Captain Harlock
Démocratie Participative
26 février 2019
Comme vous le savez, la juiverie internationale accuse officiellement les Polonais d’être les principaux responsables du Polocauste.
Le « Polocauste » est le terme qui désigne la transformation de 6 milliards de juifs en savon par les Nazis sur ordre des Polonais entre 1931 et 1958.
Le seul hic, c’est que les intéressés – les Polonais donc – ne se sentent pas coupables de quoique ce soit vis-à-vis de ces sales juifs. Et le font savoir bruyamment.
La tenue d’un colloque sur l’histoire de la Pologne pendant la Seconde guerre mondiale a été profondément perturbée, avant et pendant les échanges à l’EHESS. L’historien Christophe Prochasson est venu alerter sur des faits qui interrogent la capacité même à analyser certains pans de mémoire.
Depuis plusieurs semaines déjà, des pressions avaient été exercées pour empêcher la tenue du colloque, comme le racontait l’historien Christophe Prochasson, le président de l’EHESS, dans La Fabrique de l’Histoire ce 25 février.
« Désagréments est un mot un peu faible qui ne trahit pas l’indignation qui est la mienne : nous avons reçu avant le colloque de très nombreux mails, coups de téléphone, courriers papiers qui nous demandaient l’annulation, purement et simplement, de ce colloque. Ces tentatives d’intimidations venaient de groupes nationalistes polonais qui pensaient que le colloque international dont vous avez rappelé la qualité scientifique (…), ces gens considéraient qu’il s’agissait d’un meeting anti-polonais, ce qui n’était évidemment pas le cas. »
Non bien sûr.
Se faire le relais des accusations les plus délirantes de la juiverie pour l’aider à racketter la Pologne à propos de ce « Polocauste » n’a rien d’anti-polonais.
Surtout quand on connaît les projets que nourrissent les youpins à l’égard de ce pays.
Les deux journées de ce colloque, comme le précise un communiqué de l’EHESS, ont été marquées « par des interventions intempestives visant à perturber son déroulement normal. La barrière de l’intolérable a été franchie avec la profération de propos antisémites« .
« Il y a une trentaine de personnes qui sont venues troubler par divers incidents, tout au long de ces deux journées, des troubles manifestement concertés, dans le prolongement direct des intimidations évoquées », regrettait ce matin Christophe Prochasson. « C’était des prises de paroles intempestives, du chahut, rien de grave en termes de choc physique. Mais ça a rendu le travail extrêmement difficile, tendu. (…) Ces conditions ont été le fait de groupes nationalistes polonais qui mettent en cause le travail scientifique de grands savants ». »
Le « travail scientifique de grands savants » qui ont démontré la réalité des saucisses de juifs au Zyklon B.
Remettre ces travaux en cause est indigne.
Et l’historien d’ajouter :
« Je dois dire que l’arène scientifique n’est pas à l’abri malheureusement de ce genre de sentiment [de haine]. Lorsque l’on confond l’arène scientifique et l’arène politique, l’arène de production des savoirs et l’arène du règlement de comptes politique, on est conduit à s’inquiéter pour l’avenir des libertés académiques. Lorsqu’à la place de l’argument c’est l’insulte, (…) et l’insulte antisémite, parce qu’il y a eu des propos antisémites formulés par ces perturbateurs, on voit le grand danger qui menace, particulièrement nos savoirs en sciences humaines et sociales, et l’histoire évidemment qui s’empare de sujets qu’il est normal de discuter, mais qu’il n’est pas normal de renverser ou de faire taire. »
C’est extraordinaire, absolument extraordinaire.
Le gouvernement d’occupation juif français décide d’expédier ses propagandistes en Pologne pour se livrer à une surenchère de pornographie hébraïque sur le thème des 6 trilliards de juifs transformés en abat-jour.
Face à la résistance des autochtones devant ce torrent d’insanités, voilà ces brigands qui hurlent à l’atteinte « à la liberté ».
Ceci, alors qu’en France toute recherche non-orthodoxe sur ces histoires de chambres à gaz se transforme en traque pour le chercheur déviant.
On reconnaît bien la perfidie mensongère de ces sales juifs.
D’ailleurs, le youpin en poste à Varsovie pour représenter le régime juif français a utilisé cet argumentaire hypocrite.
Laissons les historiens librement travailler. Ces comportements sont très choquants. https://t.co/YA5DiyiixK
— Pierre Lévy (@Amb_Francji) 25 février 2019
Il est d’ailleurs occupé à rameuter tous les youtres de la terre pour organiser les représailles contre la nation polonaise.
Reakcja minister @VidalFrederique : „Wspieram @EHESS_fr i potępiam działania zmierzające do zakłócenia przebiegu konferencji poświęconej badaniom nad historią Zagłady. Żadne naciski ani groźby nie mogą naruszać swobody badań naukowych. Historia jest nauką i piszą ją historycy” https://t.co/YA5DiyiixK
— Pierre Lévy (@Amb_Francji) 25 février 2019
Pour faire bonne mesure, la représentante du gouvernement judéo-macroniste y a été de son couplet sur cette pseudo « libérté académique » que ces terroristes juifs haïssent en premier lieu si les Blancs s’en servent.
Cette Vidal est régulièrement à genoux devant ces ignobles yids.
Soutien à @EHESS_fr. Je condamne les perturbations qui se sont déroulées lors d’un colloque consacré à l’histoire de la Shoah. Ni les pressions, ni les menaces ne peuvent porter atteinte à la liberté académique. L’histoire est une science et ce sont les historiens qui l’écrivent.
— Frédérique Vidal (@VidalFrederique) 25 février 2019
Ha ! « Ce sont les historiens qui l’écrivent ».
L’audace de cette engeance.
Ceux qui écrivent l’histoire, ce sont les historiens juifs et les juges à leur botte.
Ce mythe de l’holocauste ne tient même plus par la peinture.
Ces sales juifs paniqués ne savent plus comment faire pour tenir en respect les nations si ce n’est en brandissant cette idole impie dressée sur le plus grand mensonge de l’histoire.