La Rédaction
Démocratie Participative
27 mai 2022
C’est un échange assez récent qui était filmé sur le front russe.
On voit des soldats russes en train de préparer leur repas tandis que l’un d’entre eux leur explique les tenants les aboutissants de cette guerre.
C’est en russe, sous-titré en anglais, mais la teneur de l’échange se résume ça : « La Russie est le dernier état blanc de la grande civilisation blanche […] l’Europe et l’Amérique sont repeuplées de nègres et d’arabes et de pédés […] il n’y a plus que la Grande Russie blanche pour sauver notre civilisation […] si nous perdons cette guerre, les gars, c’est la fin ».
Un soldat russe explique la signification du mot « dénazification » dont parle Vladimir Poutine.
Il dit que la Russie se bat pour une nation blanche, pour un empire russe blanc mondial sans les Chinois, les Arabes et les Africains.
Russian soldier explains the meaning of the word « denazification » spoken of by Vladimir Putin.
He says russia is fighting for a white nation, for a global white russian empire without the Chinese, Arabs and Africans. pic.twitter.com/b5FVwIk5ui— Serhii Sternenko (@sternenko) May 22, 2022
C’est très exactement ce qui se passe.
Comme l’a dit Soros à Davos, les hooligans ukrainiens « mènent notre guerre ».
WEF 2022 Davos – George Soros about war in Ukraine pic.twitter.com/pOVejpS0td
— Wittgenstein (@backtolife_2022) May 26, 2022
N’importe quel type qui cause sous pseudo avec des runes sur Twitter à propos de la « glorieuse armée ukrainienne » a un million de fois moins de pertinence sur le sujet que Soros.
Soros, qui est juif, dit que l’Ukraine, dirigée par un juif, mène une guerre juive globale, sur le terrain, effectivement, avec les soldats juifs d’Azov.
Les Aryens d’Avozstal
Soros fait autorité, pas un random 1488.
Quand Poutine, ou l’établissement politique légal en Russie, ressort le thème antinazi, cela n’a aucune implication concrète. C’est du conformisme historique utilisé par et pour les boomers nés en URSS. Dans les faits, la Russie est aujourd’hui un état fasciste, pas un état bolchevique.
C’est parce que cet état slave est fasciste, désormais autarcique, que les juifs internationaux veulent l’abattre.
Les juifs veulent conquérir le centre de production chinois, ce qui est impossible tant que la Russie fasciste empêche son encerclement avec ses armes nucléaires.
La Russie, comme état échappant à ZOG, est de facto le dernier état blanc de culture européenne à disposer des moyens d’une politique européenne. Pas les féministes finlandais ou suédois, encore moins la France islamo-négrifiée, certainement pas l’Allemagne écolo-LGBT occupée par l’armée américaine.
Les gens qui viennent geindre sur le fait que la Russie compte 20% de musulmans ne disent rien sur l’Amérique à minorité blanche d’ici 20 ans qui arme l’Ukraine, ni sur la France islamo-négroïde qui arme les bandits juifs de Kiev.
L’essentiel des musulmans de la Fédération de Russie vivent sur des terres qui sont islamiques depuis des siècles. C’est sans rapport avec la présence islamique organisée ex nihilo par les élites occidentales en Europe.
En empêchant le projet de ZOG d’aller à son terme les armes à la main, en stoppant l’expansion de l’OTAN et l’UE à l’ensemble de la moitié nord de la planète, la Russie maintient sa portion d’Europe hors de la domination juive totale sous laquelle nous sommes en train de disparaître biologiquement.
La Russie n’est pas parfaite, mais elle a pour elle de résister militairement.
Chez nous, nous avons Marine Le Pen et sa clientèle de mères isolées, des fiottes et des mulâtres. Il est temps de regarder la réalité en face : ce n’est la droite française avec trois YouTubeurs qui va faire la différence. C’est l’armée russe, peut-être à un contre dix matériellement face à l’OTAN, mal commandée, désorganisée, impréparée, infectée par la corruption, mais consciente de l’enjeu historique.
Je suis un fasciste européen, je me trouve logiquement aux côtés de la Russie fasciste dans cette guerre existentielle contre la démocratie juive globale.
C’est pour cela que l’antinazisme officiel russe me laisse de marbre et qu’aucun drapeau à marteau et faucille arboré par des nostalgiques de Russie ne me fait l’effet de la lumière du jour sur un vampire. Parce qu’objectivement, la Russie empêche la race blanche d’être entièrement emportée par le bolchevisme juif occidental.
Il n’y a plus que deux camps. Le camp de la juiverie globaliste et le camp autoritaire, organique et fasciste, incarnée par la Russie blanche.
Pour l’Ukraine juive et ses hooligans tatoués, en se laissant diriger par des juifs déterminés à anéantir l’humanité aryenne, la conclusion ne peut être que la destruction complète. Ces gens-là ont fait leur choix il y a longtemps, leur destin est scellé. Peu importe ce qui adviendra par la suite, ce pays sera rayé de la carte comme état unifié, donc comme état tout court. Leurs singeries « nationalistes » peuvent au mieux divertir des habitués de stade de foot.
N’importe quel esprit aryen lucide voit parfaitement où se situe l’ennemi de l’humanité blanche : ce sont ceux qui arment l’Ukraine et qui, chez nous, organisent le Grand Remplacement. C’est-à-dire nos dirigeants, les dirigeants occidentaux.
Les autres nains d’Europe de l’Est qui se laissent gouverner par leurs femmes et qui prêtent leur aide aux juifs dans leur projet ne connaîtront pas un sort différent.
Soros a affranchi les goyim sur ce qui se passe : c’est la Troisième Guerre Mondiale, qui suit la même logique que les deux précédentes. Le but est la destruction des états d’ordre au profit de la finance juive internationale. Si les juifs échouent, les démocraties seront emportées et les peuples se révolteront contre cette race.
Peu importe que Poutine mesure ou pas cette réalité, les juifs le mesurent pleinement.
Si les juifs échouent en Ukraine, ce sera le déclenchement du premier pogrom global de l’histoire.
J’entends bien apporter ma mince contribution à cette tâche historique qu’est le démantèlement de la démocratie et le renversement de la tyrannie juive.
J’évalue à une dizaine d’années supplémentaires le temps nécessaire à la défaite finale des démocraties. C’est très peu. Il faut donc s’activer en vue de l’effondrement complet de ce système, exploiter les failles, mobiliser en vue de la balkanisation complète qui suivra la défaite de ZOG.
Et oui, être résolument du côté de la Russie dans cette guerre qui déterminera la survie de la race blanche ou son anéantissement définitif.