Orban officiellement envoyé au goulag par la droite juive pro-UE pour avoir refusé les migrants djihadistes de Soros

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 mars 2019

Il était temps de punir ce sale goy avec son idée bizarre de vouloir une Hongrie peuplée de Hongrois.

Le Devoir :

La droite européenne a décidé mercredi de suspendre le parti du dirigeant populiste hongrois Viktor Orbán de ses rangs, pour une durée indéterminée, à la suite de ses dérapages contre Bruxelles ou l’immigration, deux mois avant le renouvellement du Parlement de Strasbourg.

Le Parti populaire européen (PPE), qui réunit les formations de droite et du centre-droit de l’UE, comme la CDU de la chancelière allemande Angela Merkel ou les Républicains en France, a pris cette décision à une écrasante majorité (190 pour, 3 contre), lors d’une assemblée politique du parti à Bruxelles.

Cela tombe bien, c’est la journée de l’UE du remplacement des Blancs d’Europe.

Orbán  était sûrement le cadeau.

Concrètement, cette suspension signifie que le Fidesz n’aura — jusqu’à nouvel ordre — plus le droit de participer aux réunions du PPE, sera privé de ses droits de vote et ne pourra pas présenter de candidats à des postes, a précisé le président du PPE, le Français Joseph Daul, dans un tweet.

« La présidence du PPE et le Fidesz ont convenu d’un commun accord la suspension du Fidesz jusqu’à la publication d’un rapport par un comité d’évaluation [de ce parti] », selon le texte de compromis adopté.

Aucune durée de suspension n’est mentionnée dans le compromis. Selon l’eurodéputé français Franck Proust qui participait au vote, « une décision sera prise à la remise du rapport des experts, à l’automne ». Ce comité indépendant d’évaluation doit notamment être présidé par Herman Van Rompuy, ancien premier ministre belge et ancien président du Conseil européen.

Ha !

Van Rompuy. Cette face de poisson mort à gueule de sous-commissaire politique communiste.

Ce type est un cadre de l’UE. C’est lui qui doit décider si Orbán est un bon ou un mauvais goy.

Autant dire que la réponse est connue d’avance.

Avant la réunion, la tension était montée d’un cran. Le gouvernement hongrois avait averti qu’en cas de suspension, le Fidesz « quitterait immédiatement le PPE ».

Mais un compromis a finalement été trouvé, avec la précision que cette suspension avait lieu « d’un commun accord », selon plusieurs sources.

Dans un entretien mercredi à la radio allemande Deutschlandfunk, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avait réclamé une fois de plus une exclusion du Fidesz.

« Sa place est hors du PPE », avait affirmé M. Juncker, membre de ce parti mais qui ne participait pas à cette réunion, affirmant que « depuis des années », le Fidesz « s’éloignait des valeurs démocrates-chrétiennes ».

Parce que Juncker va régulièrement à la messe.

Mais pour picoler.

Donc ce type invoque Jésus et les droits de l’homme pour marginaliser Orbán.

Certains craignaient qu’exclure l’enfant terrible du PPE, une première dans l’histoire de cette formation, la plus importante du Parlement européen, n’ouvre la voie à une scission entre l’Est et l’Ouest du continent.

Dans les faits, cette scission existe déjà.

Vous avez Dar al Islam à l’Ouest…

…et l’Europe à l’Est.

Les « valeurs démocrates chrétiennes » supposent de vivre en terre d’islam.

Je ne vois de lien clair entre leur démocratie, le christianisme et l’islam. Normalement la démocratie suppose la sodomie d’état. L’islam a une approche techniquement différente.

Mais apparemment, c’est indissociable. L’islam, la démocratie et le christianisme je veux dire.

C’est en tout cas ce que disent les juifs.

Ils s’inquiétaient également de le voir se jeter dans les bras du vice-premier ministre italien et ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, le chef de la Ligue, parti d’extrême droite.

Cela fait des mois que la droite conservatrice se divise sur le cas Orbán.

Mais, en lançant une campagne d’affichage le 19 février contre M. Juncker, le premier ministre national-conservateur hongrois avait dépassé les bornes pour ses détracteurs.

Sous le slogan : « Vous avez aussi le droit de savoir ce que Bruxelles prépare », ces affiches montraient Juncker, ricanant aux côtés du milliardaire américain juif d’origine hongroise, George Soros, et l’accusaient de soutenir l’immigration sur le Vieux continent.

Lol.

Soros revendique depuis des années son militantisme en faveur de l’invasion négro-islamique de l’Europe.

Publiquement.

La presse juive et les partis juifs se contentent de dire que c’est une « théorie conspirationniste ». Ils n’essaient même pas de démontrer quoique ce soit. Ils disent simplement, « c’est du complotisme » et si vous insistez, ils vous traitent d’antisémites.

La vérité n’a aucune espèce d’intérêt, vous recevez l’ordre de vous contentez de la version qui vous est donnée par les médias.

Même Fox News, aux USA, a couvert ce truc. Soros a donné par exemple 500 millions de dollars pour que les envahisseurs puissent s’établir en Europe.

Ce reportage n’est pas un mirage. C’est un vrai reportage. Il couvre des faits précis et cite Soros.

Mais pour une raison inexpliquée, la presse juive dit que c’est faux et que quiconque cite des faits est antisémite.

Et pour avoir cité des faits, Orbán est suspendu.

Furieux, treize partis membres du PPE originaires de dix pays différents, réunis autour d’un noyau dur constitué par les pays du Benelux et de la Scandinavie, avaient réclamé début mars « l’exclusion ou la suspension » du Fidesz.

Littéralement viré par la Belgique, les Pays-Bas et la Suède.

Le triangle du Califat.

L’avis de la Suède.

Je suis absolument partant pour payer 10,000 euros au Soudan, à la Somalie, à l’Afghanistan pour chaque métèque que ces pays voudront bien envoyer en Suède.

Je ne plaisante pas.

Il faut noyer ce pays de tout ce que comptent le Moyen-Orient et l’Afrique de créatures infernales pour faire exploser cette vaginocratie communiste une bonne fois pour toutes. Comme Carthage, il faut faire un exemple historique.

Mais ces tanches de la droite juive néerlandaise et suédoise ne sont pas les seules.

Le chef de file pour les élections européennes du PPE, Manfred Weber, avait également accentué la pression la semaine dernière à Budapest sur Viktor Orbán, devenu une source d’embarras croissant pour l’Allemand qui brigue la succession de M. Juncker.

Le Bavarois avait posé trois conditions pour le maintien du dialogue : l’arrêt de la campagne anti-Bruxelles, des excuses auprès des autres partis membres du PPE et le maintien à Budapest de l’Université d’Europe centrale (CEU) fondée en 1991 par Georges Soros.

Depuis, Viktor Orbán, 55 ans, avait fait retirer les affiches controversées. Il avait présenté ses excuses au PPE, même si elles avaient été jugées insuffisantes.

Mais concernant l’Université d’Europe centrale, sa bête noire, M. Orbán n’avait pas bougé. Cet établissement de droit américain, s’estimant chassé par le premier ministre nationaliste, va déménager l’essentiel de ses activités à Vienne.

Vous voyez comment opèrent les juifs ?

Ils utilisent leurs proxys.

Ce larbin Weber veut le siège de Juncker. Il courtise donc les juifs, Soros en particulier.

Et tant que Orban ne prêtera pas allégeance à ce gros crapaud hébraïque, Orban restera sur la touche.

Orban, en réalité, est accroc au pognon de l’UE. Du coup, il retarde l’échéance. Il attend aussi probablement le résultat des élections européennes. Salvini devrait réaliser un score énorme et offrir une plateforme alternative à Orban.

En tout cas, cette droite juive à laquelle appartiennent Les Républicains est un cadavre ambulant. Plus rien ne la distingue de la gauche immigrationniste.

D’ailleurs, ils sont totalement à la ramasse dans les sondages à 13%. En 2014, l’UMP, maintenant LR, avait fait 20%.

C’est la démonstration que le fait que ces gens gagnent ou non des élections n’a aucune importance : ils sont là parce que les juifs les y placent. Si leur parti s’effondre, ils passent simplement à l’équivalent centriste.

Ces gens ne sont que les représentants de la banque juive. Et des vieux, je vous l’accorde. Mais les vieux ont leur pognon dans les coffres des banques juives, donc c’est cohérent.

En Espagne, VOX est à 10%.

Et l’ADF est à 15%, du moins, dans les sondages actuels. En Allemagne, l’AfD avait fait 7%.

Un gros bloc de droite populiste devrait sérieusement bousculer l’équilibre et soulager Orban de l’essentiel de la pression.

Mais c’est très probablement Salvini qui va déclencher les hostilités.

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