La Rédaction
Démocratie Participative
03 octobre 2024
Nous avions déjà parlé de la démographie en Nouvelle-Zélande lorsque la bioterroriste d’ultra-gauche Jessica Ardern était encore le chef du gouvernement de ce pays.
Le ton avait été donné suite à l’incident de la mosquée de Christchurch, en 2019, lors duquel des djihadistes avaient trouvé la mort. Ardern s’était publiquement convertie à l’islam tandis qu’Erdogan s’était décrété Calife des musulmans de l’archipel. Il avait à cette occasion dépêché sur place son ministre des affaires étrangères pour le notifier aux Néo-Zélandais afin qu’ils rendent des comptes sur cette affaire.
L’émissaire du Calife avait été accueilli avec déférence par Ardern qui avait ensuite fait un rapport détaillé au maître du pays.
Ardern n’en resta pas là contre les Blancs puisque l’année suivante elle déclencha la plus grande vague de terreur covidiste du bloc occidental.
Ardern a quitté le pouvoir en janvier 2023 pour échapper aux conséquences politiques de ses agissements. Elle a cependant eu le temps d’importer de vastes quantités de colons du tiers-monde.
Pakistanais, Indiens, Asiatiques divers, Orientaux musulmans constituent les plus de 300,000 colons qui se sont établis dans le pays sous le gouvernement Ardern, entre 2018 et 2023.
Publiés tous les 5 ans, les chiffres du recensement officiel du gouvernement néo-zélandais viennent de paraître. Les Blancs ne représentent plus que 55% de la population néo-zélandaise à 2,8 millions d’habitants sur un total de 5 millions.
En 2001, les Blancs représentaient encore 80% de la population néo-zélandaise.
Il suffit au gouvernement d’importer 300,000 allogènes supplémentaires pour rendre les Blancs minoritaires en Nouvelle-Zélande.
Compte du fait que le gouvernement néo-zélandais accueille 130,000 nouveaux migrants chaque année, les Blancs deviendront minoritaires dans le pays d’ici 2027.
Le Grand Remplacement est une théorie conspirationniste d’extrême-droite, islamophobe et antisémite
Avouons que pour le peuple qui a fondé le pays, passer de 80% de la population à moins de 50% en 25 ans est un changement brutal.
Bien que fondé par des Blancs, le fait qu’il n’existe aucun parti opposé à l’immigration massive en Nouvelle-Zélande prouve que ce pays n’a aucune espèce d’identité collective, si ce n’est celle de la soif de profits illimitée du capitalisme de facture britannique.
Le Canada suit la même pente et ce pays non plus ne dispose d’aucune identité collective.
L’érosion raciale rapide que l’oligarchie néo-zélandaise impose au pays voue cet état à devenir un satellite de la Chine d’ici quelques décennies. Sans homogénéité raciale, il ne peut pas y avoir de conscience forte, ni politique cohérente.
Après avoir rompu avec le royaume britannique en 1947, cette fiction d’état national n’aura pas duré 80 ans.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.