Captain Harlock
Démocratie Participative
30 novembre 2021
J’essaie d’expliquer depuis quelques années maintenant qu’il n’existe rien de tel que l’on puisse nommer « des juifs de droite ». Quand les juifs se retrouvent entre eux, ils ne voient que des juifs et c’est en raison de ce comportement grégaire que, depuis trois millénaires, ils sévissent de la même manière sous toutes les latitudes et qu’ils se font expulser de la même façon de tous les pays.
Vous aurez sûrement remarqué que nos ancêtres ne chassaient pas « les juifs de gauche » de leurs royaumes et principautés, mais les juifs en bloc, généralement après des siècles de patience systématiquement abusée par la juiverie.
Ce concept absurde de « juif de droite » n’a émergé ces dernières années qu’en raison des démangeaisons que la juiverie éprouve au contact des migrants musulmans qu’elle a pourtant fait venir et qui sont passablement hostiles à l’endroit de l’Etat d’Israël.
Et dire que Bernard-Henri Lévy a créé SOS Racisme
Mais ce n’est pas pour autant que les juifs ont cessé d’être des parasites nomades animés d’une vive haine raciale à l’égard du sédentaire aryen dont il truste les états.
C’est précisément parce que ces parasites nomades se reconnaissent comme tels qu’ils encouragent la venue de millions d’autres parasites dans les pays blancs.
L’autre jour, à New York, capitale mondiale de la finance juive, la juiverie organisée établissait le siège de l’ambassade de Pologne pour exiger du pays qu’il laisse toute la pouillerie islamique s’installer sur son territoire.
Nous sommes devant l’ambassade de Pologne ce soir, alors que la crise des réfugiés d’Europe de l’Est s’intensifie à la frontière biélorusse-polonaise. Notre communauté de juifs de la diaspora vient d’horizons divers, et beaucoup d’entre nous descendent de réfugiés polonais qui ont été confrontés au génocide dans ces mêmes pays.
We are outside the Polish embassy tonight as the Eastern European refugee crisis escalates on the Belarusian-Polish border. Our community of Jews in the diaspora comes from many backgrounds, and many of us are descended from Polish refugees who faced genocide in these same lands. pic.twitter.com/NlKuL9UrvL
— Jewish Voice for Peace NYC #SaveSheikhJarrah (@jvpliveNY) November 20, 2021
Comme vous le voyez sur cette photo qu’ils ont prise d’eux-mêmes, ces juifs ne disent pas « des juifs disent : laissez les réfugier entrer maintenant » mais « les juifs disent : laissez les réfugiés entrer maintenant ».
Dans leur cervelle hébraïque, la chose est parfaitement claire : il n’y a pas le début d’un millimètre de désaccord au sein de la juiverie sur la nécessité d’organiser la submersion migratoire des nations blanches.
C’est une évidence aussi évidente que la circoncision de Moïse.
Pour être sûr que nous nous comprenons, voici ce que ces juifs exigent que les Polonais laissent s’installer sur leur territoire au nom de ce soi-disant « holocauste ».
C’est tout le bien que ces juifs souhaitent aux Européens.
La juiverie, une et indivisible mondialement, vote massivement à gauche aux USA alors même que le pays est voué devenir à minorité blanche d’ici les années 2040, c’est-à-dire dans 20 ans.
Comme le facteur islamique y est inexistant, les juifs peuvent soutenir en toute quiétude l’éradication des Blancs par l’intermédiaire du remplacement de population.
C’est du même niveau que l’ultra patriote Goldnadel, faiseur de roi de la droite française, qui conspire avec des rabbins pour expulser la France de ses possessions patrimoniales en Palestine.
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Quiconque se solidarise des juifs permet aux juifs de renforcer leur position raciale au niveau global, donc de poursuivre cet échéancier génocidaire contre les nations blanches.
Il ne peut pas y avoir de trêve avec cette race criminelle parce que cette race ne connaît pas ce mot. Pour elle, il n’y a qu’une seule et unique guerre perpétuelle contre les goyim jusqu’à l’édification finale d’un gouvernement mondial dont les juifs tireront les ficelles financières et médiatiques.
C’est l’essence même de ce qui leur tient lieu de « religion ».
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