Le Libre Panzer
Démocratie Participative
20 novembre 2018
Si tu ne sais pas pourquoi tu combats les juifs, eux le savent.
Le gourou antisémite @MbalaDieudo est allé soutenir ce lundi les #GiletsJaunes bloquant le péage d’accès à l’A62 à #Langon (Gironde)affublé d’un gilet jaune.Alors que ses fans faisaient des #quenelles ce salut nazi inversé face aux forces de l’ordre samedi Place de la Concorde pic.twitter.com/zbBDDjJqTi
— Haziza Frédéric (@frhaz) 19 novembre 2018
Apolitique le mouvement des gilets jaunes? A l’origine sûrement. Mais à voir et à entendre les incidents qui se sont multipliés les propos souvent xénophobes et homophobes colorent ces manifestations d’une tonalité très droitière.
— Namias Robert (@NamiasRobert) 19 novembre 2018
« Vous imaginez si dans une manifestat° syndicale y’avait eu 400 blessés le scandale national que ça aurait fait ? On en parle pas depuis 48h ! »
« Vous acceptez que des français pour passer les barrages étaient obligés de dire qu’ils approuvaient le mvment ? »#BalanceTonGilet pic.twitter.com/MBdm5CevAK
— Matthieu Gariel (@MatthieuGariel) 19 novembre 2018
« Si inhibante est aujourd’hui la culpabilité de « l’élite », qu’il semble hors de question de s’interroger sur la composante réac des #giletsjaunes » : ma chronique du matin ne plaira pas à tout le monde : https://t.co/kLaxZPZgX4
— Daniel Schneidermann (@d_schneidermann) 19 novembre 2018
Le youpin Dan Israël du kibboutz numérique Mediapart est du même avis :
«Gilets jaunes», pourquoi les trouve-t-on si gentils ? Du très bon @dan_mdpt https://t.co/IQgfpnOXa3 pic.twitter.com/DmTDyomVCs
— Mathieu Magnaudeix (@mathieu_m) 19 novembre 2018
Accueillir à bras ouverts un antisemite notoire sans protestations de représentants du mouvement est une marque d’infamie pour cette mobilisation. #GiletJaunes pic.twitter.com/44yF68zVHV
— arno klarsfeld (@arnoklarsfeld) 20 novembre 2018
On sait qu’un mouvement a la gangrène quand, au lieu de s’indigner de la présence d’un antisémite dans ses rangs, il s’indigne à l’avance de l’usage qu’en feront ses adversaires… #GiletsJaunes https://t.co/hLxMZC0zIB
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 20 novembre 2018
Pourquoi l’appel, entendu samedi, à « marcher sur l’Elysee » était un slogan qui rappelait le pire des années 30… https://t.co/rlrVz4XLTI
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 20 novembre 2018
Face à ce torrent de haine juive – non exhaustif – craché à la gueule du peuple français qui subit les terribles conséquences sociales et raciales de la tyrannie hébraïque, les premières actions de résistance ont eu lieu.
Conséquence logique : les SA en gilets jaunes ont pris d’assaut la chaîne du milliardaire juif Drahi, BFMTV.
C’est peu dire que la défiance envers la presse est grande chez certains « gilets jaunes ». Sur fond de suspicions de censure voire de « mensonges », plusieurs actes hostiles inquiètent de nombreux journalistes confrontés sur le terrain à la colère des participants aux opérations de blocage, et aux dérapages qui y ont été observés.
Ainsi, les journalistes de BFMTV ont eu la mauvaise surprise de découvrir qu’une cinquantaine de « gilets jaunes » avaient fait le pied de grue ce lundi 19 novembre en bas de la rédaction de la chaîne d’information en continu. Selon le témoignage de plusieurs journalistes sur place, les manifestants scandaient des slogans tels que « Médias corrompus » ou « BFMTV menteurs ».
« Pas de violence, mais les journalistes qui se trouvaient en bas se sont fait huer et vivement critiquer sur ce ‘métier de merde’. Ils nous ont aussi laissé un petit mot d’amour ‘BFM=traître’ devant le bâtiment », témoigne l’une d’elle sur la page Facebook « Paye toi un journaliste« , créée en réaction des tensions observées dans le week-end par les reporters qui couvrent les événements.
Au delà de ce mini-rassemblement, c’est la tonalité anti-presse que semble prendre le mouvement qui inquiète de nombreux professionnels. Plusieurs appels au lynchage de journalistes ont ainsi été repérés sur des pages Facebook de « gilets jaunes ». La situation est telle que des mesures de protection ont été prises par la chaîne pour protéger ses reporters après l’agression de l’un d’eux, rapporte Puremedias.
#Payetoiunjournaliste #soutien pic.twitter.com/Ft7ieQdXaM
— Andy Millet (@realAndyMillet) 19 novembre 2018
Sans ces serviteurs des juifs, cette tyrannie ne tiendrait plus debout depuis longtemps. Ces terroristes de la presse sémitique constituent, avec les magistrats, la plus grande menace qui pèse sur la France.
Le 24 novembre sera un jour important, sur la Concorde et ailleurs, pour intensifier la pression sur cette république juive en voie de putréfaction avancée.