Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 mars 2018
Pour la 78ème fois, les juifs et leurs médias volent au secours de leurs shabbat goyim djihadistes en Syrie en parlant de Zyklon B.
Washington et Paris brandissant la menace de frappes en Syrie en cas d’utilisation avérée de moyens chimiques entraînant la mort de civils…
Près de vingt cas de suffocation ont été rapportés lundi soir après des bombardements du régime syrien sur la partie rebelle de la Ghouta orientale, aux portes de Damas, visée par une offensive meurtrière, a indiqué une ONG.
« Dix-huit cas de suffocation et de difficultés respiratoires ont été recensés à Hammouriyé après le lancement d’une roquette par un avion militaire sur cette localité », a indiqué à l’AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), sans pouvoir préciser l’origine de ces malaises.
Cet observatoire est une sorte de légende urbaine. Il n’existe pas. Il n’y a qu’un bougnoule dedans et il fonctionne depuis Londres, sous la protection des juifs.
Ensuite, il parle de 20 « suffocations ». Dans l’absolu, je suis très favorable au gazage des rats djihadistes mais soyons sérieux : il n’y a aucun gazage et il n’y en a jamais eu. Donc, vingt crouilles bombardés par les Russes bouffent de la poussière et les juifs, toujours soucieux du bien de l’humanité, décident de précipiter la France et les USA dans leur guerre en retour.
C’est absurde mais cela témoigne bien de ce dont est capable cette engeance.
Au reste, pour éradiquer des rats d’allah terrés dans un trou, vous devez passer par le combat de rue et le bombardement ciblé. Que voulez-vous qu’un fumigène y change quoique ce soit, si ces blattes sont à 10 mètres sous terre ?
Des activistes opposés au régime syrien ont évoqué le recours par Damas à des « gaz toxiques », ce qu’ont qualifié les médias étatiques de « pièce de théâtre du chimique ». Le régime syrien, qui a plusieurs fois démenti utiliser des armes chimiques, a été montré du doigt ces dernières semaines pour des attaques présumées au gaz de chlore.
Ces accusations, « irréalistes » selon le président syrien Bachar al-Assad, ont provoqué un tollé sur la scène internationale, Washington et Paris brandissant la menace de frappes en Syrie. « Cette question (des armes chimiques) fait partie du vocabulaire mensonger de l’Occident » et constitue « un prétexte pour mener des frappes contre l’armée syrienne », a-t-il jugé dimanche dans un entretien avec des journalistes.
C’est bien ce que je dis : la scène (((internationale))). C’est toujours international avec la juiverie internationale.
Le pouvoir de Damas, soutenu par la Russie, son allié indéfectible, mène depuis le 18 février dans la Ghouta orientale une offensive aérienne d’une intensité sans précédent, qui a tué près de 770 personnes. Celle-ci s’accompagne depuis le 25 février d’une opération terrestre ayant permis aux forces loyalistes de reprendre aux insurgés 40 % de la partie rebelle de la Ghouta, où près de 400.000 habitants assiégés depuis 2013 vivent un « enfer sur terre », selon l’ONU.
Vous allez me dire, « mais pourquoi ces juifs reviennent sans cesse à l’assaut avec cette histoire débile de Zyklon B syrien ? ».
Et bien pour une simple raison. Ces juifs se disent tout simplement que s’ils ont pu faire 388 films et 12750 documentaires sur Hitler et ses chambres à gaz et que personne ne se pose trois questions à ce sujet ou presque, que le goy continue de chialer comme un idiot sur cette histoire, l’opération peut virtuellement être répétée à l’infini.
Donc, tous ceux que les juifs veulent abattre deviennent des mangeurs d’enfants qui balancent du gaz de temps en temps en allant promener leur chien.
Mais surtout, sur la base de ce que je viens de dire, si vous voulez utiliser le bétail goy sous votre contrôle pour aller faire la guerre contre un goy gênant, et bien vous dites : « Oh, c’est un nouveau gazeur, il faut le tuer ! ».