Niger : des combattants souverainistes noirs éliminent des Blanches militant pour la prolifération des nègres en Afrique

Sigmar Polaris
Démocratie Participative
10 août 2020

 

Les noirs du Niger sont à bout. Ils en ont assez du joug des femmes blanches.

France Info :

Huit personnes ont été tuées dans une embuscade au Niger dimanche 9 août. Des humanitaires français comptent parmi les victimes, a confirmé l’Elysée dans la soirée. Le groupe, accompagné par un guide et un chauffeur nigérien, était parti en excursion touristique observer les girafes de la zone de Kouré, à une heure de route de Niamey, la capitale du pays.

Comparé aux autres pays du « G5 Sahel » sujets à des insurrections jihadistes, le Niger avait jusqu’ici été relativement épargné par des attaques terroristes, mais restait déconseillé aux voyageurs français.

Les autorités nigériennes ont annoncé la mort d’un groupe de huit personnes. L’Elysée a confirmé la présence de ressortissants français, sans en préciser le nombre. Kadri Abdou, le président de l’Association des guides de girafe de Kouré, ainsi que son chauffeur nigérien, comptent également parmi les victimes, selon un communiqué partagé sur la page Facebook de l’association.

Le média nigérien « A la une » a diffusé des photos plus parlantes du méchoui que celles des médias français.

Visiblement, le convoi a été stoppé, l’équipage sorti du véhicule puis exécuté par balles. Le commando a ensuite incendié la voiture avant de s’enfuir.

D’abord présentées comme des touristes, les victimes étaient en fait des expatriés de l’ONG Acted. « Toutes les équipes d’Acted, les dirigeants, les salariés, sont absolument dévastés, atterrés, révoltés », a réagi sur franceinfo lundi Joseph Breham, avocat de l’ONG Acted.

Le groupe d’expatriés avait profité du week-end pour partir en excursion dans la zone de Kouré, à 60 km à l’est de Niamey, la capitale. La capitale est devenue une attraction touristique il y a une vingtaine d’années quand un petit troupeau de girafes peralta, les dernières d’Afrique de l’Ouest, s’y est installé. Les assaillants se sont camouflés dans la brousse en attendant l’arrivée des visiteurs. « La plupart des victimes ont été abattues par balle et une femme qui a réussi à s’enfuir a été rattrapée et égorgée. Sur place, on a trouvé un chargeur vidé de ses cartouches », a relevé une source à l’AFP. Les photos montrent le véhicule, un 4×4 appartenant à l’ONG Acted, à moitié incendié. Les corps, retrouvés à proximité de la voiture, n’ont pas encore été identifiés.

C’est tout de même plus complexe que ça.

Quand vous entendez le mot « Organisation Non-Gouvernementale », cela signifie que c’est une Organisation Gouvernementale.

Acted était en fait une structure intégralement financée par le renseignement britannique, le  gouvernement norvégien et l’Union Européenne dont la base est située à Paris. Le montant total des aides gouvernementales directes qu’elle reçoit s’élève à 243 millions d’euros, soit 99% de son budget.

Son patron est le socialiste norvégien Jan Egeland dont la femme a été ministre socialiste des Affaires Étrangères de ce pays. Il est également impliqué au Liban et a régulièrement fait savoir qu’il n’aimait pas le Hezbollah et trouvait « justifié » les opérations de terreur israéliennes contre ce pays.

Ces six client(e)s abattus n’ont donc pas été choisis au hasard, si vous voulez mon avis.

Alors que la majorité du Niger est classée « rouge » par le ministère des Affaires étrangères français, la zone de Kouré est, elle, classée « orange ». Les voyages y sont néanmoins déconseillés sauf pour raison impérative. Facilement accessible depuis la capitale Niamey, la région est fréquentée par les expatriés du pays. « Il y avait des contre-indications à être partout au Niger. Cette zone en particulier, dans la contre-indication générale du Niger, était l’une des zones les plus zens, voire la plus zen », a déclaré Joseph Breham, l’avocat de l’ONG Acted, à franceinfo. La réserve, fréquentée par près de 400 girafes, se trouve néanmoins à une centaine de kilomètres du parc national du W, ancien haut-lieu du safari ouest-africain, devenu ces dernières années un repaire fréquenté par différents mouvements jihadistes. Non loin de là est également situé le parc du Pendjari, au Bénin, où deux Français ont été kidnappés en mai 2019.

Ces gens étaient au Niger parce que les services secrets occidentaux voulaient qu’ils y soient.

C’est aussi pour cette raison qu’il est extrêmement facile pour les insurgés régionaux de faire mouche : tout ce qui est de race blanche est de fait un sous-traitant expédié sur place par la coalition des démocraties juives.

Ils peuvent tirer à l’aveugle sur des Blancs et être sûr à 100% d’avoir abattu des agents gouvernementaux étrangers.

Le parquet antiterroriste français a annoncé lundi l’ouverture d’une enquête pour « assassinats en relation avec une entreprise terroriste ». Toutefois, dans le détail, les autorités restent prudentes sur l’identité du groupe terroriste à l’origine de l’assaut, aucun n’ayant pour le moment revendiqué l’initiative. Plusieurs groupes jihadistes sévissent dans la région de Tillaberi, où a eu lieu l’attaque : les miliciens de l’Etat islamique au Grand Sahara (EIGS), venus du Mali par le Burkina-Faso, ainsi que, plus récemment, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), lié à Al-Quaïda et en guerre contre l’EIGS, tout comme Boko Haram.

« Il y a une expansion, qui vient à la fois de la partie ouest de Niamey, c’est-à-dire la frontière Mali-Niger, mais aussi au niveau de la frontière Burkina-Niger », estime Mathieu Pellerin, analyste Sahel chez Crisis Group, interrogé sur franceinfo. « La mobilité de ces groupes fait qu’on ne peut plus aujourd’hui exclure que des attaques surviennent dans des espaces qui sont considérés comme des zones déconseillées, dites zones oranges. » Au Niger, la circulation des motos est interdite de jour et de nuit pour tenter d’empêcher les déplacements de jihadistes.

Emmanuel Macron a dénoncé dimanche « l’attaque meurtrière qui a lâchement frappé un groupe de travailleurs humanitaires » et a promis que « tous les moyens sont et seront mis en œuvre pour élucider les circonstances de cet attentat meurtrier dans les prochaines heures ».

Le président français s’est par ailleurs entretenu au téléphone avec son homologue nigérien Issoufou Mahamadou, qui a présenté ses condoléances aux familles des victimes et salué « l’engagement sans faille » de la France dans la lutte contre le terrorisme.

Le Niger est l’un des cinq pays membres du « G5 Sahel » – avec la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso et le Tchad. Des pays confrontés à des insurrections violentes et qui bénéficient du soutien de la France, qui y a déployé plus de 5 000 soldats chargés d’accompagner la lutte contre les combattants islamistes dans le cadre de l’opération Barkhane. Après cette attaque, Emmanuel Macron a annoncé qu’il convoquera mardi matin un Conseil de défense.

C’est le même Emmanuel Macron qui entend nous embarquer au Liban pour y déclencher une nouvelle guerre civile sur le modèle libyen et syrien, apparemment parce que les juifs lui en ont donné l’ordre.

Et c’est le même scénario qui se met en place au Niger.

J’estime pour ma part que nous n’avons rien à faire dans ces pays absurdes. Rien de ce que nous y faisons n’empêchera ces gens de s’entretetuer comme le démontre caricaturalement le cas du Mali dont la plus éminente représentante en France, Assa Traoré, appelle à déclencher une guerre raciale dévastatrice sur le territoire français avec l’aide des médias juifs.

En fait, plus nous y déversons des milliards d’euros et des soldats, plus cette fourmilière s’agite pour nous en chasser.

Au reste, la seule idée « d’aider » des pays nègres est totalement délirante en soi. Des pays qui voient leur population exploser ne sont pas des pays qui ont besoin d’aide. La caractéristique des pays qui ont besoin d’aide est de perdre des habitants en raison de guerres, de maladie ou de famine. Le Niger, dans 30 ans, comptera autant d’habitants que la France actuelle du seul fait que les négresses y font 8 enfants par tête pendant que des bénévoles blanches venues de France leur font la manucure.

Ce sont les mêmes Blanches qui refusent catégoriquement de faire des enfants en France et qui militent avec agressivité pour l’ouverture des frontières au trop plein démographique de l’Afrique qu’elles soutiennent par tous les moyens.

Les Blanches qui consacrent leur vie à favoriser l’explosion démographique des nègres d’Afrique représentent un des plus graves périls qui pèsent sur l’humanité et je pèse mes mots. C’est probablement la menace terroriste la plus sérieuse de notre époque, bien loin devant le « djihadisme ». Tout particulièrement dans un pays comme le Niger qui est un vaste désert dont la population en expansion constante ne manquera pas de se mettre en mouvement vers l’Europe.

Visiblement, même les nègres du Niger ne supportent plus d’être harcelés par ces succubes occidentales tatouées qui s’acharnent à vouloir les lester de négrillons à coups de programmes alimentaires, d’argent gratuit et de vaccins de toutes les saveurs.

Le bon sens commande d’accéder aux demandes de ces nègres et d’abandonner à leur sort ces pays inutiles. Nous devons partir, le plus tôt sera le mieux.

A la place, nous devrions utiliser nos moyens militaires pour couler le moindre navire chargé de cafres clandestins affrété par les banquiers juifs et leurs auxiliaires marxistes à destination de l’Europe.

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