il fallait à ces Allemands pour méditer sur leur équipe multicolore : qu’un de ces turcs leur disent qu’il était aux ordres du djihadiste Erdogan.
Comparée à la sélection française, la sélection d’Allemagne est nettement plus aryenne. Mais elle est considérablement altérée au plan racial.
Quoiqu’il en soit, Erdogan a des idées en tête.
Des politiques allemands ont accusé mercredi le président turc Recep Tayyip Erdogan d’utiliser la polémique autour du retrait de Mesut Özil de la sélection allemande de football pour favoriser la candidature turque à l’organisation de l’Euro 2024 face à celle de l’Allemagne.
Le soutien du dirigeant turc au milieu de terrain allemand d’origine turque intervient « précisément au moment où la DFB (la Fédération allemande de foot, ndlr) a impérativement besoin de la confiance des autres fédérations membres de l’UEFA », souligne le responsable conservateur Wolfgang Bosbach dans le quotidien Bild.
« Est-ce vraiment un hasard complet de calendrier? Il y a des hasards auxquels on n’est pas obligé de croire », a ajouté l’ancien député du parti d’Angela Merkel, la CDU.
L’UEFA doit décider le 27 septembre qui de la Turquie ou de l’Allemagne organisera l’Euro 2024. L’Allemagne faisait figure de favorite mais son image se trouve écornée par les accusations de racisme lancées par Mesut Özil contre le DFB.
Le président turc a salué avec emphase la décision du joueur d’Arsenal de prendre sa retraite internationale, qui « mérite tous les louanges », selon lui.
Un autre responsable de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), Paul Ziemiak, a lui dénoncé l’ingérence turque dans les affaires allemandes.
« Le président Erdogan doit cesser de s’immiscer (dans les débats) en Allemagne, quel que soit l’opinion qu’on a de la photo d’Özil et (Ilkay) Gündogan », a-t-il dit.
Inutile de dire que le dernier turc en Europe est un fidèle soldat du Kebab Suprême d’Istanbul. Tout cela a été mis en scène pour les raisons citées plus haut, témoignant, s’il en était besoin, de la perfidie atavique de ces sauvages mongols d’Anatolie.
Et d’ailleurs, quelle est cette histoire d’Euro 2024 en Turquie ? Cette Turquie djihadiste imposée de force dans nos vies n’a comme parallèle que le chancre juif de Palestine que l’on nous colle dans nos championnats continentaux, dont l’Euro.
Le virus du sémitisme doit définitivement écrasé.