Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Mai 2020
Ce bandit à la solde de Bergoglio est très probablement homosexuel
Des nouvelles des derniers curés du pays.
Ils sont occupés à hâter l’invasion islamique.
Pendant le confinement, des habitants de Vernon (Eure) ont relancé le débat sur la création d’un espace d’inhumation propre aux défunts de confession musulmane. Dans leur sillage, le père Denis Chautard en appelle à « la bienveillance » de la ville où il officie depuis vingt-sept ans.
« Des habitants », i.e. les bougnoules.
Vernon est une commune normande d’un peu plus de 20,000 habitants et elle abrite déjà une solide colonne djihadiste.
« Je ne cherche pas la polémique. Simplement à être la voix de la paix » : le père Denis Chautard a pris la plume à deux reprises pour plaider la cause des musulmans auprès de la mairie de Vernon (Eure). Un espace commun pour les pratiquants de l’islam au sein d’un cimetière de la ville, c’est en effet le vœu formulé par certains habitants. Ils veulent pouvoir enterrer leurs morts en suivant leurs rites, dans un contexte où le rapatriement des corps des défunts dans leurs pays d’origine est devenu impossible.
La mairie est contre l’idée d’autoriser un carré informel dédié aux seuls fidèles de l’islam. « À Vernon, les cimetières doivent rester des lieux neutres et laïcs où tout le monde est logé à la même enseigne », a ainsi souhaité le maire François Ouzilleau, lors d’une permanence vidéo fin mars. « La mairie a fait des efforts, en négociant au cas par cas pour que les sépultures soient orientées vers La Mecque, reconnaît Denis Chautard. Mais elle ne veut pas que les tombes soient regroupées ensemble. Pourtant, il me semble qu’à Vernon, c’est possible. »
La laïcité orthodoxe de la mairie consent déjà à mettre les tombes dans n’importe quel sens pour complaire aux mahométans.
Prêtre-ouvrier pendant des années, il s’est maintes fois frotté au monde hors de l’église. « Je préfère l’expression prêtre au travail », sourit l’Ardéchois en se remémorant son passé d’informaticien et d’enseignant à Grenoble, Paris et en Normandie. Parce qu’il a foi en « l’unité de la famille humaine », le religieux a fait venir rabbins et imams à Vernon et dialogue constamment avec les représentants de l’islam dans la ville.
« Prêtre-ouvrier » est un nom de code pour désigner un marxiste déguisé en curé prêt à tout pour imposer la victoire du bolchevisme juif.
Ce sont les pires des pires.
Denis Chautard est aujourd’hui l’un des cinq aumôniers des principaux cultes de France officiant à la Préfecture de police de Paris, postes créés après les attentats de 2016 pour apporter un soutien spirituel aux forces de police. « Dans ce contexte et à d’autres moments, je parle avec des musulmans. Et je sais que le regroupement des morts, cela fait partie de la tradition musulmane très ancienne. Le fait que les âmes des défunts soient réunies dans des tombes côte à côte signifie que même dans la mort, on n’est pas seul, le mort est avec ses frères. »
On lui a reproché de faire le jeu du communautarisme. L’homme d’Église s’en défend et affirme son attachement à la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État : « Accorder aux musulmans un espace où enterrer leurs morts, ce n’est pas du communautarisme mais de la bienveillance et cela honorerait la République française », conclut-il.
Que le sémitisme révolutionnaire de la prêtraille rouge rejoigne l’islam et la juiverie dans une même soif de destruction, rien de surprenant.
Tout ce débat n’a de toute façon aucun intérêt. Toutes ces décharges à carcasses de bédouins devront être expurgées et leur contenu bazardé quelque part au Sahel. Ou transformé en engrais, peu importe.
Quant à ces curetons pro-musulmans, les revendre à des esclavagistes arabes est le traitement le plus approprié.