« Nous aurons une guerre régionale cet été » : les juifs conspirent activement pour plonger les USA dans une guerre contre l’Iran

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 avril 2019

 

Je pense que l’on peut désormais parler de Présidence Kushner plutôt que de Présidence Trump.

Donald a l’air d’être trop absorbé par le golf pour s’occuper de la politique étrangère américaine, ce qui permet à son gendre juif de mener les Etats-Unis là où les juifs le veulent : dans une guerre contre l’Iran.

Le Point :

C’est un invité pour le moins inattendu qu’a reçu vendredi Chris Wallace sur le plateau de Fox News. Les téléspectateurs de l’émission Fox Sunday diffusée dimanche par la chaîne américaine conservatrice ont eu la surprise d’apercevoir sur l’antenne le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif. Ancien ambassadeur de la République islamique à l’ONU, le chef de la diplomatie iranienne, qui a étudié aux États-Unis et s’exprime parfaitement en anglais, n’est pourtant pas connu pour être un adepte de la chaîne de télévision préférée de Donald Trump. Mais l’Iran étant plongé dans une grave crise économique, la voix officielle de l’Iran à l’étranger s’est résolue à s’adresser au pensionnaire de la Maison-Blanche.

« Israël, John Bolton, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont tous montré leur souhait d’entraîner les États-Unis dans un conflit [avec l’Iran] », a déclaré Mohammad Javad Zarif. Il a notamment dénoncé ce qu’il appelle le « groupe des B », autrement dit le conseiller américain à la Sécurité nationale, John Bolton, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (dit « Bibi », NDLR), le prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane (MBS), et le prince héritier d’Abu Dhabi, Mohammed ben Zayed (MBZ), tous les quatre à la pointe de la lutte contre la « politique déstabilisatrice » de la République islamique d’Iran.

Des propos qui ont dû faire sourciller de l’autre côté de son écran un certain Donald Trump. Durant la campagne présidentielle, le milliardaire républicain a en effet pourfendu les interventions américaines en Irak (2003) et en Libye (2011), avant de passer aux actes à son arrivée à la Maison-Blanche. En décembre dernier, le président américain a annoncé à la surprise générale le retrait des 2 000 forces spéciales américaines opérant en Syrie (il devrait finalement en rester 200, NDLR). Puis, dans la foulée, il a décidé de réduire sensiblement le nombre de soldats américains opérant en Afghanistan, soit environ la moitié des 14 000 troupes sur place.

Effectivement. Si Trump était encore président au lieu de (((Jared Kushner))), les USA auraient probablement évacué cette guerre absurde en Afghanistan. Il aurait également fait évacuer la Syrie où la CIA soutenait les djihadistes.

Mais Trump n’est plus président. Il a vu qu’un juif occupait le poste. Il fait donc désormais du golf pour tuer le temps.

Depuis qu’il n’est plus président et que Kushner l’a remplacé, l’agenda belliciste juif est au menu.

En ce qui concerne l’Iran, Donald Trump n’a jamais exprimé son souhait d’entrer en guerre contre la République islamique. Lui, qui avait promis durant la campagne présidentielle de « déchirer » l’accord sur le nucléaire iranien – le « pire jamais conclu par les États-Unis » selon lui –, a tenu parole en se retirant du texte en mai 2018, alors que celui-ci avait été également signé par la Chine, la Russie, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne et qu’il avait été endossé par une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.

Depuis qu’il a quitté l’accord sur le nucléaire, Donald Trump prône une « pression maximale » sur le régime iranien pour l’amener à « changer de comportement » au Moyen-Orient et le contraindre d’accepter un accord global avec Washington. Son secrétaire d’État, Mike Pompeo, a ainsi énuméré une liste de douze conditions à respecter par Téhéran pour la conclusion d’un nouveau texte, parmi lesquelles figurent notamment l’arrêt total des activités nucléaires iraniennes, la fin de la prolifération de ses missiles balistiques, ainsi qu’un retrait de l’Iran et de ses groupes alliés de la Syrie, de l’Irak, du Liban et du Yémen. « Une reddition pure et simple », résume-t-on à Téhéran, où l’on a catégoriquement rejeté le diktat américain.

C’est également vrai. Les juifs ont présenté aux Iraniens un accord qui consiste à leur baiser le cul en direct sur CNN tout en s’excusant d’exister.

C’est d’ailleurs la politique qui nous est appliquée quotidiennement mais je digresse.

Pour mettre l’Iran à genoux et le contraindre à accepter ses conditions, le président américain a prononcé deux salves de sanctions drastiques– « les plus dures de l’histoire », a-t-il dit – contre le système bancaire et le pétrole iranien, en août et novembre 2018. Or, celles-ci ont contribué à faire plonger la monnaie iranienne, qui a perdu 70 % en un an, et ont nourri l’inflation qui avoisinerait les 40 %. D’après les chiffres du Fonds monétaire international, l’économie devrait à nouveau être en récession cette année de 6 %, après avoir déjà perdu 3,9 % en 2018. De quoi alimenter le mécontentement grandissant de la population iranienne vis-à-vis du régime, accusé de gabegie et de corruption, et alimenter les manifestations sporadiques qui secouent toujours l’Iran.

Les médias juifs parlent de révolution contre le voile islamique en Iran. C’est absurde.

Ce n’est pas la propension des pétasses urbaines de la bourgeoisie iranienne à vouloir se comporter en traînées qui est à l’origine des troubles.

La raison des troubles est différente.

C’est l’embargo juif qui a entraîné la réduction de la production du pays de 10% en deux ans.

Simplement pour comparer, Macron affronte les Gilets Jaunes depuis 6 mois avec une croissance de la production de 1%.

Mais ces mesures punitives américaines n’ont pour l’heure pas changé d’un iota la politique iranienne au Moyen-Orient. Téhéran continue à soutenir le Hezbollah au Liban, le Hamas et au Djihad islamique à Gaza, le régime syrien à Damas, les milices chiites irakiennes en Irak, et dans une moindre mesure, les rebelles houthis au Yémen. L’Iran poursuit des activités nucléaires limitées dans le cadre de l’accord sur le nucléaire qu’il respecte toujours, selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, ainsi que ses tests de missiles balistiques. « Je pense que les intentions du président Trump, faire pression sur l’Iran – la politique de pression maximale – dans le but de mettre l’Iran à genoux pour que l’on cède à la pression, sont vouées à l’échec », a souligné le ministre iranien des Affaires étrangères sur Fox News. « Et je pense que les quatre individus le savent. »

Sous l’impulsion de ses faucons, John Bolton et Mike Pompeo, et en étroite collaboration avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Donald Trump a récemment accentué la pression sur Téhéran en classant les Gardiens de la révolution, l’armée idéologique de la République islamique, sur la liste américaine des organisations terroristes, une première pour une entité faisant partie d’un gouvernement étranger. « À Téhéran, le ministre des Affaires étrangères estime que Trump a pris cette décision pour augmenter la pression sur l’Iran afin d’arriver à un nouvel accord, mais aussi de satisfaire Israël », confie une source proche du dossier. « Mais Mohammad Javad Zarif estime que Mike Pompeo, John Bolton, Benjamin Netanyahu, Mohammed ben Salmane et Mohammed ben Zayed cherchent de leur côté un affrontement militaire avec l’Iran et il est possible que cela arrive. »

Zarif n’invente pas tout ça. Son message, en résumé, consiste à dire à Trump : « Monsieur le Président, des juifs occupent votre bureau, vous devriez jeter un oeil. Parce que d’ici quelques mois, l’armée américaine sera en guerre au Moyen-Orient et vous l’apprendrez sur Twitter. »

D’ailleurs, les juifs en parlent ouvertement.

Sur la version anglophone d’I24, ils évoquent une guerre régionale pour l’été.

« L’été prochaine, il y aura une petite guerre régionale, peut-être plus. »

Si vous regardez le panorama global, vous voyez que les juifs ciblent la Corée du Nord, le Venezuela, la Syrie, le Hezbollah libanais, le Yémen et maintenant l’Iran. Tout ça simultanément.

Il y a également la Libye où Haftar, à la solde des juifs, tente de s’emparer de l’ouest du pays pour fournir le marché mondial en pétrole afin de combler la réduction progressive de la production iranienne qui résulte de l’embargo économique.

Evidemment, en tant que larbins des juifs, nous nous retrouvons dans ce truc.

Vous avez une vague notion de la carte du Moyen-Orient avec ses kurdes, ses sunnites, ses turcs, ses djihadistes, ses chiites, ses juifs, ses égyptiens, ses frères musulmans, ses Chrétiens, son pétrole, son gaz, ses contrats d’armement, ses Russes, ses Américains, ses Français, etc.

C’est en somme le pot à merde idéal où grandes puissances nucléaires, marchés énergétiques et fanatisme religieux oriental peuvent générer, grâce aux juifs, une énorme guerre régionale.

Si l’Iran devait s’effondrer, plus rien ne contiendrait la folie djihadiste sunnite. Ni tous les candidats à l’invasion de l’Europe qui pourront traverser toute cette région sans contrôle, sur le modèle libyen.

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