Omar Sy vous le dit : il est temps de remercier la négraille pour tout ce que vous lui devez

La rédaction
Démocratie Participative
03 janvier 2023

 

À partir de 1914, les Noirs ont sauvé la France du péril blanc incarné par l’Allemagne casquée.

L’acteur sénégalais Omar Sy participe à un film en l’honneur de ces Africains qui ne sont jamais repartis depuis.

Ces 31,000 Sénégalais coûtent chaque jour plus cher que les 1,4 millions de Français tués dans cette guerre criminelle. Et tant que France avancera, même boiteuse, elle en payera l’addition accusatrice.

Sur ce, une polémique a éclaté, Omar Sy, qui réside en Californie, dénonçant le tribalisme racial des Français qui témoigneraient (encore) d’une trop grande attention aux Ukrainiens, qui sont blancs, et fort peu aux Noirs d’Afrique.

Les Blancs sont ingrats.

Évidemment, les Noirs ne font jamais preuve de négrocentrisme, ni de tribalisme. Encore moins d’égoïsme.

La mort d’un proxénète noir camé aux USA les laisse totalement indifférents, trop soucieux de la misère qui touchent leurs Français qui les accueillent.

Les Français, écrasés par deux siècles de droits-de-homme et avec pas moins de cinq républiques sur les reins, se sont liés pour les siècles des siècles à leurs Noirs, figure christique libératrice qui allie messianisme égalitaire et biologie en un seul bloc de viande, meuble à l’envi, tout noirâtre, campant partout dans l’Hexagone démocratique.

La gauche blanche, qui vit de la traite des Blancs, sait tout ce que l’on peut retirer du penchant évangélique à la mauvaise conscience des petits Blancs.

Le Nègre est le maître des consciences françaises.

Le Français porte son Noir comme sa croix, c’est le fardeau de son projet de civilisation coloniale, de démocratie éternelle, qui finit par en faire lui-même un Nègre, par fatigue et infection.

Ces singes ont senti tout le profit que l’on peut retirer des scrupules si chrétiens qui animent la France exsangue, ce que l’on peut extorquer d’une indignation hurlante et menaçante.

Le Nègre Sy a pris ses aises, protégé par la juiverie cinématographique, il se sent de cracher sa race matin, midi et soir et d’exiger des comptes.

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