Captain Harlock
Démocratie Participative
09 mars 2019
Orban essaie de monter une alliance alternative pour contre les desseins obscurs des rats démoniaques du sémitisme.
Le premier ministre hongrois Viktor Orban, menacé d’exclusion du Parti populaire européen (PPE, droite) en raison de ses positions anti-Bruxelles, a évoqué aujourd’hui un rapprochement avec le parti conservateur au pouvoir en Pologne, Droit et Justice (PiS).
« Je serai dimanche en Pologne, dont le parti au pouvoir n’est pas membre du PPE« , a indiqué le dirigeant national-conservateur lors d’une allocution à la radio hongroise. « Je préfèrerais réformer le PPE pour que les forces anti-immigration comme nous y aient toute leur place, mais clairement si nous devons envisager autre chose c’est avec la Pologne que nous négocierons en premier », a-t-il ajouté.
Hier, le quotidien hongrois Magyar Nemzet, considéré comme un organe officieux du parti Fidesz d’Orban, avait appelé cette formation à « quitter le PPE et créer une alliance » avec le dirigeant d’extrême droite italien Matteo Salvini, le parti d’extrême droite au pouvoir en Autriche FPÖ et le PiS polonais. Viktor Orban avait réagi en appelant ses partisans à « garder la tête froide ».
C’est effectivement la seule chose à faire.
Une grande alliance blanche pour stopper l’invasion de l’Europe par les hordes de l’ombre guidées par la finance juive.
Mais ce n’est pas aussi simple.
Le PPE est également un vaste réseau qui dispose de relais influents à différents niveaux. Ce type de réseaux fonctionnent sur l’entraide, notamment au plan diplomatique et économique.
Une alliance entre l’Autriche, la Pologne et la Hongrie, si elle serait cohérente idéologique, ne serait pas assez puissante. Orban serait rapidement isolé puis sanctionné économiquement pour s’obstiner à refuser l’invasion islamo-nègre que veulent les juifs.
Ceci dit, nous y gagnerions en clarté.
Membre de longue date du PPE, qui regroupe des formations de droite et de centre-droit européennes dont la puissante CDU allemande, le Fidesz a été sommé de rentrer dans les rangs après une série de provocations du dirigeant hongrois. Orban a notamment lancé le mois dernier une campagne accusant le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, membre du PPE comme lui, de « soutenir l’immigration » aux côtés du milliardaire George Soros.
Orban a défié le seigneur des rats.
Il veut sa revanche.