Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Février 2021
L’emprisonnement de l’écrivain Hervé Ryssen a permis de savoir qui était où, dans cette guerre existentielle contre les juifs et leur projet d’anéantissement de la race blanche en Europe.
Le nombre de rats qui, à l’annonce de sa condamnation, a refusé de le soutenir nous a donné la mesure du nombre d’escrocs qui s’engraissent sur notre dos en nous endormant.
Vous connaissez leurs noms.
Toutefois, une magnifique figure émerge de cette atroce situation : l’avocat Damien Viguier.
Cet homme a sauvé toute une profession de la honte et du déshonneur. Peut-être même de la potence.
Le CLAN communique :
Le 11 février 2021 la cour d’appel de Paris a décidé une levée de l’écrou de Hervé Ryssen pour huit mois d’emprisonnement. Les magistrats, qui le 10 décembre avaient refusé une première demande, ont finalement accepté celle-ci, plaidée à nouveau par maître Damien Viguier le 21 janvier dernier.
Il s’agit d’une condamnation à huit mois ferme, dont Hervé Ryssen a fait appel et qui sera réexaminé en mars. Cet emprisonnement pour un délit de presse était quand même exécutoire malgré l’appel pour d’obscures raisons tenant au code de procédure pénale et à la volonté du parquet de voir l’écrivain exécuter toutes ses condamnations en prison.
Une demande similaire a été formulée pour une autre année d’emprisonnement qui est également en appel. Si cette dernière demande était accordée ne resterait alors plus à l’écrou que des peines définitives.
Cette décision encourageante intervient une semaine après qu’un jugement du tribunal judiciaire de Paris a ramené à rien la peine d’un an d’emprisonnement dont Hervé Ryssen avait formé opposition.
Damien Viguier venait tout juste d’annuler un an de prison dans un autre dossier visant Ryssen.
Un récit très complet de cette lutte est accessible sur E&R.
Voici quelques extraits qui en donnent la mesure :
Hervé Ryssen ne disposait pas de moyens financiers. Il m’était tout simplement impossible de dégager le temps, l’énergie, d’engager les frais nécessaires, en bref de travailler sans ces moyens. Grâce à vous qui les lui avez offerts, grâce à la confiance que vous avez placée en moi, j’ai pu mobiliser quasiment tout mon temps et toutes les ressources de mon cabinet. Cette décision en est le premier bon résultat.
Dès septembre il a fallu d’abord travailler à reconstituer le « dossier Ryssen », qui n’existait pas, soit dix ans de procédures complexes liées à des livres, des vidéos, des faits et des gestes. C’était retrouver les informations, les analyser, ce qui suppose la mobilisation de beaucoup de temps et de matériel. Toute une série d’actes de procédure étaient urgents, comme des demandes de mise en liberté (trois ont été formulées, et deux par moi discrètement plaidées), une demande de grâce, un appel, la préparation des audiences futures, etc. Nous avons ainsi pu élaborer la stratégie qui vise à la libération d’Hervé Ryssen au plus tôt, sachant que dans le pire des cas il pourrait rester plus de cinq ans en prison.
J’ai employé les grands moyens, sans lésiner. J’ai pu, grâce à votre aide, engager les services de Pierre-Marie Bonneau, son défenseur historique, qui m’a secondé. J’ai également pris à la charge de mon cabinet certains frais de communication. À mes frais personnels, j’ai même pu apporter ma contribution aux moyens du vaste comité de soutien qui s’est informellement constitué, mobilisation qui a en particulier permis de commencer à payer les dommages et intérêts dus aux parties civiles et les amendes dues au Trésor public (condition absolument indispensable à l’allègement de la peine d’Hervé Ryssen).
Pierre-Marie Bonneau est le deuxième avocat en France qui sauve l’honneur de sa profession.
Il y en a peut-être un troisième, mais je ne connais pas son nom.
Je n’ai pas ménagé mes efforts pour briser l’isolement et faire le lien entre Hervé Ryssen et sa famille, entre lui et vous, qui formez la frange vive de l’Opinion. D’où ce travail de communication et d’information, que j’estime crucial en matière politique, en lien avec la presse (la presse honorable, pas l’autre) : Médias-Presse-Info et Civitas, Rivarol, avec Jérôme Bourbon, et surtout le site internet d’Égalité & Réconciliation, grâce au travail de toute sa rédaction, que je remercie. Pardon à ceux que j’oublie. Salut aux amis de Twitter, en particulier à l’excellent @Kylecopain.
J’en reviens à ce que je dis tout le temps : l’argent est crucial.
Ce qui a sauvé Ryssen d’un sort bien pire, ce sont tous les donateurs qui ont permis à l’écrivain d’être défendu. Et bien sûr la détermination d’un homme pour qui la justice est une valeur de la civilisation européenne face au fanatisme oriental, Damien Viguier.
Je répète ce que Mussolini disait : celui qui ne verse pas son sang, verse son argent.
Quoi que nous fassions dans le futur, il nous faudra de l’argent. Beaucoup d’argent.
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