Captain Harlock
Démocratie Participative
18 septembre 2020
Les traînées à étrangers veulent faire tuer un maximum d’hommes blancs. Elles trouvent ça drôle.
Pour ceux qui seraient encore sceptiques à propos de la Charia Blanche, voilà de quoi alimenter leur réflexion.
Le dimanche 19 juillet, après une nuit à s’alcooliser, une Orléanaise invite chez elle deux inconnus rencontrés tôt le matin dans un bar de son quartier. Le trio va continuer à boire toute la journée, jusqu’à ce que dérape la situation, entre agression sexuelle et violence extrême…
La fin d’après-midi du dimanche 19 juillet, quartier Saint-Marceau, à Orléans.
La police interpelle Aboubacry Diallo (onze mentions au casier) et Alassane Mangane (neuf) à un arrêt de tram. Les deux hommes, de 26 et 27 ans, correspondent à la description qu’en dresse leur première victime présumée, dont ils viennent de quitter l’appartement.
Ils laissent ainsi derrière eux Sophie (*), une trentenaire assurant avoir été agressée sexuellement (sans pénétration) plus tôt dans l’après-midi, et son ex-petit ami, dans un état critique (fractures au visage, traumatisme crânien…).
Tout commence le dimanche matin, à 9 heures, au bar de quartier, Le Narval. C’est là que Sophie fait la rencontre des deux amis de longue date, dont celle d’Alassane, qui sort tout juste de prison. Tous trois n’ont pas dormi et ont passé la nuit à boire. Aboubacry et Alassane s’affublent de faux prénoms, se prétendent Parisiens. « Ça se fait », ont-ils déclaré, ce mercredi 16 septembre, devant le tribunal correctionnel d’Orléans, qui les jugeait en comparution à délai différé.
Reste que, ce matin-là, ils en conviennent : continuer à s’alcooliser au Narval coûte cher. Aussi décident-ils d’aller acheter de la vodka au supermarché du coin. Ils la boiront chez Sophie…
La trentenaire, « fragile psychologiquement », n’était pas présente, ce mecredi, au moment du verdict, car en cure de désintoxication. La sanction n’en est pas moins lourde : quatre ans de prison ferme pour Aboubacry et trente mois pour son acolyte.
Tout dérape dans l’après-midi, quand Sophie leur aurait demandé de partir. Ils auraient refusé. L’Orléanaise, aussi alcoolisée que ses deux hôtes, expliquera plus tard aux enquêteurs qu’elle ne se sentait alors plus en sécurité.
Si Alassane semble être resté dans son coin ce jour-là (« J’écoutais de la musique sur mon téléphone et ai appelé ma copine »), Aboubacry, lui, se serait signalé à Sophie dans la cuisine. C’est là qu’il aurait eu des gestes déplacés, touchant sa poitrine, passant la main dans son entrejambe… Ce que lui a toujours nié.
Reste que, se sentant en danger, Sophie hurle et envoie des SMS à son ex (« SOS, au secours, au viol »), un ancien videur de boîte de nuit, reconverti en élagueur. Fred (*) débarque finalement dans l’heure, alors, affirmera Sophie, qu’Aboubacry avait son sexe à hauteur de son visage.
Une violente bagarre éclate sur le palier. Bien qu’Alassane le niera jusqu’au bout, Fred l’accuse de lui avoir porté un coup au visage, avec un tuyau d’aspirateur. Auront aussi été employés, pour venir à bout de l’ex-videur, des béquilles et une casserole.
Fred a du sang dans les yeux, il ne voit plus rien. Le déchaînement de violence à son endroit se poursuit pourtant, dans les escaliers (retrouvés maculés de sang) et jusque sur le parking de la résidence. Il n’est plus que le seul fait d’Aboubacry. Alassane se tient maintenant à l’écart. De là le croire, quand il prétend avoir tenté de séparer les deux belligérants…
Toujours est-il que l’affrontement trouve son terme quand Fred l’élagueur parvient à sortir une tronçonneuse de son coffre de voiture. « Elle n’avait pas de chaînes, a-t-il tenu à préciser ce mercredi à la présidente du tribunal. C’était juste pour le bruit. »
La violence extrême des coups qu’on lui a portés cet après-midi-là tient en cette seule constatation, toute médicale : trente et un jours d’ITT ont été accordés à Fred, après son intervention. « Rarissime », d’après son avocate, Maître Le Marchand.
Une femme blanche qui sort seule en ville la nuit, dans la France de 2020, doit être universellement considérée comme une traînée qui recherche à se faire violer par des mâles issus de la diversité.
Une femme qui ne veut pas se faire violer en France à notre époque ne sort pas la nuit sans son tuteur, qui est, au choix :
- Son père
- Son frère
- Son compagnon officiel / mari
- Un ami proche de longue date
Les musulmans pratiquants conservent cette pratique qu’il désigne sous le nom de « wali ».
C’est une pratique de bon sens que n’importe quel père, frère ou mari raisonnable comprend d’instinct.
Ce n’est que depuis peu que le monde blanc laisse les femmes sortir seules à toute heure du soir pour jouer les traînées en boîte de nuit ou dans les bars. Avant le cataclysme féministe, il n’y avait qu’une catégorie de femmes que l’on trouvait dans la rue après minuit et même ces femmes-là ne pouvaient rester dehors que sous la surveillance de leurs maquereaux.
On nous présente ce comportement de traînée comme d’une totale banalité quand en réalité c’est une insanité extrêmement récente dans notre histoire. Comme ces femmes qui sortent seules la nuit ne semblent pas tarifer explicitement leurs services, il faut en conclure qu’elles cherchent effectivement à se faire violer par la seule autre catégorie de gens qui rôdent la nuit dans les villes françaises : les arabes et les noirs.
C’est encore plus évident quand une femme invite des noirs à son domicile pour des libations nocturnes. Je n’ai pas besoin de décrire ici l’effet que produit l’alcool sur les femmes, je pars du principe que vous savez très bien quel effet l’alcool a sur les femmes.
Que ces deux noirs soient poursuivis en justice est un scandale pur et simple. Dans cette affaire, Aboubacry et Alassane ont réagi comme des mâles africains normalement constitués réagissent quand une femme blanche les accueille chez elle. Les noirs et les arabes ont des coutumes amoureuses élémentaires et si elle est mal à l’aise avec leur rusticité, une femme doit éviter la promiscuité avec eux. Or, ici, cette femme recherchait au contraire une promiscuité maximale avec ces deux noirs jusqu’à les inviter à son domicile pour s’enivrer.
Ce qui s’est passé, c’est que cette traînée s’est ravisée pour une raison ou une autre, ce que n’a pas admis Aboubacry qui s’est senti manipulé et floué par cette provocatrice. S’est ensuite passé ce qui se passe quand un noir s’estime abusé par une poufiasse blanche. Encore une fois, cette situation ne peut à aucun moment être qualifié de « viol » ni même « d’agression sexuelle ».
La suite est encore plus sinistre : triangulant le conflit avec le vice dont seule une traînée peut faire preuve, cette « Sophie » a appelé son mâle blanc de secours pour régler une situation qu’elle a engendré seule. Ce que l’ahuri, trop heureux de jouer les filets de sécurité pour sa pute d’ancienne nana, s’est empressé de faire avec la récompense bien méritée qui va avec.
J’éprouve une immense lassitude devant cette obstination des couillons d’hommes blancs qui acceptent, année après année, d’être les serpillières des pétasses à métèques qui abusent de leur naïveté, jusqu’à les faire tuer. Car cet ancien videur est passé à deux doigts de la mort. Notez d’ailleurs comment cette garce a déserté le tribunal, laissant les hommes se démerder face à une situation qui n’aurait jamais eu lieu si cette pute n’avait pas eu la liberté de jouer avec son vagin dans les rades.
Au final, seuls les hommes sont perdants dans cette affaire : les deux noirs atterrissent en prison tandis que l’ex de cette traînée a été gravement blessé et gardera probablement des séquelles à vie.
Dites-vous bien qu’en dernière instance, le féminisme, pour construit sur la haine de l’homme blanc qu’il soit, dépend paradoxalement du consentement de l’homme blanc. C’est ce que démontre cette affaire : cette pétasse écumait les bistrots en quête de mâles noirs en se disant secrètement qu’au cas où tout tournerait mal, « j’ai le numéro de Fred ». Au premier problème, ces pétasses féministes se rappellent des hiérarchies naturelles et appellent les hommes à la rescousse.
Voilà ce qui arrive quand les femmes ne sont pas sévèrement tenues par les hommes avec les devoirs et obligations afférentes. Les termes de l’accord sont les suivants : droit de propriété contre droit à la sécurité. Une femme a le droit à la protection en échange de sa soumission à son partenaire légal. Tant que les hommes blancs continueront à jouer les chevaliers blancs avec les femmes blanches en refusant de faire respecter cet accord entre les deux sexes, tout ira de mal en pis. C’est inévitable.
En pratique, cela veut dire que les femmes blanches se mettront consciemment ou inconsciemment en situation de se faire violer par des noirs et des arabes avant de faire tuer à leur place des hommes blancs naïfs ou mal informés.
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