Oasis s’aligne sur les traînées fémino-communistes et refuse de donner son prix à la ville d’Issou !

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 juillet 2019

 

Les lesbiennes à cheveux roses ont imposé leur diktat après la victoire de la ville d’Issou lors d’un concours lancé par Oasis, la fameuse marque de jus de fruit.

Tout avait pourtant bien commencé.

Forcément.

Mais la joie a été de courte durée.

C’était sans compter sur l’hystérie des féministes castratrices qui n’ont toujours pas été réduite au silence grâce à la Charia Blanche.

D’emblée, une conclusion : Oasis est une marque merdique.

Ce n’est pas nouveau. C’est imbuvable. Un concentré de diabète que seuls les maghrébins peuvent boire.

La seule utilité que j’ai jamais trouvé à l’Oasis, c’est de m’en servir pour faire des pièges à guêpes.

La chieuse

Deuxième leçon : les féministes mal baisées feront toujours tout pour ruiner l’ambiance d’un truc qui divertit les mecs.

C’est le principe même de la chieuse : attirer l’attention des mecs en leur cassant les couilles à défaut de les aimanter par un physique décent.

Un autre truc qui me gave, ce sont ces multinationales qui font dans le moralisme, « l’éthique » et les valeurs alors qu’ils en sont arrivés à recycler les os des mineurs pakistanais qu’ils réduisent en esclavage dans les ateliers d’Islamabad.

Il n’y a plus une grande marque qui ne fasse du fémino-marxisme light.

Pour satisfaire les folles aux cheveux rose, Oasis a foutu en rogne les gens qui s’étaient enthousiasmés pour l’opération de com’ qu’ils venaient de réaliser.

Et les quintaux progressistes ne consommeront pas davantage d’Oasis parce que les buses du service com’ d’Oasis se sont couchés devant ces traînées.

Je n’en peux plus de ces nuées de timbrées.

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