Captain Harlock
Démocratie Participative
06 octobre 2021
J’aime m’éduquer grâce à la profondeur de vue de jeunes pétasses habillées pour aller en boîte de nuit, chez elles à 15h30.
Cette vidéo m’a fait totalement changer d’avis sur le Grand Remplacement et c’est aussi lumineux que simple : il ne PEUT PAS y avoir de Grand Remplacement parce que les races n’EXISTENT PAS.
Donc, comme on ne peut pas remplacer un même truc, il ne se passe RIEN.
JAMAIS
Cette vidéo n’a aucun lien avec le Grand Remplacement comme théorie. En revanche, il y est lié comme stratégie sexuelle féminine.
Déjà, cette traînée est clairement en période d’ovulation.
Les femmes en période d’ovulation font des trucs totalement exubérants pour attirer l’attention des hommes.
Ovulation
Règles
Associé au prêche antiraciste pour cibler le public masculin recherché (les arabes et les noirs), la tenue avec épaule dénudée est le signal qui compte : elle fait comprendre aux mâles hautement mélanisés qu’elle est sexuellement de leur côté.
Ce qui est vraiment révélateur, c’est qu’elle commence d’emblée en disant qu’elle ne parlera pas de chiffres ou de données brutes : cela permet au numéro de séduction de se dérouler sans entrave. Les chiffres et autres visuels statistiques font appel au cortex (rationalité) et débranchent immédiatement la partie reptilienne du cerveau masculin qu’une femme doit au contraire activer pour lui signifier qu’elle est sexuellement disponible.
Quant au rouge à lèvres, il renvoie inconsciemment au sexe féminin en état d’excitation.
En même temps, avec un phénotype de quarteronne vénézuélienne, on se situe davantage dans le plaidoyer pro domo.
Le point est le suivant : les femmes, toutes les femmes, savent que nous sommes entrés dans une guerre raciale totale. Quand elles nient qu’il existe une guerre raciale « parce que les races n’existent pas », c’est encore un moyen pour elles de signifier qu’elles comprennent parfaitement qu’il y a une guerre raciale en cours et qu’elles ont déjà choisi leur camp.
En conclusion je dirai à nos frères de banlieue que cette garce veut se faire rapidement violer par un gang de nègres et que ça se passe à Sciences Po.
*Merci à Heinrich