Opération témoin : la négraille louche de Bordeaux

Heinrich
Démocratie Participative
10 juillet 2018

Voici un cliché magnifique qui nous vient de Bordeaux grâce à Négrédex :

Je viens participer à l’opération témoin avec un cliché capturé aujourd’hui-même, le 9 juillet, je tiens à vous décrire moi-même sa composition afin que vous l’appréciiez au mieux.
Le cadre est celui de la place de la Victoire de Bordeaux, l’élément central est un obélisque que j’ai baptisé « Monument aux nègres » en raison de la population qui apprécie s’y asseoir habituellement.
Je n’aimerais cependant pas paraître si aigri, on y trouve parfois aussi des bougnoules ou des roumains même si les dealers maghrébins préfèrent souvent s’installer quelques mètres plus loin sur des bancs.
Au premier plan, le personnage immanquable est assis sur l’obélisque, c’est une infâme mulâtre obèse au caleçon mouillé d’une substance aux reflets marrons.
Ce triple quintal de graisse écarte fièrement les sacs qui lui servent de jambes (womanspreading ?) afin de mieux siéger au milieu de ses déchets mais surtout au-dessus d’une immense flaque de chiasse qui semble évidemment provenir du caleçon mouillé décrit précédemment.
J’aurais pu parler de ses chaussures crocs mais c’est un détail presque joli au milieu de cette scène ignoble.
Sur les côtés, on s’aperçoit qu’il s’agit réellement d’un monument aux nègres puisque 5 autres nègres occupent les lieux, aucun blanc n’est présent ce qui laisse penser que notre aversion pour ces gens n’a peut-être pas encore disparu.
La plupart des nègres sont plus propres que leur reine mulâtre, mais ils sont manifestement oisifs, avec leurs écouteurs dans les oreilles, certainement pour écouter des livres audio de Victor Hugo.
L’un d’entre eux est même monté sur le dos d’une statue de tortue, pensant s’être trouvé un compagnon de route, il aura certainement fallu attendre quelques heures avant qu’il ne se rende compte que sa monture n’avancera jamais.
Enfin, en arrière plan se trouve l’université de psychologie, ancien siège de l’occupation des étudiants gauchistes, comme si les conséquences des idées cosmopolites venaient pour une fois se manifester devant les yeux de leurs défenseurs.
Personnellement, je pense que ces racisé.e.s ont bien raison de s’approprier les places publiques de cette ville bâtie grâce au commerce d’esclaves, c’est un retour de bâton auquel les blancs doivent se soumettre puisqu’ils sont frappés par la damnation éternelle en raison du traitement que leurs ancêtres ont infligé à ces gens (?) qui sont pourtant nos égaux en tous points.