Captain Harlock
Démocratie Participative
30 septembre 2018
Un Démocrate nous envoie cette vidéo dans le cadre de l’Opération Témoin. Il s’agit des premières retombées concrètes du clip de rap du nègre Nick Conrad appelant à génocider les Blancs en France.
Avant de le regarder, le contexte nous est détaillé :
Aujourd’hui en me rendant chez X dans la ville de Sens, j’ai assisté à une scène totalement chaotique qui tend à me faire croire que la guerre raciale va exploser dans les prochains mois.
Un cortège de voitures klaxonnait au loin sur les routes longeant le centre-ville, je pensais que c’était un cortège de mariés, quand les véhicule passèrent dans mon champ de vision en continuant tous de klaxonner. Il n’y avait pas de ruban blanc ou de décorations sur les véhicules, tous conduits par des blancs , incompréhensible.
Puis le dernier véhicule de la file passa et là, stupéfaction et dégout, un SALE PUTAIN DE RAT BOLCHEVIQUE BLANC conduisant un utilitaire, derrière celui-ci figurait une décoration artisanale représentant un blanc pendu par une corde reliée à une poutre de pendaison façon western.
Je n’ai pas fait attention à la casquette rouge au départ et je ne l’ai pas regardé mais je pense, en fin de compte, que c’était une casquette MAGA et c’est un point très important pour comprendre la suite.
Donc la volonté de ces Bolcheviques blancs était de surfer sur le nègre-bailleur qui prône la mort des Blancs pour dire « Ouais les nègres, on est d’accord avec lui, vous avez carte blanche pour tuer les Blancs racistes ».
C’était une opération d’ethno-masochistes programmée, ces sales rats bolchéviques ont fait un cortège de voitures et monté des décors pour faire passer leur message à la population entière de la ville.
Cette bande de salopards nous met tous en danger, cette ville est un terreau à djihadistes, elle possède plusieurs quartiers bougnoules connus pour leur trafic de drogue et d’armes. La ville a d’ailleurs connu un couvre-feu car un bougnoule connu du Renseignement a apporté un soutien financier et logistique à un groupe djihadiste, entre autre il a fait venir son « beau-frère » avec de faux papiers… Mais ce sont des gens bien qui ne feraient de mal à une mouche d’après le journal Le Monde et « Redouane ».
Le journal juif Le Monde expliquait en effet que le quartier placé sous couvre-feu était peuplé d’innocents agneaux musulmans victimes de racisme larvé, citant longuement un couple de salafistes pro-djihad se plaignant de « discriminations ».
Le Monde :
Trois mois après le couvre-feu décrété pour trois nuits dans le quartier des Champs-Plaisants, du 20 au 23 novembre 2015, les habitants font part de leur amertume et de leur incompréhension.
Le couvre-feu, les amalgames… Pour d’autres, les blessures seront longues à panser. « Tout ça, je l’ai gardé là », s’étrangle Fatima, 71 ans, en tapant sur sa djellaba à l’emplacement de son cœur. Pour permettre aux habitants « d’évacuer le mal-être » et « remettre en avant le bien vivre du quartier », Patrick Oria, directeur du centre social, a lancé un projet de fresque, appelé « Bien vivre aux Champs-Plaisants ».
« Avec l’état d’urgence, ils ont cassé tous nos efforts, ça va être encore plus compliqué qu’avant de convaincre les jeunes du quartier d’aller voter », redoute toutefois Mohamed, 41 ans, éducateur. Encore plus difficile aussi d’attirer de nouveaux commerces ou entreprises, craignent pour leur part les commerçants.
Amère et triste, Hélène, 25 ans, l’est peut-être plus encore que le reste des habitants du quartier. Car pour elle et son mari, le couvre-feu aura duré bien plus de trois jours. Depuis le 22 novembre, ils sont assignés à résidence, contraints de rester à leur domicile de 20 heures à 6 heures et de pointer trois fois par jour au commissariat de Sens. Ils ont dû s’organiser pour s’occuper des quatre enfants à tour de rôle.
C’est dans la foulée de la perquisition faite à leur domicile, et au cours de laquelle les faux papiers d’identité ont été saisis – ceux-ci appartiennent à son beau-frère, hébergé durant l’été, assure Hélène –, que le couvre-feu a été décrété. « C’est comme s’il avait fallu désigner des suspects, des représentants d’un potentiel danger pour justifier le couvre-feu, déplore la jeune femme, jilbab noir et visage poupin. On nous a même dit une fois “C’est vous, les salopards qui avez déclenché le couvre-feu ?” »
Jilbab noir républicain.
Mashallah.
N’ayant « rien à cacher » à cette ville qui l’a vue grandir, la jeune Sénonaise a plusieurs fois ressenti le besoin de dire que « c’était elle », « la perquisitionnée », « l’assignée ». Elle s’estime victime d’une longue série de délations familiales, ses proches n’ayant « pas supporté » sa conversion à l’islam, à 16 ans. A Sens et dans le quartier, nombreux sont ceux, commerçants et voisins, qui ont témoigné à Hélène leur solidarité. « Les assignés ? Ils feraient pas d’mal à une mouche », lance Redouane.
Pour motiver les assignations dans les arrêtés – et les notes blanches, anonymes et non sourcées, qui les sous-tendent –, le ministère de l’intérieur a, entre autres motifs, noté qu’Hélène tient « un discours véhément envers la France » et est « totalement sous l’influence » de son mari. Celui-ci se voit notamment reprocher de « conjuguer un passé de délinquant en Belgique et des activités de soutien financier et logistique à une filière djihadiste [ayant] conduit à son incarcération » un an en 2010, et de se rendre régulièrement en Belgique – l’intéressé ne s’en cache pas, il a vécu dix ans à Bruxelles.
Alors qu’un autre assigné du quartier vient de voir son arrêté abrogé, Hélène et son mari ont reçu, jeudi 25 février, de nouveaux arrêtés reconduisant leurs assignations « jusqu’à la fin de l’état d’urgence ». Soit, sauf suspension, jusqu’au 26 mai. « Consternée » par ce qu’elle juge être de « l’acharnement visant les musulmans », Hélène se dit « inquiète pour l’avenir ». Celui des musulmans, celui de son quartier, celui de son pays : « Sous couvert de lutter contre le terrorisme, ils assassinent les libertés et notre vivre ensemble », estime-t-elle.
La vigilance du journal Le Monde et de son propriétaire, le banquier juif Matthieu Pigasse.
Après cette longue mais nécessaire introduction, les images prises par notre Démocrate.
Effectivement, on discerne une casquette rouge qui pourrait être de Trump.
Cette opération est tout sauf anodine et appelle plusieurs interrogations.
Premièrement, il ne suffit pas d’être un crasseux antifasciste pour monter, pratiquement en 24 heures, une telle opération de propagande dans un chef-lieu d’arrondissement. En l’occurrence, une sous-préfecture de l’Yonne. Elle suppose donc un degré certain de préparation et vise à intimider la population de souche française.
Ensuite, l’affaire du clip de rap a été minimisée – avec difficulté – mais son caractère insurrectionnel et génocidaire n’a pu être nié. Or, ce que nous voyons là, c’est la revendication explicite, à la suite de cette affaire, d’une volonté d’anéantissement des populations blanches, des Français de souche. Ce degré de radicalité associé à la préparation nécessaire qu’elle suppose permet de conclure que des groupes marxistes, dont le financement et les protections mériteraient d’être déterminées, travaillent à alimenter l’agressivité des nègres et des arabes à l’encontre des Blancs.
Enfin, l’absence de réactions des autorités ne peut s’expliquer que par trois hypothèses. La première, un niveau de désorganisation et de sidération tel qu’elles ne peuvent réagir. La deuxième, une crainte d’exciter davantage la vérole marxiste, les criminels et la vermine raciale et donc de fermer les yeux. La troisième, un soutien tacite à ce type d’actions.
Pour ma part, j’opte pour la seconde explication.
Comment fonctionne une révolution communiste
Dans une révolution communiste, réussie ou non, on retrouve toujours trois types de clients : les juifs, les anarcho-communistes et les criminels.
Anarchistes et criminels sont naturellement attirés par le désordre comme la nuit fait sortir le renard de son terrier. Le désordre les rend plus audacieux et plus violents, ce qui accélère encore la dissolution de l’ordre public. Viennent ensuite les cadres politiques rouges qui ajoutent leurs troupes à la meute pour tirer un bénéfice politique de l’agitation en intimidant l’Etat.
Enfin les juifs, qui excitent le tout.
C’est pourquoi, tout état se doit d’interner sans procès ces trois catégories s’il veut s’épargner une révolution. Or, précisément, ce sont les trois catégories qui bénéficient d’une impunité totale grâce aux juges communistes qui contrôlent les tribunaux, pour ne rien dire des médias juifs qui n’ont de cesse de les encourager à semer l’anarchie.
La police et la gendarmerie vont continuer de raser les murs, tentant d’aller au devant des désirs de ces terroristes en les apaisant pour éviter les coups.