Captain Harlock
Démocratie Participative
20 septembre 2019
La vieille putain rouge Marie Duflo, au milieu
C’est avec joie que nous apprenons la damnation éternelle de Marie Duflo, vieille hyène communiste ayant dédié sa vie aux envahisseurs afro-maghrébins pour qu’ils violent, pillent et assassinent des Blancs, notamment des enfants.
MRAP :
Militante active du GISTI (Groupe d’Information et de Soutien aux Immigrés), elle en fut la secrétaire générale de 2007 à 2017. Elle s’était totalement consacrée à ce mouvement dès que, en 2003, elle avait pris sa retraite de professeur d’université en mathématiques. Cet engagement se situait dans le prolongement des combats qu’elle avait antérieurement menés pour le Tiers Monde, notamment auprès d’Henri Curiel, dont elle avait été proche, ou comme coopérante à Cuba, ou encore en assurant le suivi de questions relatives à l’Amérique latine auprès du parti socialiste en France et de l’internationale socialiste.
Une fois impliquée dans les actions du GISTI, elle s’y était adonnée avec la même énergie et la même rigueur de pensée qu’elle avait déployées dans sa vie professionnelle ; c’est ainsi que la vaste compétence qu’elle avait acquise, en très peu de temps, sur les droits des immigrés avait frappé tous ceux qui l’approchaient.
Auteure infatigable de rapports ou d’articles, toujours partante pour assurer des formations ou répondre à des sollicitations d’interventions, elle était devenue une référence sur de nombreux dossiers complexes, par exemple celui de Mayotte où elle n’avait de cesse d’analyser et de condamner la persistance du statut colonial entretenue par la France. Ses nombreuses contributions à la revue du GISTI, Plein Droit, en témoignent.
Dans son activité de secrétaire générale, sa volonté de favoriser les actions communes au GISTI et aux mouvements qui partagent les mêmes idéaux était constante. Le MRAP a eu de nombreuses occasions de l’apprécier.
Le MRAP prie le GISTI de croire à sa conviction que la disparition de Marie Duflo est une immense perte pour le GISTI lui-même, mais aussi pour toutes les luttes qui nous unissent. Le meilleur moyen de lui rendre hommage est d’affirmer notre volonté de poursuivre son combat pour les droits des migrants.
Le cadavre de cette traînée pue déjà la mort et son âme est voué aux tourments éternels pour avoir servi la Bête Rouge toute sa vie durant, quitte à soutenir l’invasion de son pays d’origine par les égorgeurs immigrés.
Ainsi crève les facilitateurs du djihad.