Officiel : la CIA a bien assassiné John F. Kennedy

La rédaction
Démocratie Participative
20 décembre 2022

La guerre civile aux USA est inévitable à ce stade et les forces se mettent progressivement en place.

Comme je l’ai déjà dit, une guerre civile n’éclate que lorsqu’une partie des élites d’un état entre en confrontation avec l’autre partie et qu’ensuite les deux camps recrutent des partisans dans la plèbe.

C’est ce qui a poussé César à renversé le régime républicain avec le soutien du peuple romain. Le régime était si corrompu et discrédité que le Sénat, l’équivalent de l’état profond, dut s’enfuir avec Pompée vers la Grèce.

Hier, Carlson a dit tout net ce que beaucoup de gens savent depuis toujours, mais, et c’est ce qui importe, qui n’a jamais été dit formellement par aucun média majeur américain.

Kennedy a été assassiné par la CIA, qui a ensuite pris le contrôle du gouvernement américain.

Le neveu de JFK a publiquement confirmé et accusé la CIA de l’opération.

Le reportage le plus courageux en 60 ans. Le meurtre de mon oncle par la CIA a été un coup d’État réussi dont notre démocratie ne s’est jamais remise.

Le segment entier. Si quelqu’un peut le traduire, cela vaut la peine :

Carlson souligne un point crucial : le mot « théorie conspirationniste » n’existait pas avant 1964, c’est-à-dire avant que la CIA ne lance une campagne de désinformation active contre tous ceux qui cherchaient à contre-enquêter sur la version officielle du gouvernement américain sur le meurtre.

Cette version affirmait que Kennedy avait été assassiné par un homme isolé, Lee Harvey Oswald.

Depuis, cette campagne de désinformation s’est étendue à tous ceux qui s’opposent au système occidental américano-centré. Les fact-checkers sont le bras armé de cette campagne. Ils ont été déployés par le système au lendemain de l’élection de Trump, pour délégitimer toute critique du système. Ils se sont considérablement renforcés à l’occasion de l’opération Covid19.

L’assassinat de Kennedy a été motivé par son refus d’étendre le réseau de bases militaires US à travers le monde en raison du coût d’une telle expansion. La conspiration pour le tuer comptait la CIA, le FBI, des troupes d’élite de l’armée américaine, des éléments mafieux italiens et corses.

Une fois Kennedy tué, son successeur, Johnson, a fait ce qu’attendait les maîtres du système. L’impression massive de dollars a provoqué l’effondrement de Bretton Woods en 1972, déclenchant le cycle d’endettement que nous connaissons et qui devrait éclater d’ici peu.

George Bush, le père de George W. Bush, était le patron de la CIA à Dallas, le jour de l’assassinat de Kennedy. C’est à lui que l’on doit le discours sur le Nouvel Ordre Mondial, lors de conquête du Golfe Persique et de ses réserves de pétrole, en 1991.

Tout est connecté.

Cette accusation formelle de la CIA n’est possible que parce que la guerre est ouverte à l’intérieur de l’élite américaine. Elle est considérablement accélérée par le projet de la gauche de faire juger et condamner Trump pour projet de « coup d’état » le 6 janvier 2020.

Ce projet existait bel et bien et visait à empêcher la CIA et sa vitrine qu’est le Parti démocrate de mener son coup d’état électoral.

Trump devait prendre le contrôle du Congrès des États-Unis avec l’aide d’une partie de l’armée. Le juif Kushner l’a convaincu d’abandonner à la dernière minute, ce qui a donné le spectacle que nous avons vu.

Ce n’est que reculer pour mieux sauter. La rupture doit avoir lieu et elle produira l’éclatement territorial de l’Amérique, ainsi que celui de l’UE et les Russes le savent.

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