Captain Harlock
Démocratie Participative
05 septembre 2018
L’holocauste de Nike
Une des armes employées par les juifs pour détruire les sociétés blanches est le boycott économique. La presse juive crée régulièrement de fausses campagnes d’indignation en s’appuyant sur des nègres pour mettre la pression à des entreprises qu’elle veut voir promouvoir leur projet.
Pour rappel, si vous êtes partis en camping en Mongolie pendant les 40 dernières années, voici le projet en question.
Généralement face à ce type de boycott, l’entreprise cède dans les 12 heures. Progressivement, les grandes groupes multinationaux ont décidé d’aller au devant des désirs des juifs, redoutant à la fois leurs pressions financières et leurs campagnes de presse.
Depuis une vingtaine d’années, elles sont devenues des relais actifs de la propagande judéo-cosmopolite.
CNews :
Il n’a plus joué depuis janvier 2017. Mais Colin Kaepernick est le joueur de football américain le plus célébré et le plus détesté aux Etats-Unis pour avoir lancé un mouvement de boycott de l’hymne américain et, depuis lundi 3 septembre, pour être devenu le visage d’une publicité du géant Nike.
Si vous ne connaissiez pas, ça donne ça.
Ces nègres se sont amusés à faire ça systématiquement, avec pour conséquence l’effondrement de l’audience.
Mais quand le peuple se révolte de la sorte face à eux, les juifs le prennent comme une insulte et commencent à perdre la tête.
Son visage en gros plan est barré d’un slogan sans équivoque : «Croyez dans quelque chose. Même si cela signifie tout sacrifier».
Le visuel, en noir et blanc qu’il a été le premier à diffuser sur son compte Twitter, a rapidement embrasé les réseaux sociaux.
Comme souvent depuis que l’ancien quarterback de San Francisco est devenu en 2016 le visage de la révolte contre les violences policières visant les Noirs, la campagne de publicité de Nike a été applaudie par les uns, vitupéré par les autres qui ont promis de boycotter la marque ou/et ont déjà brûlé leurs vêtements et tennis portant la célèbre virgule.
Une grosse tête de nègre.
Believe in something, even if it means sacrificing everything. #JustDoIt pic.twitter.com/SRWkMIDdaO
— Colin Kaepernick (@Kaepernick7) 3 septembre 2018
Et Nike a donc cru utile de flatter ces nègres pour les exciter contre Trump, voulant prendre un maximum de cash au passage.
A trois jours du coup d’envoi de la saison 2018 de la Ligue nationale de football américain (NFL), Nike a frappé fort en termes de marketing.
L’équipementier a surtout pris clairement – et c’est une première pour une entreprise de cette taille – partie sur une question qui divise le pays depuis près de deux ans et qui irrite au plus haut point Donald Trump.
«Nous croyons que Colin est l’un des sportifs les plus charismatiques de sa génération qui utilise la puissance du sport pour faire bouger le monde», a expliqué à la chaîne de télévision ESPN Gino Fisanotti, l’un des dirigeants de Nike.
Sauf que face à cet assaut en règle contre le patriotisme américain et, pire du point de vue yankee, contre le drapeau américain, les Blancs ont décidé de cramer leurs Nike.
Some people are burning their Nike gear because the company endorsed Colin Kaepernick. The caucasity! pic.twitter.com/YkF1CFWZj9
— The Root (@TheRoot) 4 septembre 2018
Avec pour conséquence immédiate la perte de 4 milliards de dollars en une journée.
Lanterne rouge du Dow Jones, Nike a pesé sur l’indice vedette. Le titre de l’équipementier sportif a abandonné 3,16%. En cause, les appels au boycott de ses produits en réaction à la campagne de publicité mettant en avant Colin Kaepernick, le joueur de football américain connu pour être l’un des premiers à s’être agenouillé pendant l’hymne national avant les matches pour protester contre le racisme.
Surtout avec des nègres communistes qui déambulent avec des T-Shirt castristes.
Mais les nègres sont les nègres et ne peuvent pas s’empêcher de sombrer dans la mythomanie nègre.
Quand les Blancs deviennent conscients d’eux-mêmes et qu’ils se rappellent qu’ils forment le plus puissant groupe économique, une seule de leur campagne de boycott se transforme en véritable tornade financière pour la cible.
Qu’est-ce que ces nègres peuvent boycotter, vu qu’ils ne foutent rien, ne produisent rien, n’épargnent rien ?
Rien.
Cette pseudo pression économique exercée par les médias juifs pour imposer le discours judéo-communiste à ces marques internationales fonctionne tant que les Blancs ne réagissent pas. Dès qu’ils ripostent, le jeu prend fin.
Nous allons voir combien de temps Nike va mettre à choisir entre la promotion du communisme judéo-multicolore et ses bénéfices.