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Leutnant
Démocratie Participative
12 avril 2024
Quelle riche idée que de permettre à des nègres de s’occuper de gynécologie.
Coup de tonnerre à l’hôpital de Fécamp. Hier, un médecin gynécologue-obstétricien burundais, Onesphore Nimpagaritse, a été mis en examen pour « exercice illégal de la médecine ». Et placé sous le statut de « témoin assisté » pour des faits d’agressions sexuelles et viols. Des faits qui auraient été commis sur une patiente. La femme a déposé plainte il y a plusieurs semaines. Le médecin a été placé sous contrôle judiciaire et a interdiction d’exercer son activité professionnelle.
À la connaissance de Paris-Normandie, une seule plainte a été déposée. Mais selon nos informations, de nombreuses patientes de ce médecin ont été contactées par la police pour savoir comment s’étaient passées les consultations.
Le quinquagénaire serait doté de faux diplômes, d’après Paris Normandie. Malgré un arrêté du ministre de la Santé datant du 17 novembre 2022 autorisant ce professionnel de santé de nationalité burundaise « à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité gynécologie obstétrique ». À ce stade, cet homme est présumé innocent.
La France juive livre les femmes blanches à des marabouts du Burundi.
Avec le recrutement à marche forcée de nègres d’Afrique, c’est devenu monnaie courante.
Il a été mis en examen pour «escroquerie», «exercice illégal de la médecine», «usurpation de diplômes», «fraude au RSA», «faux et usages de faux documents administratifs», liste Paris Normandie. Un homme de 31 ans, originaire du Congo, a réussi à se faire embaucher début 2016 comme médecin à l’hôpital psychiatrique d’Evreux (Eure), en produisant de faux diplômes. Il a exercé pendant plus d’un an, sans se faire repérer. Mis en examen le 5 mai, il a été placé en détention provisoire.
Le mis en cause avait déjà été condamné en 2014 à Lyon pour exercice illégal de la profession d’infirmier. Pour travailler dans l’hôpital de Normandie, «il avait produit des diplômes émanant d’une université roumaine attestant de sa formation en médecine générale et un autre attestant de sa spécialisation en psychiatrie», relate le quotidien régional.
Marié, père de trois enfants, il cumulait de plus son salaire de médecin à l’hôpital d’Evreux avec une allocation RSA qu’il touchait indûment depuis septembre 2015.
L’hôpital psychiatrique d’Évreux a porté plainte pour escroquerie « et réclamera des dommages et intérêt comme le remboursement par l’intéressé de la totalité des salaires qu’il a perçus ». Il aurait reçu en consultation environ 500 patients.
Prochainement, il y en aura dans les blocs opératoires. On les surprendra en train de prélever de la chair humaine pour le trafic que ces cannibales organisent sous le manteau.
Les gens ne sont pas prêts pour la catastrophe sanitaire qui se prépare.
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