Heinrich
Démocratie Participative
16 septembre 2017
HA HA HA !
— Pierre Scheurette (@PierreScheu) 16 septembre 2017
HA HA HA !
HA HA HA HA HA HA !
Waow.
Sérieusement, j’ai du fermer Firefox et le relancer pour être sûr que ce que je lisais était bien ce que je lisais.
Julie a capitulé.
Totalement.
Elle admet l’intégralité de ce que nous avons révélé à son sujet en exclusivité : Julie est une grosse pute à nègre. Elle le savait dans le secret de son cœur, mais elle hésitait à se l’avouer franchement.
Curieusement, Julie a tenté de nier, au début. Elle a même porté plainte pour « diffamation » pour démontrer sa bonne foi.
Plainte pour injure publique et diffamation déposée. Merci pour tous vos messages. Il n’existe pas assez de lolcat pour vous remercier. ????
— Julie Hainaut (@julie_hainaut) 16 septembre 2017
Et puis elle a préféré tout lâcher et regarder la vérité en face.
« Vous êtes des nazis mais vous avez raison, même si je vous hais. C’est vrai. Je suis obsédée par les nègres. Je me dégoûte tellement que ma seule façon d’exister, c’est de devenir une serpillère à foutre africain. J’aimerais disparaître, mais je n’en ai pas la force. Quand je me regarde dans la glace, je m’écœure. J’essaie de trouver ma raison d’être en me roulant aux pieds de ces sauvages hirsutes. Oui, c’est vrai. Je suis une bourge blanche et quand je pense à ma vie, je ne trouve rien. Je suis toute seule » nous a-t-elle écrit dans un email.
Elle admet avoir voulu détruire la vie des deux tenanciers du bar « La première plantation » parce qu’elle se hait. Elle veut tout détruire parce qu’elle n’a pas le courage de se détruire elle-même.
La (((presse marxiste))) a bien essayé de l’aider.
Je voudrais signaler que la journaliste qui a écrit sur l’histoire du bar à Lyon est harcelée par des néo nazis https://t.co/spImBbuJ3r
— Johanna Luyssen (@johannaluyssen) 16 septembre 2017
Mais cela ne change rien. Tout le monde se fout de ce que raconte la presse.
Julie a cru devoir mobiliser ses relations au début, pour se rassurer. Et puis elle a préféré laisser tomber. Elle s’est saoulée hier soir pour noyer son chagrin.
Plein. J’en suis à ma 10ème bière. https://t.co/NQBbiaVZ5O
— Julie Hainaut (@julie_hainaut) 16 septembre 2017
Triste.
Donc, pour en revenir à ce que nous disions, Julie après avoir nié être une putain négrophile a reconnu les faits et commence à accepter son destin : finir contaminée par un gabonais sidaïque.
Comme nous l’avons dit dans notre article précédent, nous n’appelons pas à la violence, bien au contraire. C’est un appel au calme et à la décence. Un appel non-violent pour que la raison retrouve sa place face à la haine.
Car Julie est malheureusement rongée par la haine, une haine fiévreuse, dévorante.
C’est pour la paix qu’il faut exiger d’elle qu’elle s’excuse auprès de ses deux victimes.
Nous devons remercier les Citoyens Participatifs pour avoir appelé Julie à la raison et à faire un travail sur elle-même sans faux semblant.
Bravo à tous.
Nous demandons à tous les Citoyens de Démocratie Participative de féliciter Julie pour les progrès qu’elle a réalisé en si peu de temps.
Elle a besoin de jolis Gifs et autres mêmes qui la réconfortent.
Maintenant, il faut également s’adresser au journal responsable de cette campagne de terreur contre ce bar. Le « Petit Bulletin ». Car il n’a probablement pas mesurer la gravité des faits contre les deux tenanciers. Et encore moins la légitime fureur du peuple.
Cette presse communiste doit comprendre que le temps de la terreur est révolu.
La mobilisation contre le terrorisme doit s’intensifier.