Nice : « Julie » voulait goûter à l’amour d’un clando tunisien, il l’assassine de 53 coups de couteau

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2017

 

Lisez ça et faites attention à un détail précis.

Kapitalis :

Julie, 43 ans, a été tuée, le 17 mars dernier, dans son appartement à Nice, avec 53 coups de couteau. Le tueur présumé, Akil, est Tunisien

Le centre-ville de Nice a été ébranlé, dans la soirée du 17 mars 2017, par le meurtre de Julie Puzenat, à son domicile, rue Lépante, habituellement calme et sans histoires.

Akil, le meurtrier présumé, a d’abord été placé dans hôpital psychiatrique, car il s’est montré très agité et présentait, selon les spécialistes, montrait une tendance suicidaire. Il a finalement été entendu par les enquêteurs de la brigade criminelle et présenté à un juge d’instruction, qui a ordonné un mandat de dépôt à son encontre pour meurtre aggravé.

Akil, âgé de 27 ans, vit en France mais il est en situation irrégulière. Un mois après avoir rencontré Julie, il lui parle de mariage, insiste, devient trop jaloux, la suit dans la rue et toutes sortes de harcèlements. Ce qui pousse la mère d’un petit garçon à mettre fin à leur relation. Ce qu’il n’accepte pas, s’acharnant et s’accrochant, avant de lui lancer: «Tu ne sais pas ce que c’est de sortir avec un Tunisien», selon des témoins proches de la victime.

Selon ces dernières, Akil a poursuivi ses menaces avant de joindre l’acte à la parole. Selon l’enquête, il s’est introduit chez la victime, dans la nuit et commet son forfait.

Oui. « Rue Lépante ». Du nom de la bataille où les armées chrétiennes détruisirent la flotte des cancrelats turcs lancés sur l’Europe. Les Chrétiens ainsi que les païens de jadis portaient grande attention aux signes. Ce ne sont jamais des coïncidences. Les coïncidences sont réservées aux cancres.

Donc « Julie », quarantenaire, a été sauvagement assassinée par un bicot de presque 20 ans de moins. Rue Lépande.

Sinistre constat : elle a payé toutes les conséquences de son comportement. Des conséquences prévisibles.

Mais cela engage aussi la responsabilités des hommes qui ne savent pas tenir les blanches. Une paire de gifles, à notre époque, sauve des vies. Si elle avait un frère ou un père : où étaient-ils ?

Les lois de la nature, à la différence des lois démocratiques, ne varient pas. Les bougnoules ne varient pas. Leur soif de sang et leur psychopathie pas davantage.

C’est un fait, les blanches vont devoir l’apprendre à leurs dépends.

Et tout cela à Nice, moins d’un an après le carnage commis par un autre bicot de Tunisie.

Comment voulez-vous dans ces circonstances laisser des femmes intervenir en politique ou dans tout domaine régalien ?