Normandie : Stéphanie, la pute à crouille, décide de rompre avec Ali l’Algérien, il la menace de mort et débarque chez elle pour la défoncer

Leutnant
Démocratie Participative
27 octobre 2022

Une Française est tombée amoureuse d’un Algérien, mais sans mariage, pas de papiers et sans papiers, il ne pourra pas faire venir sa cousine du bled pour l’épouser. La suite est étonnante.

Actu.fr :

Durant six ans, Ali* et Stéphanie* ont formé un couple, vivant à Blainville-sur-Orne, près de Caen (Calvados). Puis, vient leur séparation à l’initiative de Stéphanie, en fin d’année 2021. Vendredi 4 février 2022, trois mois après la fin de leur vie commune, l’homme serait entré de force au domicile de son ex-compagne, faisant preuve de violence sur le fils de celle-ci. Il a été jugé mardi 25 octobre pour violation de domicile, violence sur mineur ainsi que pour menaces de mort.

À la barre, Ali a tout d’abord contesté tout ce que son ex-compagne a déclaré lors de sa plainte. L’homme de 55 ans avait déjà affirmé aux gendarmes que, face à l’opposition de Stéphanie, il n’avait pas passé le seuil de sa porte. Seulement celle-ci, s’attendant à son arrivée car il l’en avait prévenu dans la journée, avait mis en route la fonction enregistrement de son téléphone portable. On l’y entend s’insurger à plusieurs reprises : « tu n’entreras pas ! » et lui « Si ! Il faut qu’on parle, tu n’as pas le choix, de toute façon, je suis chez moi ! ». « C’est vrai que je suis chez moi, j’y ai mes affaires ! », lance-t-il à l’audience.

Il lui était également reproché d’avoir brutalement repoussé le fils adolescent de Stéphanie, le faisant tomber et le blessant au coude. Alors, Ali avance une autre version. « Oui, je suis entré mais son fils était dans sa chambre ». Puis une autre encore : « c’est elle qui m’a mis des coups de poing et son fils voulait me frapper aussi, je l’ai juste repoussé mais il n’est pas tombé ».

Une menace de mort a aussi été versée au dossier. Ali avait envoyé à Stéphanie, par MMS, un article de journal ayant pour sujet les féminicides. Celle-ci s’est également plainte de la présence de son ex-compagnon sur son lieu de travail, et du fait qu’il refuse qu’elle refasse sa vie. « Tu es encore ma femme », lui disait-il.

En ce qui concerne la situation judiciaire du prévenu, l’homme, de nationalité algérienne, a été mis en cause avec d’autres personnes dans un trafic de mariages blancs.

Le tribunal a finalement relaxé Ali pour les « menaces de mort matérialisées par un enregistrement », mais l’a déclaré coupable du reste. Il écope d’une peine de cinq mois de prison avec sursis, et devra verser un total de 800 euros à Stéphanie et son fils pour leur préjudice moral, ainsi que 600 euros pour les frais de dossier.

Pas question pour la justice d’expulser Ali, un immigré bien intégré.

Stéphanie, dans quelques mois :

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