Capitaine Harlock
Démocratie Participative
27 février 2018
La haine raciale antiblanche apparaît de plus en plus pour ce qu’elle est et l’Europe sort de sa dormition. Je vous certifie que d’ici peu, sur le continent, les gouvernements seront contraints par les peuples européens de donner la chasse aux activistes antiblancs regroupés sous la bannière de « l’anti-racisme ».
Le dernier exemple qui témoigne de cette révolution s’est déroulé à l’ONU, un bastion islamo-communiste. Le gouvernement hongrois a réagi sans faiblir aux provocations d’un immonde crouille qui appelait à submerger la Hongrie de nègres et de musulmans.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères a demandé lundi la démission du Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, pour avoir accusé le Premier ministre hongrois Viktor Orban de xénophobie et racisme.
« Il est très inapproprié que des responsables de l’ONU accusent des Etats membres et des leaders élus démocratiquement. Il est évident que Zeid (Ra’ad) Al Hussein doit démissionner », a déclaré Peter Szijjarto dans un discours enflammé devant le Conseil des droits de l’homme à Genève.
Un peu plus tôt, lors de son discours d’ouverture de la 37e session du Conseil, le Haut-Commissaire avait déclaré que « l’oppression est à la mode, l’état sécuritaire est de retour et les libertés fondamentales sont aux abois », soulignant qu’en Europe les « xénophobes et les racistes étaient dépourvus de tout sentiment de gêne, comme Viktor Orban ». Selon M. Zeid, le chef du gouvernement hongrois aurait déclaré début février : « Nous ne voulons pas que notre couleur (…) soit mélangée aux autres ».
Répondant à ces accusations, le chef de la diplomatie hongroise s’est étonné de l’absence du Haut-Commissaire dans la salle du Conseil.
« Où est le Haut-Commissaire maintenant? Pourquoi est-ce qu’il n’écoute pas les réactions des Etats membres? », a-t-il ironisé.
Interrogé par l’AFP, un porte-parole du Haut-Commissaire n’a pas souhaité faire de commentaire.
M. Szijjarto a quant à lui jugé que comparer son pays « aux pires dictatures du siècle passé est tout simplement inacceptable ».
« La Hongrie est un pays hongrois et nous entendons le préserver, car nous en avons le droit« , a-t-il soutenu.
Si l’on prend le temps d’y réfléchir cinq minutes, devoir rappeler l’évidence que la Hongrie appartient aux Hongrois nous fait mesurer le degré de sauvagerie et d’extrémisme de l’idéologie antiblanche qu’est le pseudo « antiracisme ».
Remarquez à quelle vitesse ces métèques fanatiques s’évaporent à la seconde où l’homme blanc décide de dire « trop, c’est trop ». Ce sale crouille d’al Hussein s’est littéralement enfui.
La Hongrie est déjà un foyer d’agitation révolutionnaire blanc et cela devrait faire tâche d’huile en Europe Centrale.
La victoire se rapproche.