Neymar faussement accusé de viol par une traînée qui voulait lui sucer tout son fric au tribunal

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 juin 2019

Voilà un cas d’école de ce que le féminisme putassier engendre avec ce #MeToo à la con.

Le Monde :

Le footballeur brésilien Neymar, star du Paris-Saint-Germain et de la Seleçao, a contre-attaqué dimanche 2 juin après la plainte pour viol déposée par une jeune femme à Sao Paulo à propos de faits présumés survenus à Paris, clamant son innocence et dénonçant un « piège ».

Le dépôt de plainte, confirmé à l’AFP par le secrétariat à la sécurité, a été révélé samedi sur un site brésilien, Uol. La plaignante, dont l’anonymat est jusqu’ici préservé, accuse le no 10 du Brésil de s’être montré « agressif » et d’avoir « fait usage de violence pour avoir une relation sexuelle (…) sans son consentement » mi-mai.

« On m’accuse de viol, c’est un gros mot, c’est très fort, mais c’est ce qui se passe », a regretté Neymar dans une vidéo de sept minutes publiée sur Instagram. « Cela m’a surpris, c’était quelque chose de très moche, de très triste, car qui me connaît sait quel genre de personne je suis, sait que je ne ferais jamais une chose pareille », a-t-il poursuivi.

Dans cette réponse, Neymar a ensuite fait défiler, pour se disculper, le long échange de messages qu’il a eu avec la jeune femme entre mars et mai sur la messagerie WhatsApp, y compris les photos dénudées qu’il a reçues, tout en floutant le nom de l’intéressée. « Ce sont des moments intimes, a-t-il reconnu, mais il est nécessaire de les exposer pour prouver que rien ne s’est réellement passé », a insisté le joueur.

D’après le site Uol, la victime présumée aurait séjourné trois jours à Paris, du 15 au 17 mai, mais n’a porté plainte qu’une fois de retour au Brésil, parce qu’elle se sentait « émotionnellement secouée ».

La réalité des faits, a plaidé Neymar Jr dans sa publication, l’air grave, est « totalement à l’opposé » des accusations. « Il y a quelques jours, Neymar a été victime d’une tentative d’extorsion pratiquée par un avocat de Sao Paulo qui, selon sa version, défendait les intérêts de la victime présumée », a par ailleurs déclaré l’avocat du meneur de jeu dans un communiqué.

« C’était un piège et j’ai fini par y tomber. J’espère que cela servira de leçon pour l’avenir », a encore affirmé Neymar. Le joueur avait, selon la presse brésilienne, fait payer par un assistant les billets d’avion et l’hôtel de la plaignante, qui serait entrée en contact avec lui sur Instagram.

Le joueur, à qui le sélectionneur vient de retirer le brassard de capitaine de la Seleçao pour une tout autre affaire, celle d’un coup asséné à un spectateur après la finale de la Coupe de France, est au Brésil pour la préparation de la Copa America qui se déroulera dans son pays (14 juin au 7 juillet).

Neymar trouve une nana de son pays à son goût qui le branche à fond sur Instagram. Comme il est blindé d’argent, il lui paie l’aller/retour en plus de son séjour de princesse à Paris. En échange, elle couche avec lui selon le principe immuable de l’offre et de la demande qui régit la plus vieille profession du monde.

Normalement, l’histoire devait s’arrêter là.

Sauf qu’en 2019, les prostituées veulent toucher deux fois : une fois avec le client, une seconde devant les tribunaux en s’inventant une image de sainte nitouche, opération rendue possible par le HIV global qu’est le féminisme occidental et la diabolisation du mâle hétérosexuel.

Cette traînée était déterminée à détruire la carrière de ce mec. Il faut bien voir que dès lors que vous êtes mondialement connu, la pression médiatique est à des années-lumière de ce que pourrait endurer un mec inconnu.

Un mot, une phrase sorti de son contexte et vous êtes brûlé en place public après avoir été longuement torturé médiatiquement.

« On se parle en DM ? »

Dans une société normale, une garce qui ose accuser de viol un type innocent dans le but de détruire sa vie après l’avoir ruiné financièrement devrait être traînée nue en place publique, fouettée, tondue, avoir les seins coupés puis le front marqué au fer rouge avec les mots : « Je suis une putain mythomane ».

Neymar a réussi à s’en sortir très vite mais non sans devoir détailler ce qu’il disait à cette gonzesse. Vous me direz que le type n’a pas eu le nez fin en se laissant chauffer par cette sangsue mais ce n’est pas un scoop que les mecs sont gogols dès qu’il voit un joli minois passer.

Aujourd’hui, qu’est-ce qui empêche une garce de semer la suspicion avec des allégations de viol ou de harcèlement sexuel au point de détruire un mec et le racketter ? Rien. Bien au contraire.

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