Captain Harlock
Démocratie Participative
28 juillet 2018
J’ai eu l’occasion d’en parler récemment, la république judéo-créole dite « française » est le fer de lance des juifs pour détruire la race blanche en Europe et la Coupe du Monde a permis à l’opinion publique européenne de le mesurer.
La chose est désormais comprise au plus haut niveau.
Le premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré vendredi « ne pas vouloir d’une Union européenne dirigée par la France », jugeant les prochaines élections européennes « décisives » dans un entretien au journal allemand Bild. « Jamais nous n’avons été face à une élection aussi décisives », a estimé M. Orban, interrogé par le tabloïd sur le scrutin européen qui doit se tenir en mai 2019.
« Les Allemands devraient avant tout être vigilants. Il y a un concept français qui, fondamentalement, signifie : leadership français de l’Europe, payé par de l’argent allemand », a lancé dans cet entretien mis en ligne sur le site du quotidien le chef du gouvernement hongrois, sans jamais nommer le président français Emmanuel Macron. « C’est quelque chose que je rejette. Nous ne voulons pas d’une Union européenne sous leadership français (…) Les Européens doivent se faire entendre et il faut attendre les élections européennes avant de prendre des décision importantes », comme sur le budget ou l’immigration, a ajouté le dirigeant populiste.
Emmanuel Macron a estimé début juillet que la « véritable frontière en Europe » était celle séparant « progressistes » et « nationalistes » et que leur affrontement serait « au coeur » des européennes de 2019. « Le combat est clairement posé » et sera « au coeur des enjeux de l’élection européenne de 2019 », avait encore déclaré le chef de l’Etat français.
Quand Orban parle de la France, il ne pense pas vraiment à ça.
Il pense plutôt à ça.
Ou à ça.
Il pense à cette république négrifiée dominée par les juifs qui entend abâtardir le continent entier pour le subjuguer.
Orban considère, fort justement, que l’état allemand peut encore changer de direction, une fois Merkel abattue. En revanche il perçoit la France comme l’épicentre de la révolution raciale que planifient les juifs sous le masque de 1789.
Cette alliance entre le chauvinisme jacobin et la haine antiblanche d’inspiration hébraïque constitue en effet le péril le plus immédiat dans la mesure où elle active tous ses leviers pour intensifier l’invasion.
En appelant l’Europe entière à se coaliser pour écraser cette France judéo-créole dont Macron est le visage, Orban témoigne d’une grande lucidité. Mieux encore, il appelle les Européens à former un front uni pour neutraliser cette tumeur située au coeur de l’Occident.
Comment ne pas admettre que Adolf Hitler, à 80 ans de distance, avait annoncé la présence situation :
La France même doit être comptée au nombre de ces états. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un état africain sur le sol de l’Europe. La politique coloniale de la France d’aujourd’hui n’est pas à comparer avec celle de l’Allemagne de jadis. Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l’Etat mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer : un immense territoire de peuplement autonome s’étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé.
Nous en sommes exactement au même point, à ceci près que la France abrite désormais 15 millions de nègres et d’orientaux sous commandement juif.
Abattre cette république juive ne pourra pas se faire uniquement de l’extérieur. D’où l’importance d’une action de résistance intérieure pour précipiter la chute de cet état criminel.