Offensive juive en Belgique contre le réalisateur Ken Loach dans le but d’intimider l’opinion publique belge

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 avril 2018

Après l’Allemagne, la Grande-Bretagne, c’est la Belgique qui est le théâtre de l’offensive juive générale visant à forcer l’opinion publique européenne à se prosterner encore davantage devant la juiverie.

Si vous ne discernez pas là la machine juive qui, dans l’ombre, tire les ficelles de la politique occidentale, rien ne vous ouvrira les yeux.

L’Obs :

Ken Loach a été fait jeudi docteur Honoris Causa de la prestigieuse Université libre de Bruxelles (ULB) malgré les protestations d’universitaires et de représentants de la communauté juive de Belgique accusant le cinéaste britannique d’être antisémite et négationniste.

Ken Loach s’est défendu bec et ongles contre ces accusations en réaffirmant qu’il rejetait l’antisémitisme et le négationnisme.

« Je trouve un peu choquant d’avoir à faire cette déclaration sur ces allégations parce que toute ma carrière et tous les films que j’ai faits visaient à défendre les droits de l’homme et […] la justice sociale », a-t-il plaidé lors d’une conférence de presse.

Le Premier ministre belge Charles Michel avait alimenté la controverse au cours d’une visite mercredi soir à la grande synagogue de Bruxelles à l’occasion du 70e anniversaire de l’Etat d’Israël.

Le dirigeant libéral francophone avait, en effet, regretté à mots couverts, au nom du combat contre l’antisémitisme, ces honneurs rendus au cinéaste, double palme d’Or à Cannes.

« Notre fermeté doit être totale. Aucun accommodement avec l’antisémitisme ne peut être toléré. Quelle que soit sa forme. Cela vaut aussi pour ma propre alma mater », avait estimé Charles Michel.

Une allusion à l’ULB – où cet avocat de profession a étudié le droit –, et donc à cette cérémonie de jeudi très contestée par des associations juives.

Donc vous avez le chef du gouvernement belge qui se rend à la synagogue pour décréter la mise à l’index d’un cinéaste, sur ordre des juifs.

Et nous sommes censés croire que la Belgique est un état laïque, dégagée de toute tutelle confessionnelle.

« J’ai compris qu’il avait étudié le droit dans cette université. Est-ce qu’ils enseignent mal ou n’a-t-il pas réussi ses examens ? », a ironisé le réalisateur de « Moi, Daniel Blake », lors de sa conférence de presse. « Un bon avocat doit examiner les preuves avant de conclure. Charles Michel, regardez les preuves ! »

A l’origine de la polémique, des propos tenus par Ken Loach dans une interview en septembre 2017 à la BBC, en marge d’un congrès du Parti travailliste au Royaume-Uni. A la question de savoir si nier l’Holocauste était acceptable, le cinéaste très engagé à gauche avait répondu :

« Toute l’histoire est notre patrimoine commun à discuter et à analyser. La fondation de l’Etat d’Israël, par exemple, fondée sur le nettoyage ethnique, est là pour que nous en discutions. »

En substance, Ken Loach n’a même pas nié l’holocauste. Il a dit que ceux qui ont pour habitude d’agiter ce concept de chambres à gaz semblaient ne pas faire montre d’une grande retenue dès lors qu’il s’agissait d’établir, en Palestine, leur suprématie.

Quitte à nettoyer ethniquement cette région.

Souligner l’hypocrisie des juifs est la seule chose qu’il a faite.

Ces accusations ne veulent rien dire. Au plan logique j’entends.

Ken Loach ne nie rien et se contente de s’interroger sur les pratiques de ces juifs. Et aussitôt vous avez ces hurlements sur le négationnisme.

Ce ne sont que des cris hébraïques sans aucune espèce de cohérence.

Et ces cris n’ont qu’un but : faire taire.

Dans une tribune signée par 650 personnalités mardi dans le quotidien belge « l’Echo », Ken Loach a été accusé de « falsifier l’histoire à des fins politiques » en évoquant la collaboration de certains dirigeants sionistes avec les nazis à Budapest en 1944, sujet central d’une pièce de théâtre dans les années 1980.

Face à l’émotion suscitée en Belgique, l’ULB – haut lieu de la libre pensée – a dû préciser qu’elle rendait hommage à l' »œuvre militante » du cinéaste, ses positions politiques « relevant de sa liberté d’expression et n’engageant pas l’université ». Celle-ci lui a aussi demandé de « réitérer ses positions sans équivoque », ce qu’il a accepté de faire dans un communiqué.

« Je comprends que mes prises de position ne sont pas très connues à Bruxelles. Pour éviter toute ambiguïté, je tiens à déclarer, une fois pour toutes, que je condamne toute forme de déni de l’Holocauste ou ‘négationnisme’ comme vous le dites en français », a écrit Ken Loach.

Et l’ULB a refusé de revenir sur sa décision de lui remettre les insignes de docteur Honoris Causa. Ken Loach a finalement reçu son titre, avec d’autres personnalités – dont l’ex-ministre française de la Justice Christine Taubira –, sous les applaudissements et devant un auditoire comble.

Dans un communiqué publié jeudi soir, le Comité de coordination des organisations juives de Belgique CCOJB) a regretté que l’ULB « persiste dans son erreur » et dénoncé en Ken Loach un « propagandiste insidieux ».

Ken Loach est effectivement un marxiste et c’est pour avoir utilisé dans ses films la grille d’analyse marxiste qu’il est célébré par cette université communiste belge.

En ce sens, il est antisioniste pour les mauvaises raisons – le tiers-mondisme misérabiliste – même si son antisionisme n’a pas dû manquer de l’interroger sur la moralité réelle de ces juifs qui prêchent l’amour universel de par le monde tout en brûlant au phosphore blanc des arabes dans leur pré carré israélien.

Mais disons qu’il pèche surtout par naïveté. Vous avez des gens qui se situent à gauche par idéalisme, refusant de mettre à jour leur vision du monde. Mais ils n’ont pas nécessairement mauvais fond.

Ken Loach est au moins un véritable réalisateur dont il serait absurde de nier le talent, à défaut d’apprécier systématiquement le point de vue. Comme « Le vent se lève » sur la révolution irlandaise dans laquelle il adopte le point de vue du camp socialiste.

Bref, c’est ce talent qui dérange ces juifs.

Et ils exigent que la société belge, les institutions belges se soumettent à leur tyrannie pour la plus grande gloire d’Israël et de la juiverie internationale, campagne de terreur à l’appui.

Et vous noterez que partout, tout le temps, la religion de l’holocauste est centrale dans leurs offensives terroristes.

Rappelez-vous, Ahmadinejad avait annoncé « la libération des peuples occidentaux » une fois brisée cette idole impie qui sert à les asservir.

Hélas, ces communistes continuant eux-mêmes de répandre tous les bobards de guerre antifascistes grâce auxquels ils légitiment leurs actions passées et présentes, ils sont définitivement neutralisés par la juiverie qui leur demande de les répéter au mot près, holocauste en tête.

C’est pourquoi jamais les masses populaires ne s’émanciperont sur ces bases-là.

Seul le fascisme et plus encore le national-socialisme y sont parvenus et pourront y parvenir à nouveau, moyennant une actualisation nécessaire.

Cet épisode a vraiment le mérite de montrer à quel point le marxisme est une idée qui garantit la défaite de son propre camp et à quel point les juifs, qui en sont les inventeurs, en maîtrisent tous les paramètres.