Leutnant
Démocratie Participative
01 décembre 2018
Les médias judéo-gauchistes ne sont pas à la fête en Dordogne.
Une équipe de télévision de France 3 Nouvelle Aquitaine a été prise à partie vendredi matin, sur le site d’un rassemblement de « gilets jaunes » à Sarlat (Dordogne), a appris l’AFP auprès de la chaîne régionale qui a déposé une plainte.
Les journalistes, deux femmes d’une vingtaine et trentaine d’années, se rendaient sur un sujet sans lien avec les « gilets jaunes » lorsqu’elles sont tombées à un rond-point sur un de leurs rassemblements. Elles ont donc entrepris de « faire leur travail », c’est-à-dire parler aux manifestants, les interviewer et prendre des images, avec leur accord, a indiqué la rédaction en chef de France 3 Nouvelle Aquitaine.
Prise d’images et interviews se déroulaient « très bien dans un premier temps » jusqu’à ce qu’un petit groupe distinct de « gilets jaunes » s’en prennent à elles, demandant pourquoi elles filmaient, exigeant de récupérer les images, cassant un micro lors de l’incident. Lors de l’échange soudainement devenu tendu, les journalistes ont essuyé des insultes, et des menaces physiques explicites de leur « faire la peau » si elles revenaient à Sarlat, selon la même source. Les journalistes, qui n’ont pas pris de coups, ont « pris peur », et après quelques minutes pour faire baisser la tension, sont reparties. Mais elles sont « bien choquées ». Une plainte a été déposée au commissariat de Sarlat, a indiqué la rédaction en chef de Nouvelle-Aquitaine.
La préfète de la Dordogne Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc a dans un communiqué « regretté » et « condamné les agissements à l’encontre de deux journalistes de France 3 Périgord » . Elle a appelé « au respect du travail des journalistes et de la liberté d’informer« .
Quand il s’agit de laisser la presse terroriste opérer, il est question de « liberté d’informer ».
Mais cette liberté ne vaut pas pour les autochtones.
Je suis heureux, suite au procès au cours duquel j’ai eu l’occasion de plaider avec mes confrères, que la justice ait fait preuve d’une détermination sans faille dans le combat contre la haine antisémite qui prolifère dans l’anonymat sur Internet.
https://t.co/kK9ImRTHWx— Bernard Cazeneuve (@BCazeneuve) 30 novembre 2018