Oyez, oyez ! Macron vous parle de Haïti et du saint génocidaire Toussaint-Louverture !

La rédaction
Démocratie Participative
28 avril 2023

 

L’oeuvre de Robespierre ne serait pas complète sans celle du Nègre haïtien Toussaint-Louverture.

En ces heures de fièvre mahoraise, Macron l’a fort justement rappelé, inscrivant l’action de l’État français dans sa continuité historique : tout le pouvoir aux Noirs, extermination des Blancs !

Qu’un chef de l’état français s’inspire obséquieusement d’un satrape nègre comme Toussaint-Louverture, véritable Robert Mugabe avant l’heure, voilà qui suffit à résumer l’état des consciences françaises complètement éboulées après deux siècles d’égalitarisme guillotineur et de passion sexuelle pour le tamtam.

Et quel Nègre !

Louverture était d’abord un esclavagiste lui-même, comme tout apprenti roi nègre qui se respecte.

Les Français sont généralement mal informés et portés sur le mythe et l’espoir, bien plus que sur les faits et la prudence. Leur optimisme dogmatique pour tout ce qui concerne le sujet nègre produit invariablement de très sanglantes déconvenues, aussi est-il nécessaire de corriger cette mauvaise inclination par une étude serrée des faits historiques.

Puisque la France est en train de devenir une Haïti géante, avec l’islam comme accélérateur de l’incendie racial généralisé, je ne résiste pas à l’évocation des moments les plus édifiants de la « révolution haïtienne » dont Emmanuel Macron nous promet les fumées sulfureuses jusque dans les chaumières les plus reculées de Gaule.

Haïti, c’est du sérieux

Il s’agit là. de la matrice fondamentale de tous les carnages raciaux du Nègre en effervescence.

L’île de Haïti, à l’époque appelée Saint-Domingue, est une puissante colonie française. À elle seule, elle assure 50% de la production mondiale de tabac et de sucre et représente 30% du commerce extérieur français.

La révolution française a grandement contribué à échauffer les esprits des quelques 550,000 habitants de l’île. Les propriétaires blancs d’abord qui voulaient se débarrasser de la politique mercantiliste dictée par le royaume de France, laquelle imposait de vendre à la métropole et à prix fixe l’intégralité de leur production. En 1789, ils sautent dans le bain révolutionnaire pour essayer d’imposer une autonomie de fait à Louis XVI dans l’espoir de commercer avec Anglais et Américains afin de réaliser des profits substantiels.

De leur côté, les Noirs sont excités par la littérature démagogique qui provient des feuilles parisiennes que colportent les marins. Les francs-maçons « amis des Noirs » rivalisent de promesses délirantes qui frappent l’imagination primitive des masses africaines agglutinées dans leurs plantations. Les vocations démocratiques bourgeonnent sous la chaleur écrasante de l’île, sur fond de soif génocidaire.

Les faciès d’aujourd’hui sont exactement les mêmes que ceux d’alors. Les fixer vous permet de voyager dans le temps.

Les premiers troubles sérieux éclatent le 14 août 1791. C’est une véritable guerre raciale d’inspiration vaudoue.

Wikipédia :

Les Noirs réussirent à vivre en groupes dans les forêts. Ils y développent une religion syncrétique des croyances africaines, le vaudou. Le phénomène perdure malgré la traque et la répression féroce. Ces marrons inquiètent les Blancs qu’ils empoisonnent parfois et dont ils brûlent les champs.

Le 14 août 1791, à Bois-Caïman, dans la plaine du Nord, de nombreux esclaves décident la révolte, sous l’autorité de Boukman, assisté de Jean-François et Biassou. Ce premier acte de la révolution des esclaves aurait pris la forme d’une cérémonie vaudoue, où en présence de la mambo Cécile Fatiman, un pacte de sang est signé dans le sacrifice d’un cochon noir créole. En quelques jours, toutes les plantations du Nord sont en flammes, et un millier de Blancs massacrés. Malgré la répression où Boukman est tué, des bandes d’esclaves armés persistent dans les campagnes et les montagnes. Dans d’autres parties du pays, des révoltes plus spontanées s’ensuivent.  

Les vaudous mambos sont une classe de sorcières noires.

Elles sont l’âme de la guerre génocidaire en fermentation.

Wikipédia :

Des communautés d’esclaves en fuite se tournent vers les vaudous mambos, ou prêtresses, qui les radicalisent et facilitent l’organisation d’un mouvement de libération. Les mambos vodou connaissaient généralement les remèdes à base de plantes ainsi que les poisons, utilisés pour tuer des propriétaires d’esclaves français et leurs familles pendant la Révolution. Idéologiquement, l’image de la prêtresse vaudou haïtienne a incité les insurgés à combattre le gouvernement colonial, non pas seulement dans un but politique d’émancipation collective, mais aussi dans une perspective spirituelle supérieure.

Une fois Louis XVI décapité en 1793, la première république décide de faire appliquer l’abolition de l’esclavage votée en 1791. Le projet n’enthousiasme pas les Blancs qui voient déjà poindre les conséquences raciales. En 1794, des représentants robespierristes débarquent, promettent tout pouvoir à la négraille en échange d’un soutien complet contre les Blancs de l’île, opposés au nouveau régime républicain et à son projet de libération des Nègres. Louverture, à la tête d’une bande de Noirs très agressifs, répond à l’appel des Jacobins. Il s’impose progressivement en potentat nègre entouré d’une cour de sapeurs.

En 1802, Bonaparte décide de ramener l’ordre sur l’île et de remettre les Nègres au travail. L’expédition, bien que victorieuse, tourne au désastre l’année suivante avec la mort du général français placé à sa tête.

Louverture est cependant arrêté puis expédié en France pour y mourir dans le Doubs. Son arrestation avait été facilitée par son lieutenant rallié aux Français, Dessalines, qui rêvait déjà de se créer un royaume nègre sur l’île. Succédant à Louverture, Dessalines appelle les nègres et les mulâtres à l’insurrection générale contre ses alliés français et décide d’enclencher le projet génocidaire en 1804.

En deux petits mois, tous les Blancs sont sauvagement exterminés par les démocrates noirs. Les femmes blanches sont violées collectivement avant d’être éventrées avec leurs enfants devant leurs maris.

Wikipédia :

Après sa nomination à la tête de l’État, Dessalines demande mi-février à certaines villes (Léogâne, Jacmel, Les Cayes) d’organiser des massacres au niveau local. Le 22 février 1804, le nouveau gouverneur général prend un décret ordonnant le massacre des Blancs. Si les femmes et les enfants sont d’abord censés être épargnés, Dessalines décide finalement de les éliminer également.

Les femmes qui ne sont pas tuées subissent des viols, ou, menacées de mort, sont obligées à des mariages forcés. Ses hommes ayant découvert des proies que les habitants de la ville essayent de cacher, Dessalines propose à tous les rescapés une amnistie – ceux qui se montrent alors sont également éliminés. Le gouverneur quitte la ville en ayant pillé les richesses des victimes. Il ne reste plus grand chose des 450 habitants blancs de Jérémie.

À Port-au-Prince, contrairement aux ordres du nouveau pouvoir, il n’y a d’abord eu que quelques meurtres, mais avec l’arrivée de Dessalines le 18 mars, l’escalade des tueries commence. D’après le témoignage d’un capitaine britannique, quelque 800 personnes sont tuées dans la cité et il n’y a qu’une cinquantaine de survivants.

Le 18 avril 1804, Dessalines fait son arrivée à Cap-Haïtien. Jusqu’à cette date, seule une poignée d’assassinats ont été commis dans la ville, sous les ordres d’Henri Christophe, essentiellement pour s’emparer des richesses des notables tués. Mais avec la présence du nouveau gouverneur, la violence se mue en massacre dans les rues et en dehors de la cité. Les contemporains estiment à 3 000 le nombre des victimes de la ville, mais le chiffre est certainement grossi, la population française de la ville n’étant que de 1 700 après la révolution haïtienne. Comme ailleurs, la majorité des femmes et des enfants ne sont pas tués dès le début. Mais les conseillers de Dessalines martèlent que les Haïtiens blancs ne peuvent pas être anéantis si les femmes restent libres d’engendrer des hommes français blancs ; à la suite de cela, Dessalines donne l’ordre que les femmes soient tuées elles aussi, à l’exception de celles qui acceptent d’épouser des officiers de couleur.

À la fin du mois d’avril 1804, 3 000 à 5 000 personnes ont été tuées, soit la quasi-totalité de la population blanche restante après la révolution. 

Maître du pays et fidèle à la fantasmagorie tapageuse des Nègres, Dessalines proclama la fondation de « l’empire de Haïti » et se désigna lui-même empereur.

Comme Bokassa.

Dessalines s’empressa ensuite de distribuer les terres volées aux Blancs à ses partisans les plus sanguinaires et ordonna à ses hommes de réduire en esclavage l’essentiel de la populace noire de l’île.

Ce roi-nègre génocidaire, fier esclavagiste, resta toujours dans le coeur des Noirs de Haïti et l’hymne « national » de l’île est, depuis 1903, la « Dessalinienne ».

Dans tout Nègre sommeille un Dessalines.

C’est exactement ce à quoi aspire tous les Noirs de France. Lilian Thuram, dans son livre « Mes étoiles noires », dresse un portrait exalté de Dessalines, aspirant lui-même à la couronne de France après le nettoyage ethnique général du pays.

Aujourd’hui, Haïti est une véritable vitrine de ce que devient un territoire tombé aux mains des Noirs suite à une révolution démocratique contre les Blancs.

Cette semaine :

Haïti est donc le grand espoir d’Emmanuel Macron et de cette république française négrifiante, le phare posé sur la colline qui fait battre le coeur des amis de l’égalité.

Vous voilà prévenus : à la minute où ce qu’il reste de police et d’armée en France vacillera, ces millions de « compatriotes » noirs choyés par tout Français qui se respecte, nationalistes français en tête, se transformeront en sauvages égorgeurs vaudous, invoquant l’esprit des ancêtres pour dépecer, violer, pendre, dévorer, voler.

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