Notre nouveau nom de domaine : demopart.top

Démocratie Participative
31 janvier 2024

 

Très chers lecteurs,

Nos noms de domaine ont été attaqués par les juifs et c’est la raison pour laquelle vous avez éprouvé des difficultés à vous connecter.

Notre nouveau nom de domaine est :

Faites-le connaître par tous les moyens : emails, réseaux sociaux, bouche-à-oreille !

Comme le savent tous ceux d’entre vous qui suivent ce site, nous sommes constamment soumis à des pressions judiciaires et financières extrêmes depuis notre création. Au fil des années, des dizaines de procès et de coups de force légaux, systématiquement initiés par les juifs, ont visé à le détruire, comme aucun autre média en langue française.

Déjà, en 2018, l’ancien premier ministre Cazeneuve, portant la robe d’avocat après sa récente sortie du gouvernement, plaidait pour la répression absolue contre Democratie Participative.

Six ans plus tard, nous sommes là.

Peu importe ce qu’en disent les uns et les autres, dans cette guerre permanente pour la victoire finale du monde aryen, du monde blanc d’Europe contre ses ennemis, les juifs constituent la seule force qui importe, car c’est elle qui dispose de la puissance publique dans des dizaines d’états occidentaux, dont le plus crucial, l’État américain. Ce à quoi s’ajoutent les puissances médiatiques, bancaires, associatives, politiques.

Un harcèlement sans fin, des défis techniques liés à la censure permanente de l’infrastructure et, aussi, l’exil, voire la prison pour certains de nos membres, afin de continuer la lutte, sont notre lot régulier. L’attaque la plus pernicieuse dont nous faisons l’objet est le bannissement global des circuits bancaires classiques : systèmes de paiement, transferts bancaires.

Pas de Western Union pour les Blancs qui résistent à Jehovah.

Comme le système financier est sous l’emprise des juifs, nous ne pourrons jamais utiliser les méthodes de monétisation les plus élémentaires. Ainsi, le soutien de nos opérations est limité à un très petit segment de personnes, plutôt jeunes, qui maîtrisent les crypto-monnaies. Et s’il y a quelque chose que les jeunes ont le moins, c’est bien l’argent.

Comme Monero ne nous permet pas de voir la source des fonds, je serai généreux envers les lecteurs et supposerai que la plupart des transactions proviennent d’un individu unique. Moins de 0,00001% des lecteurs ont déjà fait un don. Le fait est que la plupart des lecteurs ne feront pas de don s’il n’y a pas de moyen de le faire par carte de crédit.

Si vous êtes l’un des donateurs qui nous ont soutenus et qui nous envoient de l’argent en crypto-monnaie, merci. Sans vous, ce site ne serait pas en ligne aujourd’hui. Cette catégorie limitée de donateurs sont des héros absolus, l’avant-garde de notre mouvement.

Je ne peux pas dire à quel point je leur suis reconnaissant.

Si les juifs mettent en ligne une débauche de moyens matériels, nous mettons en ligne le seul moyen qui importe : la volonté.

Je veux aller au delà. Cette entreprise politique, culturelle, médiatique, ciblée avec fanatisme par les juifs et limitée aussi par ce fait, ne vise pas à faire de l’argent facilement, car, en raison même des difficultés qui nous sont imposées par les juifs, il y a des manières de générer de l’argent autrement plus confortables – et aisées.

Une fraction est d’autant plus réprimée qu’elle est révolutionnaire.

Je nous crois, dans un registre historique différent, l’équivalent de la fraction bolchevique d’avant la première guerre mondiale, ou du moins une composante de cette fraction, lorsque les bolcheviques réunis autour de Lénine maintenaient au sein de l’internationale marxiste une lecture radicale du marxisme, dans un environnement idéologique et social certes favorable en Europe, mais politiquement verrouillé.

Puis vint la terrible guerre de 1914 et les gigantesques bouleversements qui suivirent et que personne, en 1913, n’aurait cru possible.

Le courant que nous portons, le courant révolutionnaire blanc et antisémite, fait frémir les démocraties juives. Comme les forces révolutionnaires de la Russie tsariste, nous sommes réprimés et ce de plus en plus durement. Pour autant, malgré la répression et la censure, le système est en crise, une crise profonde où les fractions du peuple prêtes à se retourner contre le centre politique ne cessent de croître, pour l’heure de manière désordonnée. Bien sûr en France, mais aussi dans toute l’Europe.

Notre média, en dénonçant constamment la cause et non la conséquence, le juif et non ses idiots utiles, le système, et non ses laquais, est férocement attaqué, signe de sa qualité révolutionnaire.

Le rôle de tout média révolutionnaire est d’organiser les masses dans le but de le guider dans l’effort révolutionnaire, c’est-à-dire dans la destruction de tout ce qui lui est opposé. C’est ce que nous voulons et que nous avons encouragé, en appelant à diffuser des tracts authentiquement révolutionnaires, avec les réponses hystériques du régime que nous avons vues.

Un tract peut-être plus dangereux qu’une masse de 10,000 hommes en armes, pour peu que l’on sache l’écrire. Il en va de même d’un journal. Mais aujourd’hui, il n’y a plus de journaux, ils ont été remplacés par les sites internet et les réseaux sociaux. Notre média se fait l’honneur d’être aussi férocement attaqué.

Il faut se convaincre et convaincre les masses d’opter pour la révolution, c’est-à-dire pour le renversement de la classe en place, sa destruction pure et simple. C’est le seul chemin possible vers une amélioration réelle de la situation d’un point de vue européen, aryen, bref, blanc. Pour cela, tout mouvement d’opposition au centre gouvernemental juif doit être soutenu, non seulement moralement, mais activement. Peu importe le degré de conscience politique de ces mouvements d’opposition, les fédérer contre le plus petit dénominateur commun qu’est l’État est tout ce qui importe.

Nous ne nous plaignons pas de la clandestinité, car elle conditionne l’esprit de combat révolutionnaire. Cependant, les obstacles sont réels et ils doivent être surmontés ou contournés. L’idée que nous défendons et ses applications tangibles nécessitent des moyens. Plus les moyens financiers sont importants, plus les possibilités d’action envisageables sont importantes. Par exemple, nous sommes humainement arrivés à la limite de ce qui peut être fait sans salarier des activistes. Salarier des activistes est absolument nécessaire pour quiconque veut professionnaliser une action révolutionnaire. Nous nous trouvons fréquemment à devoir choisir en une action plus qu’une autre pour devoir assurer le suivi des initiatives prises.

Nous appelons donc ceux qui sont en mesure de le faire de nous soutenir significativement.

Monero :

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Pour toute question :

[email protected]

Contre la censure

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